Chaque fois qu'un jeu permet à un enfant d'aller plus loin, de se surpasser, de réussir une tâche qu'il pensait ne pas savoir faire, il prend alors conscience de l'étendue de ses compétences, ce qui l'aide à gagner confiance en lui.
Le jeu permet de réduire le stress
Lorsque vous passez de bons moments et riez ensemble, votre corps libère des endorphines qui favorisent un sentiment de bien-être. Même de courtes périodes de jeu peuvent aider les adultes à ne pas perdre de vue leur capacité à soutenir leur enfant.
Le jeu permet à l'enfant de :
Apprendre à gérer et à dépasser les tensions liées à la socialisation et à ses frustrations. En jouant l'enfant apprend à mieux comprendre, puis à agir sur les situations qu'il subit. Le jeu permet à l'enfant de se socialiser. Apprendre les rôles et fonctions sociales.
« Tout d'abord, certains jeux permettent de passer de très bons moments entre amis, de nous libérer de l'ennui et des soucis du quotidien. Ainsi / Par exemple, le jeu « among us » a permis à beaucoup d'amis de se retrouver à distance pendant le confinement, et il a connu un succès mondial à cette période.
Le jeu permet de s'amuser, de rire et aussi d'oublier les contraintes habituelles en matière de règles ou de temps. Seul ou avec d'autres personnes (enfants ou adultes), inventer un jeu est une source d'évasion et donc de bien-être.
Les jeux de société offrent également plusieurs avantages sur le plan cognitif, langagier et moteur. Ils développent la capacité d'attention, la mémoire, l'esprit logique, le sens de l'observation et le langage.
À bien y réfléchir, il n'y a aucune bonne raison de priver l'adulte des bienfaits d'une partie de jeu en solitaire ou en groupe. Jouer c'est se développer, s'enrichir, approfondir ses connaissances de soi et des autres, tisser et renforcer le lien social et intergénérationnel.
Le jeu diminue les tensions, décharge les émotions et contribue ainsi à l'équilibre affectif de l'individu. Ce n'est que vers 1950 que plusieurs chercheurs, dont Piaget, ont mis en évidence le rôle indispensable du jeu dans le développement de la pensée et dans le développement social.
Le joueur excessif peut vivre les états suivants : dépression, anxiété, culpabilité, colère, solitude, isolement, déception, perte d'estime de soi, perte de contrôle et idées suicidaires. Le joueur excessif peut ressentir différents malaises, souvent liés au stress.
Les jeux apportent du soulagement et des pensées positives
Selon la revue Psychology Today, “Dès l'aube de l'histoire de l'humanité, notre survie dépendait de notre capacité à éviter le danger. Ainsi, le cerveau a développé des systèmes nous permettant de très vite remarquer le danger pour pouvoir y faire face”.
Par le jeu, l'enfant multiplie les expériences qui l'aident à construire son identité, à trouver sa place dans la société et à en intégrer les règles. L'enfant prend conscience de lui-même et intègre les règles de la vie en société en jouant à être quelqu'un d'autre ou en participant à des jeux collectifs.
Le jeu est une activité sérieuse, éducative, pédagogique, qui contribue au développement affectif, sensori-moteur, cognitif, moral, intellectuel et social de l'enfant d'une part (c'est l'optique de la psychologie du développement), au développement des plus hautes manifestations de la culture d'autre part (Caillois, ...
Même les adultes ont le droit de s'amuser. Selon une psychologue, les activités amusantes et énergisantes améliorent le bien-être émotionnel. Regarder mes enfants jouer, entendre leurs éclats de rire, leurs cris de joie, les voir se défouler…
Jouer permet à l'enfant d'apprendre à vivre avec les autres. Quand il joue avec d'autres enfants, un tout-petit apprend à partager, à attendre son tour, à faire des compromis et à régler de petites chicanes. Quand il joue, l'enfant apprend à dire de nouveaux mots, à exprimer ses idées et à se faire comprendre.
- Le jeu, par ses règles, permet l'apprentissage de la vie adulte - Il permet de développer des valeurs que l'on retrouve dans sa vie future : le partage, l'entraide, le respect…
Le jeu garantit à l'enfant la possibilité de faire des compromis. Les scénarios qu'il expérimente dans le jeu lui permettent de trouver des issues ou des alternatives à des situations qu'il rencontre dans la vie, en tenant compte de la censure de la réalité. L'être humain joue tout au long de sa vie.
Il semblerait notamment qu'il existe une base biologique commune aux problèmes de dépendance, y inclus le jeu excessif, liée à ce que l'on appelle le circuit de la ré- compense. Cela correspond au circuit de la dopamine, qui est un neurotransmetteur en jeu dans les mécanismes de récompense et de renforcement.
Les jeux de non-oxygénation, de défi, ou d'agression peuvent entraîner une sensation de peur ou d'excitation qui est recherchée par certains enfants et adolescents, notamment lors de l'expérimentation.
Pour ce qui est des effets des jeux vidéo sur le cerveau et de l'Internet, ils peuvent altérer les scores d'intelligence et le volume cérébral uniquement en cas d'utilisation intensive. De plus, l'utilisation excessive des médias nuit au traitement visuel et aux fonctions cognitives intellectuelles.
➜ Parce qu'il concerne tout le monde et est nécessaire à l'homme, le jeu constitue un espace privilégié du pouvoir. Il est investi par les pouvoirs totalitaires pour son aspect enthousiasmant qui peut aller jusqu'à galvaniser les foules. Mais il est aussi un moyen de résister à l'oppression.
Le jeu est un moyen ludique et motivant d'acquérir des connaissances. En jouant, les enfants apprennent sans s'en rendre compte, car ils sont captivés par le défi, le plaisir, la récompense… Le jeu leur donne envie d'apprendre et de progresser.
Quand on apprend en s'amusant, notre curiosité est attisée, notre système de récompense s'enclenche, et donne envie d'aller plus loin. On développe ainsi notre envie d'apprendre ! Besoin de conseils pour bien mémoriser ?
Selon les chercheurs, ces résultats laissent entendre que les habitudes de jeu dans l'enfance peuvent influencer l'adoption de comportements de santé plus tard. Pour eux, il est clair que les enfants ont besoin d'avoir une certaine liberté de mouvement de même qu'assez de temps libre pour jouer.
Peut favoriser le développement d'habiletés cognitives et psychomotrices. Permet de varier les stratégies pédagogiques employées, en misant sur l'action et l'interaction. Peut permettre l'ajustement automatique du niveau de difficulté (augmentation ou réduction) des problèmes en fonction des besoins de l'étudiant.
Le jeu permet de réduire le stress
Lorsque vous passez de bons moments et riez ensemble, votre corps libère des endorphines qui favorisent un sentiment de bien-être. Même de courtes périodes de jeu peuvent aider les adultes à ne pas perdre de vue leur capacité à soutenir leur enfant.