Le Keppra® peut entraîner quelques effets indésirables, notamment une somnolence, de la fatigue, des maux de tête, une rhinopharyngite et des sensations vertigineuses.
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés ont été : rhinopharyngite, somnolence, céphalée, fatigue et sensation vertigineuse.
Il agit sur les concentrations calciques intraneuronales en inhibant partiellement les canaux calciques de type N et en réduisant la libération de calcium des réserves intraneuronales.
Keppra est un médicament antiépileptique. Il peut être utilisé en monothérapie chez les patients âgés de 16 ans et plus présentant une épilepsie nouvellement diagnostiquée, pour traiter les crises partielles (crises d'épilepsie) avec ou sans généralisation secondaire.
En général, il vaut mieux éviter les sports solitaires (randonnée et alpinisme seul, planche à voile, équitation en solo, etc.) et préférer les sports d'équipe, la gymnastique ou l'athlétisme. La pratique du vélo est possible avec un casque, même s'il existe un faible risque d'accident.
«Dans les cas graves, la température peut atteindre plus de 40 degrés et des troubles neurologiques se manifestent, comme un état de confusion, des hallucinations, une perte de conscience, voire une crise d'épilepsie, décrit le médecin.
Topiramate (Epitomax®)
Actif sur les épilepsies partielles et sur certaines épilepsies avec crises généralisées en complément d'un traitement antérieur.
Pour les personnes souffrant de crises tonico-cloniques généralisées (avec ou sans autres types de crises), le traitement première intention actuel, le valproate de sodium, présente le meilleur profil par rapport à tous les autres traitements.
Quand arrêter un antiépileptique ? Le patient doit justifier d'une rémission complète des crises sous traitement depuis au moins 2 ans. En cas de persistance d'anomalies épileptiques sur l'électroencéphalogramme et d'identification d'une lésion corticale sur l'IRM cérébrale, il faut éviter de proposer le sevrage.
Deux modalités de décroissance sont possibles : – un arrêt définitif et complet en 2 à 3 mois ; – un arrêt partiel « prudent » pour lequel 50 % de la dose initiale est maintenue pendant 6 mois à 1 an, puis une reprise de la décroissance est proposée en l'absence de récidive.
La chirurgie de l'épilepsie (ou cortectomie) est le seul traitement pour guérir l'épilepsie. Si la chirurgie est impossible, une SNV pourra être proposée.
LEPTAX Gé comprimé pelliculé est une nouvelle gamme de médicament à base de lévétiracétam, composée de 4 dosages : 250 mg, 500 mg, 750 mg et 1 000 mg. LEPTAX Gé comprimé pelliculé est un générique de KEPPRA comprimé pelliculé et est inscrit au répertoire des génériques.
Le lévétiracétam est utilisé pour la forme d'épilepsie où les crises n'affectent initialement qu'un seul côté du cerveau, mais qui par la suite pourraient s'étendre à des zones plus larges des deux côtés du cerveau (crise partielle avec ou sans généralisation secondaire).
Deux "petits» du Keppra (Ucb 34714 et Ucb 44212) sont en développement dans les laboratoires de Braine-l'Alleud, le principal centre de Recherche et Développement d'UCB Pharma.
25,18 euros (60 comprimés à 500 mg). 25,18 euros (60 comprimés à 1000 mg). 53,52 euros (flacon de 300 ml, seringue de 10 ml). 26,97 euros (flacon de 150 ml, seringue de 3 ml).
En France, environ 600 000 personnes ont une épilepsie, dont la moitié a moins de 20 ans. L'épilepsie est plus fréquente chez les enfants et les personnes âgées.
Après une crise d'épilepsie provoquée par un facteur causal identifiable, peu susceptible de se reproduire au volant, le conducteur peut être déclaré apte à la conduite au cas par cas, et après avis d'un neurologue.
3. «L'épilepsie est contagieuse» L'épilepsie ne peut pas se transmettre d'une personne à l'autre.
ÉPILEPSIE (DÉFICIENCES LIÉES À L'ÉPILEPSIE)
Toutes les épilepsies ne sont pas des handicaps. Les épilepsies dont les crises sont bien contrôlées par le traitement et sans trouble associé ne constituent pas un handicap. A l'opposé, toute épilepsie active constitue un handicap.
Les crises épileptiques peuvent récidiver tout au long de la vie, selon leur cause. En effet, pour ce type d'épilepsie, les traitements entrepris ne permettent pas toujours une guérison complète.
Dans certains cas très particuliers, l'épilepsie peut être définitivement guérie en éliminant sa cause : une lésion, une tumeur ou une malformation peuvent être opérées. Cependant, dans la majorité des cas, le traitement est médicamenteux et associé à des conseils d'hygiène de vie.
La fatigue est fréquente chez les patients épileptiques. Elle peut être due à la maladie, parfois aux médicaments (que l'on peut éventuellement changer), mais aussi à d'autres causes comme la thyroide, etc. Pour discussion également avec le neurologue.
La recherche des causes d'une épilepsie se fait essentiellement grâce aux techniques d'imagerie médicale telles que le scanner (plutôt réalisé lors de la première crise) ou l'IRM (imagerie par résonnance magnétique) qui permettent de visualiser les structures du cerveau.
Après une crise d'épilepsie, surtout suite à une perte de conscience, la personne peut se sentir confuse et désorientée pour quelque temps. Cela s'explique par le besoin de récupération des neurones. Une perte de mémoire ou des maux de tête peuvent aussi survenir.