Après ouverture, pour conserver ses qualités le plus longtemps possible, une bouteille doit être gardée au réfrigérateur et consommée dans la semaine (jusqu'à 10 jours pour certains sakés voire plus longtemps pour d'autres).
Conservation du saké
Une fois la bouteille ouverte, le saké, tout comme le vin, s'oxyde et se corrompt lentement. À condition de le conserver au réfrigérateur, le saké peut donc encore être apprécié une semaine environ.
De nos jours, la plupart des sakés premiums se dégustent légèrement frais. Mais veillez à ne pas trop le refroidir, le froid atténuant certains arômes. Tout comme le vin, le saké présente des profils différents en fonction de la température de dégustation.
Servi tout au long du repas, comme le vin, le saké japonais est plus faible en alcool, et a souvent un goût très raffiné. Et surtout, celui-ci permet de faire de beaux accords « mets et saké » de l'apéritif jusqu'au dessert.
Comme le vin, le saké est une boisson très complexe, d'où l'intérêt de le déguster dans un verre à vin. Selon le style de saké, on peut utiliser un verre à vins de Bordeaux ou un verre à Brandy. Pour les sakés de la famille Junshu par exemple, nous pouvons utiliser une coupelle qui s'appelle le guinomi.
Prévenant également son désèchement, il permet à la peau de rester hydratée et lumineuse. De plus, l'acide kojique - qui compte parmi la centaine d'acides aminés et organiques contenus dans le saké - agit sur la mélanine, et permet de ce fait d'atténuer les taches et grains de beauté.
Prix (en restaurants) entre 30 et 35 € (500 ml).
Après ouverture, pour conserver ses qualités le plus longtemps possible, une bouteille doit être gardée au réfrigérateur et consommée dans la semaine (jusqu'à 10 jours pour certains sakés voire plus longtemps pour d'autres).
Ce saké se caractérise par son bouquet très reconnaissable et sa saveur à la fois riche et veloutée, mais on peut le doter, selon le procédé de brassage, d'un goût sec, sucré ou neutre.
La plupart des sakés titrent autour de 15 % d'alcool, un degré plus élevé que la majorité des autres boissons fermentées comme la bière et le vin, mais plus faible que celui des alcools distillés en général.
Le geste est symbolique: l'hôte fait déborder le verre pour signifier au client qu'il lui donne sans compter, sans minauder ! La plupart du temps, le saké débordé sera également bu. Il s'agit de l'évolution d'une tradition plus ancienne où seul le Masu était rempli plus que nécessaire.
Plonger à nouveau le tokuri dans la casserole et laisser réchauffer pendant 2 ou 3 minutes. Pour obtenir un saké “nurukan” (environ 40°) au bain-marie, il faudra attendre au moins 10 minutes. L'alcool va donc s'évaporer. Lorsque le saké commence à remonter jusqu'au goulot, retirer le tokuri de l'eau chaude.
On peut le boire le saké en apéritif, accompagné de jambon cru, de légumes, de de fruits de mer. En entrée, avec par exemple des huîtres, ou du foie gras. Au cours du repas, les accords possibles sont très variés.
Tentez tout d'abord de repérer le degré de polissage du riz utilisé pour la fermentation du saké. C'est ce qui détermine sa classe, son goût mais aussi son prix. En général, le degré de polissage se situe entre 40 et 70%. Plus le riz est poli, plus le pourcentage est bas.
Le mirin et le mirin type hakkô chomiryo (condiment fermenté type mirin): A conserver à l'abri de la lumière et dans un endroit frais pour éviter la dé- gradation de sa saveur.
En japonais, bien que ce même terme sake (酒) ou o-sake (お酒, prononciation kun'yomi, le « o » marquant le respect, voir Keigo) désigne cette boisson, son sens peut s'étendre selon le contexte à toute boisson alcoolisée, aussi les Japonais utilisent-ils plutôt le terme nihonshu (日本酒, littéralement « alcool japonais »), ...
Le Sake : Une Boisson Sacrée
Cette boisson ancestrale serait apparue au Japon vers le IIIe siècle, avec le développement de la riziculture. À l'origine, la fabrication du saké était réservée aux prêtresses qui mâchaient le riz avant de le laisser fermenter, grâce aux enzymes contenues dans la salive.
Le riz est étalé sur des planches appelées toko. Il va être ensemencé avec une enzyme, le koji-kin. Ce champignon va changer l'amidon du riz en sucre. Le koji-kin constitue la partie la plus importante pour faire le saké.
Le mirin, un saké doux.
Le mirin arrondi la saveur des aliments par sa douceur et confère une aspect brillant et appétissant aux plats. Il peut être également utilisé pour apporté un goût sucré à une préparation. Son utilisation est très large et va des salades, aux plats chauds, jusqu'au desserts.
Allez directement choisir un saké de style Daïginjo, un saké au nez fruité et floral, un nez très marqué pour fouetter le cerveau et une bouche tendre et suave pour éblouir les papilles. Le saké idéal, c'est KAMEIZUMI un saké sur une aromatique puissante de fruits tropicaux et de raisin craquant.
Nos sakés sont également disponibles en ligne grâce à notre partenaire whisky.fr et nous proposons régulièrement des dégustations en boutique.
Le saké, qui est un alcool de riz est une boisson alcoolisée d'origine japonaise, qui contient environ 133 kcal/100 g.
Boire l'alcool de riz
On le boit avec des plats traditionnels vietnamiens, souvent composé de riz blanc, de légumes et de viandes. Toutes les classes sociales consomment de l'alcool de riz au Vietnam, breuvage traditionnel profondément ancré dans la culture vietnamienne.
Une variété d'alcool de riz
Sorte de saké très ancien, le processus consiste à mâcher des grains de riz et à les cracher dans une cuve, après fermentation, les enzymes de la salive ont dégradé l'amidon du riz pour donner ce saké acide relativement opaque.