Le Dastar est le turban porté par les hommes de confession sikh qui suivent la règle des Cinq K. Ces
n'est pas un signe ostentatoire religieux au sens de la loi précitée.
Le turban est un symbole d'unité
La plus grande vocation des sikhs d'afficher le turban est qu'il représente leurs croyances. La justice pour tous, l'égalité et une notion radicale de compassion.
Il faut savoir que le turban n'est pas un voile. Vous êtes convaincus que vous le portez mais c'est en réalité le contraire. Il ne faut pas prendre ça à la légère, le prophète (que la paix et le salut soit sur lui) a dit : « quand la femme est pubère seuls son visage et ses mains doivent apparaître.
Il est porté par les Arabes, nomades ou sédentaires. Chez les Kurdes, le turban fut jadis surmonté d'une crinière.
« Art. L. 141-5-1. - Dans les écoles, les collèges et les lycées publics, le port de signes ou tenues par lesquels les élèves manifestent ostensiblement une appartenance religieuse est interdit.
Le turban permet de tenir les long cheveux du sikh, qu'il ne coupe jamais, selon la règle du Kesh, par respect pour la perfection de la création de Dieu. Il contient le Kangha, un peigne en bois symbolisant le fait que le sikh prend soin de ses cheveux.
Le turban noir est un couvre-chef, accessoire traditionnel dans les pays chiites. C'est une partie de l'habit de tout théologien chiite descendant du prophète de l'islam Mahomet par l'un de ses deux petits-fils, Al-Hassan ibn Ali ou Al-Hussein ibn Ali, fils de Fatima Zahra.
Certains sont sertis de cristaux Swarowski, de perles, de rubans, et brodés de fil d'or. Certaines femmes orthodoxes plus traditionnelles portent une cloche en feutre ou même une tuque à la Catherine Dorion.
On dit souvent qu'un sikh sans cheveux longs et sans turban est comme un roi sans couronne. Mais, au Pendjab [Etat du nord-ouest de l'Inde à majorité sikhe], en particulier dans les campagnes, les jeunes sont de plus en plus nombreux à rejeter les symboles les plus visibles de l'identité sikhe.
Le keffieh (/ke. fje/ ; de l'arabe : كوفية, kūfīya) est la coiffe traditionnelle arabe, portée en Irak, en Jordanie, dans la péninsule arabique (en particulier les pays du golfe Persique) et par les Palestiniens, les Assyriens, les Kurdes et les Bédouins.
La religion sikhe est strictement monothéiste. Ses adeptes croient en un seul Dieu suprême, absolu, infini, éternel, créateur, la Cause des causes, sans inimitié, sans haine, à la fois immanent et transcendant. Il est appelé : le Guru suprême (ou en langage courant, « Quel Dieu ! »).
Le croissant avec une étoile, aujourd'hui considéré comme un symbole musulman, a longtemps été utilisé en Asie Mineure et par les anciens Turcs non encore islamisés, avant les débuts de l'Islam; selon les archéologues, les fouilles ont montré que les Köktürks utilisaient le croissant et l'étoile comme symbole pour leur ...
Le foulard se distingue de voile par sa taille, il est plus petit que le voile et il est plus épais. Le voile sera porté sur la tête et le foulard, il se porte noué autour du cou principalement. Il peut être rectangle ou carré alors que le voile, elle est toujours rectangle et jamais carré.
En effet, les couleurs claires (blanc, bleu, jaune...) ont tendance à garder un maximum de lumière tout en offrant une protection moindre. À l'inverse, les teintes foncées (gris, noir...) protègent très efficacement contre les UV, mais créent une ambiance un peu plus sombre.
Faites un nœud à 30 cm du bord, puis enfilez le chèche sur la tête avec le nœud à l'arrière et le reste du tissu devant. Vrillez ensuite le tissu qui se situe à l'avant de votre crâne, fermement pour que le chèche tienne bien sur votre tête.
Ils ont dû tester différentes couleur d'habit il y a très longtemps et préférer les couleurs sombres ! Cela dit, la véritable explication de l'habit noir (ou bleu marine) des bédouins réside dans ''l'effet ventilation''. Pour maintenir une température constante de 37 C, l'organisme utilise la transpiration.
Venez croiser le foulard sur le haut de la tête et faites les se croiser pour créer l'effet turban. Une fois le foulard croisé, faites revenir chaque pan du foulard sur le côté de la tête opposé. Aussi rabattez le foulard de manière parallèle en le collant sur la chevelure et venez le nouer dans la nuque.
Posez le foulard sur la nuque et sous les cheveux, puis remontez-le jusque sommet du crâne. Vous pourrez le nouer avec un joli noué apparent, mais s'il vous reste beaucoup de longueur croisez les pans de foulard et faites-les redescendre sur la nuque pour les nouer derrière la tête.
Elle garantit le libre exercice des cultes sous les seules restrictions (...) édictées dans l'intérêt de l'ordre public». Dans l'espace public, que ce soit dans la rue, les transports en commun, les commerces ou encore les centres commerciaux, chacun a le droit de porter un signe religieux ou le voile.
Les interdits et les limites aux libertés individuelles dans le cadre laïc. Le principe de laïcité a pour conséquence la séparation de l'État et des organisations religieuses. Il n'y a donc pas de service public du culte. L'État ne reconnaît, ne subventionne, ni ne salarie, aucun culte.
Le port d'un signe ou d'un vêtement religieux est autorisé. Toutefois, la liberté de se vêtir pendant le temps et sur le lieu de travail n'est pas une liberté fondamentale.