Hépatite B. La vaccination est obligatoire pour les enfants nés à partir du 1er janvier 2018.
Cette vaccination protège très efficacement et est parfaitement sûre chez les nourrissons. Il s'agit d'une protection à long terme qui protègera les enfants vaccinés dans l'enfance lorsqu'ils seront exposés au risque d'acquisition de l'hépatite B à l'adolescence ou à l'âge adulte (rapports sexuels, voyages, etc.)
La vaccination contre l'hépatite B est obligatoire chez tous les nourrissons nés à partir du 1er janvier 2018 dès l'âge de 2 mois. La vaccination est aussi recommandée, en rattrapage, chez tous les enfants ou adolescents jusqu'à l'âge de 15 ans révolus, non antérieurement vaccinés.
La prévention de l'hépatite B. La vaccination est la principale mesure de prévention de l'hépatite B ; elle permettra de réduire, à terme, le nombre de porteurs chronique du virus de l'hépatite B (VHB). Les autres mesures de prévention sont l'adoption de certaines règles d'hygiène et l'utilisation du préservatif.
Les vaccinations obligatoires sont les suivantes : diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP). Et, pour les résidents de Guyane, la fièvre jaune, à partir de 1 an. Les personnes titulaires de l'autorité parentale doivent veiller au respect de cette obligation.
Il s'agit des vaccinations contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l'haemophilius influenzae B (bactérie provoquant notamment des pneumopathies et des méningites), l'hépatite B, le méningocoque C (bactérie provoquant des méningites), les infections invasives à pneumocoque (bactérie provoquant ...
Enfant né avant 2018. Les vaccinations obligatoires sont les suivantes : diphtérie, tétanos et poliomyélite (DTP). Et, pour les résidents de Guyane, la fièvre jaune, à partir de 1 an. Les personnes titulaires de l'autorité parentale doivent veiller au respect de cette obligation.
Symptômes. L'hépatite B aiguë est souvent asymptomatique, ou provoque des symptômes évoquant une grippe (perte d'appétit et troubles digestifs, nausées, vomissements, fatigue, fièvre).
Durée de la protection
Chez les personnes en bonne santé qui ont reçu toutes les doses recommandées, la protection dure de 25 à 35 ans au moins et rien n'indique qu'une dose de rappel est nécessaire plus tard dans la vie.
Seule une prise de sang permet de savoir si une personne est immunisée ou non contre l'hépatite B. En effet, si on retrouve un taux d'anticorps anti-HBS (anticorps propres au virus de l'hépatite B) supérieur ou égal à 10 UI/l, cela signifie que la personne est bien immunisée contre l'hépatite B.
Une réaction locale (rougeur, douleur, enflure) à l'endroit de l'injection peut survenir chez environ 1 personne sur 10. Des réactions comme maux de tête, fatigue ou fièvre sont encore plus rares. Toutes ces réactions disparaissent en 1-3 jours.
L'hépatite B est une infection hépatique potentiellement mortelle causée par le virus de l'hépatite B (VHB). Il s'agit d'un problème majeur de santé publique. Le VHB peut aussi provoquer des infections chroniques et entraîne un risque important de décès par cirrhose ou cancer du foie pour les personnes exposées.
Principes de la vaccination contre le VHB
Depuis 1994, le schéma vaccinal initial qui comportait 3 injections suivies d'un rappel à 1 an a été allégé, comportant seulement 3 injections à 0.1.6 mois, suivies d'un rappel à 1 an.
À partir de 16 ans, elle est toujours possible mais elle est recommandée uniquement chez les personnes exposées au risque d'hépatite B. Les nouveau-nés de mère porteuse de la maladie doivent être vaccinés dans les 12h après la naissance.
L'hépatite C est plus grave que l'hépatite A et beaucoup plus grave que l'hépatite B. L'hépatite A se transmet par contact avec une personne qui ne s'est pas lavé les mains après avoir été à la toilette, ou par de la nourriture ou de l'eau contaminée. Elle n'entraîne pas d'infection ou de lésion hépatique à long terme.
Il vous suffit de prendre conseil auprès d'un professionnel de santé : un médecin, un pharmacien, une infirmière ou une sage-femme (si vous êtes une femme enceinte ou si vous venez d'accoucher).
Salive. La salive des personnes atteintes de l'hépatite B peut renfermer le virus, mais à une concentration beaucoup plus faible que dans le sang. Or, la salive infectieuse peut transmettre le virus si elle est injectée dans le sang. C'est pourquoi les morsures sont dangereuses.
Plusieurs facteurs de moins bonne réponse à la vaccination ont été identifiés, notamment l'âge et le sexe (> 30 ans chez l'homme et > 40 ans chez la femme), le surpoids, le tabagisme, la consommation excessive d'alcool, certaines caractéristiques génétiques (porteurs des allèles HLA de classe II DRB1 et DQB1) ou des ...
À ce jour, il n'y a pas de cure contre l'hépatite B chronique. La bonne nouvelle est qu'il existe des traitements qui, en ralentissant le virus, peuvent contribuer à ralentir la progression de la maladie du foie chez les personnes porteuses d'une infection chronique.
"Lorsque l'infection aiguë ne guérit pas, l'évolution se fait vers l'hépatite B chronique, définie par la persistance du virus dans l'organisme plus de six mois", constate le médecin. L'hépatite B chronique survient dans 2 à 10 % des cas et nécessite un suivi au long cours et parfois un traitement.
Il est donc préférable d'éviter la consommation de fruits ou légumes non cuits (sauf ceux ayant une pelure), et des salades vertes; mais aussi des viandes et poissons crus tout comme les fruits de mer et autres crustacés qui se consomment généralement crus.
D'autres vaccins restent encore facultatifs mais conseillés : le BCG, le papillomavirus humain, la grippe et le zona.
– Diphtérie, tétanos, poliomyélite : l'injection d'un rappel doit être réalisée tous les 10 ans. – Rubéole : cette vaccination est recommandée pour les femmes non vaccinées en âge de procréer.