Dieux et déités dans le bouddhisme. Dieu n'existe pas selon le bouddhisme; mais les dieux existent selon le bouddhisme. Toutefois, le bouddhisme ne peut être dit polythéiste, car les dieux n'y sont pas, proprement parler, des figures de transcendance; seuls les bouddhas et les êtres libérés le sont.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
QUI PRIE-T-ON ? Le bouddhisme n'étant pas une religion théiste, le bouddhiste ne prie pas un Dieu ou une entité extérieure, considérant qu'il a en lui-même la nature de Bouddha que son chemin spirituel va l'amener à réaliser.
Le bouddhisme est une voie individuelle dont le but est l'éveil, par l'extinction du désir égotique et de l'illusion, causes de la souffrance de l'homme. L'éveil est une base à l'action altruiste.
La vie des femmes dans l'ère culturelle bouddhiste traditionnelle est généralement divisée en trois temps : celui de l'enfance, celui de l'épouse, et celui de la mère de famille. Aux seuils de ces trois temps se trouvent la naissance, le mariage et la maternité.
Selon les textes, la viande des animaux sacrifiés est d'un côté interdite, de l'autre autorisée (pour les laïcs), les animaux frappés d'une interdiction de consommation relèvent de taxonomies différentes (chiens, ovins, porcs, bovins jusqu'aux éléphants et aux chevaux !), et ils sont soit mentionnés comme aliments ...
Le vinaya pitaka, en cinq volumes, qui comprend des règles de discipline pour le Sangha bouddhiste ; et L'abhidhamma pitaka, en sept volumes, qui est une systématisation philosophique des enseignements du Bouddha.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
Dans la mythologie chinoise, l'estomac est le reflet de l'âme. Par conclusion, le gros ventre de Bouddha serait à l'origine de son gros cœur, de sa bienveillance et de son amour pour autrui. Ce Bouddha au gros ventre symboliserait donc l'abondance, la plénitude, la richesse et la prospérité.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Il ne concerne pas l'aspect institutionnel, social. Ce n'est donc pas une religion qui a une emprise directe sur la société. C'est une religion non-théiste mais qui n'est pas pour autant athée : les dieux sont tolérés, mais pas vénérés. Elle met en avant l'esprit pour présenter le monde, agir avec le monde.
Le Vinaya Pitaka, en cinq volumes, contenant des règles de discipline pour le Sangha des moines et nonnes bouddhistes ; L'Abhidhamma Pitaka, en sept volumes, contenant une systématisation philosophique de l'enseignement du Bouddha.
On y trouve des légumes racine, des herbes, plantes et champignons sauvages à profusion. Les moines bouddhistes ont depuis longtemps banni la viande, le poisson et tous les ingrédients issus des animaux. Ils considèrent qu'il ne faut pas tuer pour se nourrir.
Shiva est considéré comme le dieu suprême et le créateur de l'univers dans le shivaïsme. Il est mentionné dans la mythologie hindoue que l'origine, la destruction et le maintien de l'univers sont associés à la danse de Shiva. Le concept de Shiva peut être repéré dans plusieurs traditions bouddhistes.
La roue dharmachakra est le symbole le plus connu du bouddhisme où elle représente, comme dans le jaïnisme, l'enseignement de la doctrine et l'union de toutes choses. Elle peut apparaître comme motif dans l'empreinte de pied Bouddha.
Idris (ou Enoch en hébreu) est le deuxième prophète à être cité dans le Coran.
Chaque perle est utilisée pour réciter un mantra, en commençant par la première perle après la « perle du gourou ». Les perles sont tenues entre l'index et le pouce de la main gauche, et à chaque nouvelle récitation, le pouce tire la perle vers l'intérieur, plaçant la perle suivante sur l'index.
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.
Les États comptant le plus grand nombre de bouddhistes au monde sont la Chine, la Thaïlande, la Birmanie, le Japon, et le Cambodge. Les pays ayant les plus petites communautés bouddhistes sont – entre autres – l'Angola, la Bolivie, l'Égypte, les Fidji, et Maurice.
L'éléphant, le tigre et le singe sont trois animaux vénérés par la culture bouddhiste majoritaire en Thaïlande, puisque 95% de la population y pratique cette religion.
Les lions et tigres sont les rois de la doctrine bouddhique car ils ont réussi à soumettre les êtres avec leur amour, leur compassion et leur sagesse. Les lions et tigres, comme les gardiens des temples, sont représentés par deux à l'entrées des enceintes de temple ou de lieux sacrés.
Pour le bouddhiste en général, être végétarien est un moyen de manifester sa compassion à l'égard des animaux. À la différence des hindous végétariens, la viande n'est pas pour lui "impure" en elle-même. Il ne trouverait rien à redire, en principe, au fait de manger un animal mort de façon naturelle.