Du côté des carnivores, les coccinelles aleurodiphages dévorent les aleurodes, ces minuscules mouches blanches qui passent beaucoup de temps à sucer la sève de nos plants de tomates, d'aubergines, de courges, de choux, de fraisier et il est même possible de les retrouver sur la menthe, le géranium ou encore le rhodo !
Ces coccinelles sont des prédateurs généralistes qui se nourrissent principalement de pucerons et autres insectes à corps mou, mais aussi d'acariens, de cochenilles, de thrips, d'œufs d'insectes, de pollen et de nectar.
Ce sont des prédateurs voraces et efficaces contre les insectes ravageurs. Elles se nourrissent de plus de 50 espèces de pucerons.
Son cycle de vie
La coccinelle a une espérance de vie de 2 ou 3 ans ; en captivité néanmoins, elle survit rarement plus d'un mois. Elle peut donner naissance, au cours de sa vie, à des milliers de larves.
Comme la coccinelle et les oiseaux insectivores, la libellule peut être un véritable atout complémentaire dans la lutte féroce (et annuelle) contre Des moustiques.
On ne peut pas vraiment parler de chasse : la larve de coccinelle se promène sur les feuilles et le long des tiges et elle dévore tout puceron se trouvant sur son passage. La larve grossit et passe par 4 stades larvaires successifs, en muant à la fin de chacun des stades qui durent environ 4 à 5 jours.
Concernant la mouche domestique, celle qui vit dans nos maisons françaises, à l'état larvaire, elle se nourrit de matières organiques en décomposition et de matières fécales. Sensibles à la lumière, les larves cherchent à pénétrer profondément dans la nourriture, ce qui les placent également à l'abri des prédateurs.
L'entomologiste à l'Insectarium de Montréal Marjolaine Giroux confirme qu'elles peuvent mordiller, mais elles ne sont pas dangereuses.
Faute de vrai coeur, les insectes (et donc aussi les fourmis) ont un vaisseau dorsal ouvert à ses deux bouts. Dans sa partie postérieure ("coeur"), ce vaisseau se divise en plusieurs chambres délimitées par des valves.
Fiche d'identité : la coccinelle à 2 points
Elle porte deux robes distinctes, qu'elle soit mâle ou femelle. On trouve des coccinelles rouges avec deux points noirs ou des noires avec des points rouges. Le mâle est plus petit que la femelle.
On peut aussi mettre un papier (ou essuie-tout) humide dans la boîte pour qu'elle puisse boire de l'eau (si on lui met de l'eau, elle risque de se noyer).
Il y a donc beaucoup de coccinelles pour peu de nourriture. Alors lorsqu'elles atterrissent sur la peau, elles goûtent simplement. On ressent alors un léger pincement...!
Pour favoriser l'hivernage des coccinelles, vous pouvez également mettre en place un paillage d'hiver, constitué de feuilles mortes. À condition bien sûr de ne pas le nettoyer avant la fin du mois de mars ! Les fagots, disposés à la verticale ou à l'horizontale, constituent également de bons gîtes pour les coccinelles.
Ces coccinelles sont des prédateurs généralistes qui se nourrissent principalement de pucerons et autres insectes à corps mou, mais aussi d'acariens, de cochenilles, de thrips, d'œufs d'insectes, de pollen et de nectar.
Ainsi, l'apparition soudaine de coccinelles près de chez vous est avant tout synonyme d'une activité énergétique importante. Le plus souvent (pas toujours mais bref, cela est une autre question), ces énergies sont positives. Voir une coccinelle sera alors véritablement un porte-bonheur, un signe de chance.
La coccinelle asiatique possède dans ses œufs des parasites, donc ils peuvent engendrer la mort d'autres insectes si ces derniers les ingèrent. Pour l'homme, elle ne présente pas de risques importants. Les toxines qu'elle rejette provoquent dans certains cas des allergies.
Elles ne supportent pas le froid ; elles cherchent alors à s'infiltrer à l'intérieur. Rassurez-vous, car durant l'hiver, elles dorment, ne mangent pas et ne se reproduisent pas. Bien que leur présence ne soit pas « nuisible » à l'être humain, elle est certes agaçante.
Les coccinelles peuvent voler, mais lorsqu'elles atterrissent, elles replient leurs ailes à l'abri des regards sous leurs élytres afin de protéger ces structures fragiles des prédateurs.
La coccinelle ne cherche un abri que durant l'hiver : dans le jardin ou dans la maison, dans un tas de bois, un muret de pierres sèches, dans les fissures d'un mur, sous un tas de feuilles mortes, dans les mousses ou sous les écorces.
Les coccinelles apprécient les orties où elles se reproduisent et pondent. D'autres plantes telles que la capucine, les fèves … attirent les pucerons et donc les coccinelles ! Vous pouvez aussi planter une prairie fleurie avec des achillées, anthémis, centaurées, de la bourrache ou encore de l'absinthe.
Les coccinelles possèdent 2, 5, 7, 10, 14, 22 ou même 24 points. Contrairement à la croyance populaire, le nombre de points ne détermine pas l'âge de l'insecte puisque son espérance de vie ne dépasse guère les 3 ans. Les motifs servent surtout à différencier les espèces.
Comment les coccinelles se défendent-elles ? La coccinelle a une méthode assez étonnante pour se protéger. Lorsqu'elle est attaquée, elle émet de petites gouttes d'un liquide jaune au goût très désagréable. Ainsi, les oiseaux associent sa couleur vive à un mauvais goût et ne la pourchassent pas.
LES ARAIGNÉES, VÉRITABLES PRÉDATEURS.
Bonjour, D'après nos recherches, il semblerait que la mouche ne fasse pas vraiment pipi... En effet, si les mouches ont bien des reins (appelés tubules de Malpighi), ces quatre longs tubes associés par paire rejoignent le canal alimentaire de la mouche au niveau où l'intestin moyen devient l'intestin postérieur.
Leur système circulatoire ne sert d'ailleurs pas à la respiration et a plutôt un rôle immunitaire et de transport des nutriments. Mais les insectes ont bien un système digestif, garni en microbes, débouchant sur un bel anus et sont donc potentiellement des péteurs.