Non. Les coquillages n'ont pas de système nerveux central et ne peuvent donc pas ressentir de la douleur.
Un système nerveux très élaboré
Il est désormais clair que les crustacés et les mollusques peuvent ressentir la douleur, et il est donc tout à fait juste qu'ils soient couverts par ce texte de loi essentiel.”
Ils ont bien un système nerveux mais celui-ci n'est constitué que d'un réseau de nerfs et de paires de ganglions. Il est donc très peu probable que ces coquillages ressentent de la douleur ou du moins, une douleur comparable à la nôtre ou à celle des vertébrés.
En revanche, les insectes en sont dépourvus (un criquet continue à manger pendant qu'il se fait dévorer par exemple). On peut donc dire que les insectes ne ressentent pas la douleur.
Appareil circulatoire
Le cœur, entouré du péricarde, est formé de deux oreillettes et d'un ventricule cardiaque.
Les mollusques comme la moule, ont une coquille à deux valves, des branchies. Ils n'ont pas de tête distincte. Ils se nourrissent en filtrant l'eau. Les mollusques comme les calmars, ont une grosse tête avec des yeux énormes et une bouche cornée.
Son goût inimitable est très iodé et prononcé. Sa chair de couleur vive en fait un produit de la mer très raffiné.
A l'inverse des poissons, les crabes peuvent ressentir la douleur. C'est la conclusion d'une étude nord-irlandaise. Conséquence : les crabes souffriraient avant d'être ébouillantés. Le crabe n'est pas le gros dur que l'on croit.
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
Au total, les poissons possèdent un système nociceptif complet et très semblable à celui des mammifères, mais cela n'implique pas nécessairement qu'ils ressentent la douleur. C'est par d'autres observations que l'on peut tenter de répondre à cette question. Les poissons ressentent effectivement la douleur.
Ces créatures ne souffrent d'ailleurs pas que lorsqu'elles sont jetées dans l'eau bouillante. Les chercheurs soutiennent que les homards et les crabes ressentent très certainement de la douleur lorsqu'on leur retire une ou des pinces avant de les remettre à l'eau, une pratique qui est déjà interdite au Royaume-Uni.
Ne pas mâcher l'huître
Si vous l'avalez d'un coup, vous perdrez tout l'intérêt de consommer ces fruits de mer. À noter que vous pouvez contrôler la fraicheur d'une huître juste avant de la manger en y mettant quelques gouttes de jus de citron. Si elle se rétracte, c'est qu'elle est vivante (et donc fraîche).
La moule, est une créature douée de conscience et redoutable guerrier des restaurants, animal légendairement farouche qui aime l'eau bouillante et les restos belges.
Certaines espèces d'invertébrés pourraient ressentir du plaisir, de l'excitation ou de la douleur, d'après une étude relayée par Slate.
Sur le bord du manteau, s'alignent une douzaine d'yeux qui observent les environs. Ces yeux sont assez simples, ne détectant que des changements de luminosité qui indiquent la présence d'un éventuel prédateur.
Les vers sont des invertébrés et sont insensibles à la douleur. Ils ressentent les choses mais sans pour autant en souffrir ! Bien sûr, le ver se tortille quand on l'enfile sur l'hameçon, mais c'est là un simple réflexe et non une réaction liée à la douleur.
L'abattage du porc se réalise par une saignée dans la poitrine. La section des artères et veines du tronc brachiocéphalique interrompt l'apport de nutriments et d'oxygène au cerveau, provoquant ainsi la mort de l'animal.
L'acte est accompli par un shohet, spécialiste dûment autorisé et formé aux lois de la shehita. Il coupe, au moyen d'un couteau particulier, la trachée, l'œsophage, les artères carotides et les veines jugulaires ; la bête abattue est suspendue la tête en bas de façon qu'elle se vide de son sang.
En France, sauf pour les abattages rituels qui bénéficient d'une dérogation, les moutons et les agneaux sont « étourdis » au moyen d'une pince à électronarcose avant d'être saignés.
En premier lieu, leur chair contient naturellement des microbes et toxines qui se développent très vite après la mort. Les cuire vivants réduit donc grandement les risques d'empoisonnement alimentaire. On les reçoit vivants pour cette même raison.
Pourtant, le homard ne crie pas quand on le plonge dans l'eau bouillante : ce sont les poches de gaz contenu dans sa carapace qui gonflent sous l'effet de la chaleur et la fissurent.
Ce crustacé décapode possède un cœur qui est placé au milieu du thorax. Il est suspendu dans un grand sac péricardique. Du sang est envoyé dans les artères ramifiées pour atteindre les différents organes du homard.
Si vous achetez des moules fraîches, veillez à ce que leur coquille soit bien fermée, et éliminez les moules dont la coquille est cassée, celles qui sont ouvertes et celles qui dégagent une odeur forte.
Selon la tradition, effective aussi pour les autres coquillages comme les huîtres, on ne devrait manger des moules que pendant les mois en -r : janvier, février, mars, avril, septembre, octobre, novembre, et décembre.
En effet, les Moules sont riches en protéines (20 g pour 100 g) et contiennent peu de lipides et de glucides (environ 3 g). Ce sont des trésors de bienfaits : elles figurent parmi les aliments les plus riches en calcium, magnésium, fer, zinc et sélénium.