Didier van Cauwelaert : Oui, absolument ! Il ne s'agit pas de faire de l'anthropomorphisme, mais de partir de la définition de l'émotion, soit quelque chose qui déclenche des réactions physiologiques qui amènent à un trouble pouvant se répercuter à l'extérieur.
Des expériences en laboratoire (qui ont mesuré les plantes avec des électrodes) ont prouvé que les plantes réagissent quand on les soigne ou, au contraire, quand on leur brûle leurs feuilles, ou quand on "fait mal" à un congénère voire même à un autre animal.
Entre autres choses, les plantes sont sensibles à la lumière et aux odeurs, elles perçoivent les vibrations sonores et le taux d'humidité, et ressentiraient un toucher aussi léger que les pas d'une chenille. Mais la douleur est un mécanisme spécifique, intervenant dans la survie d'un individu.
La souffrance des plantes, aussi hypothétique qu'inexistante. Il n'y a tout simplement aucune étude scientifique qui trouve la moindre trace de douleur chez les plantes ni même des études qui le suggéreraient. Nous ne pouvons donc pas dire aujourd'hui que les plantes souffrent.
Les plantes réagissent physiologiquement à ces stimulations extérieures. Elles ne sont pas seulement capables de percevoir des signaux, elles peuvent aussi en envoyer. Autrement dit, elles communiquent entre elles.
Les plantes sont des êtres vivants, il est donc normal de penser qu'elles peuvent ressentir la douleur, mais la réponse à cette question est négative : les plantes ne ressentent pas la douleur, car elles ne disposent pas du système nerveux et du cerveau pour traiter les stimuli de cette manière.
Les plantes communiquent avec leur environnement par un mode chimique et un mode vibratoire. Le psychisme de la plante est accessible par son champ vibratoire. En apprenant la perception et la lecture de son champ vibratoire, nous avons la capacité d'entrer en communication avec la plante.
Donc c'est exactement ce que tu dis, quand on coupe une feuille à une plante, c'est comme à nous lorsqu'on nous coupe les cheveux ou l'extrémité des ongles, elles ne ressentent rien. Même lorsqu'on lui coupe trop de feuilles ou une branche, ce qui représente un danger, elle ne ressentira rien.
Selon les recherches menées par Peter Wohlleben, spécialiste en écologie forestière, les arbres ont des émotions, ils sont capables de ressentir la douleur, la peur et même l'affection.
Une nouvelle étude affirme que les carottes souffrent quand on les épluche. Fruit de plusieurs années de recherche, des scientifiques affirment que les légumes souffrent quand on les épluche. C'est notamment le cas de la carotte, qui posséderait le plus de cellules microsensibles chez les végétaux.
Les plantes perçoivent leur environnement et s'y adaptent par diverses formes de mouvements. Des capacités qu'on a longtemps cru réservées aux animaux et que l'on commence à décrypter.
Les plantes ne se déplacent pas comme les animaux, mais elles sont bien vivantes puisqu'elles naissent, grandissent et meurent. En grandissant les plantes se déplacent en hauteur là où elles se sont fixées. En lançant leurs graines, ou en les faisant transporter par des animaux, elles gagnent du terrain.
Pour cette société de chasseurs et d'horticulteurs forestiers, bien des êtres que nous appelons naturels, notamment les plantes cultivées et la plupart des animaux, sont dotés d'attributs identiques à ceux des humains. Ces attributs, on les résume par un prédicat particulier qui est la possession d'une âme.
Les plantes nous regardent. Elles ont la capacité de déchiffrer les choses qui sont autour d'elles. Stefano Mancuso est le directeur du laboratoire de neurobiologie végétale de l'université de Florence en Italie.
La sensitive (mimosa pudica) elle aussi est dotée de mémoire. Cette plante, connue pour replier ses feuilles lorsqu'on la touche et qu'elle se croit menacée, est capable de mémoriser l'absence de danger et d'adapter ses comportements.
Est-ce suffisant pour dire que les arbres sont intelligents ? Ils sont en tout cas dotés d'une forme de mémoire (cela a été démontré sur les plantes par le botaniste), d'une forme de conscience d'eux-mêmes et de leurs congénères, ainsi que d'une capacité de résistance et de résilience.
Peur irraisonnée des forêts.
Depuis Aristote, les arbres, comme les autres plantes, sont perçus comme des organismes vivants, mais passifs, juste capables de croître, de respirer et de se nourrir.
Est-ce que les animaux et les plantes sont des êtres vivants? Oui, car ils se nourrissent, se développent et se reproduisent, tout comme les êtres humains. D'ailleurs, en biologie, les êtres humains font partie des animaux.
L'utilisation de peinture d'émondage est carrément déconseillée. Nos ancêtres le croyaient! La théorie était que couvrir la blessure avec une peinture ou un autre produit imperméable empêchait les champignons de s'y installer.
L'argile : plusieurs compositions naturelles à base d'argile peuvent servir de mastic de cicatrisation. Pour les plus pressés d'entre vous, vous pouvez vous contenter de mélanger de l'eau de pluie à l'argile jusqu'à obtenir la consistance idéale à son application.
Orchidée : symbolise l'amour, la fertilité et le raffinement. Pachira : apporte bonne fortune et prospérité Palmier : signifie victoire. Peperomia : représente la confiance, l'optimisme.
D'après les scientifiques, presque toutes les espèces végétales entretiennent des relations avec les champignons vivant dans le sol. Ces champignons peuvent relier les racines de différents arbres (et d'autres plantes) pour créer ce qu'on appelle un réseau mycorhizien.
Autrefois ignorés, les arbres ont retrouvé leur place parmi les vivants grâce aux études scientifiques récentes. Ces êtres sont munis d'une « conscience de soi », d'une sensibilité et d'une forme d'intelligence, constatent les chercheurs. Les travaux récents de la biologie végétale ont ouvert la voie à une révolution.
Le pape François a expliqué jeudi, durant son allocution hebdomadaire sur la place Saint-Pierre au Vatican, que les chiens, «comme toutes les créatures de Dieu» avaient leur place au ciel.