L'intelligence artificielle peut polluer autant que 5 voitures. Les algorithmes d'intelligence artificielle se trouvent derrière de nombreuses fonctionnalités du web. Mauvaise nouvelle : leur empreinte carbone est désastreuse, explique une étude américaine. On le sait, le numérique ne brille pas par son bilan carbone.
La technologie et l'évolution de l'Intelligence artificielle contribuent à améliorer nos outils de travail. Cependant, ils sont responsables d'un grand taux de pollution. L'IA est notamment un outil très performant qu'il faut maîtriser afin de contribuer positivement à une planète plus saine.
Tout au long de la durée de vie du robot (fabrication, utilisation, fin de vie), les processus mis en jeux ont de multiples impacts négatifs sur l'environnement, comme le rejet de gaz à effet de serre, le rejet de matériaux polluants et/ou toxiques dans le sol et les nappes phréatiques ou encore l'endommagement des éco ...
D'une part, la robotisation croissante peut être une menace pour les emplois nécessitant une main-d'œuvre peu qualifiée, ce qui laisserait de nombreux travailleurs sur le carreau. D'autre part, les robots sont également susceptibles d'apporter une solution au vieillissement croissant de la population active.
L'utilisation d'un robot collaboratif expose les salariés à des risques inhérents aux machines. Une attention particulière doit être portée aux risques supplémentaires liés à la coactivité : choc, écrasement, brûlure, stress notamment.
Les systèmes avancés d'IA pourraient entre autres créer des pathogènes, des cyberattaques, ou manipuler les gens. Ces capacités pourraient être utilisées à des fins malveillantes, ou potentiellement utilisées par l'IA elle-même si mal alignée.
Selon eux, l'IA pourrait être utilisée pour générer des informations erronées susceptibles de déstabiliser la société. Dans le pire des cas, les machines pourraient devenir si intelligentes qu'elles prendraient le pouvoir, entraînant l'extinction de l'humanité.
La robotique joue également un rôle social important avec les personnes isolées, notamment les personnes âgées ou en situation d'handicap. Certaines maisons de retraite l'ont bien compris et ont intégré au sein de leur équipe soignante des robots qui dansent et qui chantent, rompant ainsi la monotonie de la journée.
L'automatisation par une robotique avancée et l'intelligence artificielle n'affecteront pas seulement les postes exigeant des compétences élémentaires. Il y a également des gains économiques à réaliser dans la réduction du temps consacré aux tâches et services quotidiens exécutés par des collaborateurs plus confirmées.
Les dangers peuvent survenir lors de l'utilisation du robot mais aussi lors de sa maintenance ou de son réglage : risques mécaniques élevés de collision avec l'utilisateur, du fait notamment de la vitesse élevée d'exécution, du manque ou de la difficulté d'anticipation de certains mouvements des parties mobiles, de la ...
Les robots sont parfaits, car ils exécutent des opérations de qualité. Le robot va effectuer une tâche de façon très précise et à une même constante. Cela permet d'éviter les erreurs humaines et donc de respecter les délais.
Ils sont destinés à exécuter certaines tâches répétitives, éprouvantes ou toxiques pour un opérateur humain : peinture ou soudage des carrosseries automobiles. Aujourd'hui, l'évolution de l'électronique et de l'informatique permet de développer des robots plus précis, plus rapides ou avec une meilleure autonomie.
L'entrée d'un robot crée une opportunité d'automatiser le processus de production en vue d'une meilleure compétitivité. En introduisant la robotisation, l'entreprise prouve sa capacité d'adaptation à l'industrie 4.0 et montre ainsi l'aptitude à répondre aux nouvelles exigences des clients et des travailleurs.
Les trois pays les plus gros émetteurs de CO2 sont donc : La Chine responsable à hauteur de 32.9% des émissions de CO2, en grande partie dues à l'exportation de biens de consommation et à sa forte dépendance au charbon ; Les États-Unis responsables à hauteur de 12.6% ; L'Inde responsable à hauteur de 7.0%.
Depuis, c'est l'ascension fulgurante, ou plutôt la descente aux enfers… En 2021, on dépassait la barre des 35 milliards de tonnes de CO₂. Et, le plus fou, c'est qu'un seul pays est responsable d'un tiers de cette pollution : la Chine. Plutôt logique puisqu'il est l'usine du monde entier !
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Pour mesurer l'effet des différents polluants (méthane, dioxyde d'azote…), les spécialistes calculent un pouvoir de réchauffement global en « équivalent CO2 ».
La robotisation peut aussi servir aux employeurs pour "abaisser le niveau de qualification nécessaire pour un emploi afin de réduire les coûts de formation et de recrutement" ce qui peut conduire à "des stagnations de salaire et à une insécurité de l'emploi", d'après la même source.
Comme lors des précédentes révolutions technologiques, les machines vont accomplir des tâches répétitives, ennuyeuses et parfois risquées. Cela laisse aux humains l'occasion de se concentrer sur des tâches plus novatrices, plus créatives, avec plus de travail d'équipe — ce que l'on appelle « l'intelligence sociale ».
Manque d'adaptation : en effet, comme on l'a vu précédemment, un robot ne peut pas s'adapter à toutes les circonstances et à tous les apprenants à l'instar d'un humain ; n'ayant pas les capacités de sortir de sa zone de data, le risque serait d'obtenir un enseignement très binaire ou incomplet.
Un bras mécanique articulé de 1,5 tonne imaginé par l'Américain George Devol et Joseph Engelberger. Ce dernier, ingénieur et fan de l'écrivain de science-fiction Isaac Asimov, est considéré comme le père de la robotique moderne.
D'après l'OCDE, l'automatisation du marché du travail pourrait frapper des régions entières et accroître les inégalités si les entreprises et les pouvoirs publics ne font pas d'efforts supplémentaires pour renforcer les compétences de la main d'oeuvre située dans les zones rurales notamment.
L'évolution de l'électronique et de l'informatique, permet aux robots de réaliser des tâches de plus en plus complexes, avec de plus en plus d'autonomie, de plus en plus rapidement. C'est ce qui a permis l'industrialisation de nos sociétés.
Piratage des systèmes contrôlés par l'IA : perturber les infrastructures en causant par exemple une panne d'électricité généralisée, un engorgement du trafic ou la rupture de la logistique alimentaire. Chantage à grande échelle : recueillir des données personnelles afin d'envoyer des messages de menace automatisés.
Comme pour de nombreuses autres technologies, le danger principal de l' IA est lié aux êtres humains – de la conception à l'utilisation. Un logiciel de recrutement risque de discriminer des candidats s'il reproduit mécaniquement les partis pris humains existants dans la société.
Il faudra plus de 40 ans pour que l'intelligence artificielle atteigne un niveau suffisant pour rivaliser avec l'homme dans toutes les tâches, et plus de 100 ans pour qu'elle puisse occuper tous les emplois. C'est ce qui ressort d'une enquête auprès de 300 experts de la discipline.