Dans cette généalogie, il est parfois difficile de déterminer qui est homme et qui est singe, mais il est en tout cas inexact de dire que l'homme descend du singe. Il est bien plus juste de constater simplement que l'homme actuel et les singes modernes ont un ancêtre commun.
L'évolution concerne toutes les espèces. L'homme n'est pas au sommet de l'arbre comme étant l'espèce la plus évoluée. Toutes les espèces ont évolué et l'homme ne descend pas du singe. Nous partageons la même famille que les grands singes, nous sommes donc des cousins.
Les espèces actuellement les plus proches de l'humain sont donc les deux espèces de chimpanzé : Pan troglodytes (le chimpanzé commun) et Pan paniscus (le bonobo). Dans leur proximité phylogénétique à l'Homme viennent ensuite le gorille et l'orang-outan.
Un primate vieux de quelque 13 millions d'années, qui pourrait avoir été le dernier ancêtre commun de l'homme et des grands singes, a été découvert en Espagne, annonce la revue Science.
C'est pourquoi, la reproduction entre nos deux espèces n'est pas envisageable. Si une expérience tentait de féconder in vitro un ovule de chimpanzé et un spermatozoïde humain ou l'inverse, personne ne peut dire ce que cela produirait.
L'accouplement sans finalité de reproduction est un exutoire permettant aux singes de resserrer les liens et de communiquer. D'une durée moyenne de quatorze secondes, les rapports sexuels s'engagent en moyenne une fois toutes les 90 minutes.
Des scientifiques ont implanté des cellules souches humaines, capables de devenir n'importe quel tissu, dans des embryons de cochons ensuite transférés dans l'utérus de truies porteuses.
L'origine de l'Homme a été ainsi promenée d'un continent à l'autre jusqu'à sa fixation en Afrique tropicale. Soixante années de recherches internationales dans cette région ont permis de dessiner un arbre phylogénétique de l'Homme depuis environ 10 millions d'années, avec un grand nombre de ses branches.
Homo habilis (2,4 à 1,6 millions d'années) Il a vécu en Afrique de l'Est et en Afrique du Sud. On le considère comme le premier homme véritable en raison de la forme de son crâne et sa capacité crânienne, 600 cm3 en moyenne.
L'homme est issu de ces lointaines formes ancestrales. Il y a environ 10 millions d'années, deux grandes lignées, deux grandes familles, se détachent du tronc des Primates : l'une conduisant aux grands singes actuels (le chimpanzé, le gorille, l'orang-outan), l'autre aboutissant à l'homme.
Ils ont évolué en deux groupes distincts : les hominidés et les hylobatidés (gibbons). À la fin du Miocène, il y a 8 à 9 millions d'années, les hominidés se sont divisés en deux groupes : l'un donnera les gorilles et l'autre, les hommes, les chimpanzés et les bonobos.
Les grands singes, qui partagent déjà la majorité de leur génome avec les Hommes, ont aussi un de leur comportement social qui se rapproche du nôtre.
7 000 000 d'années : apparition des premiers ancêtres de la lignée des « hommes ». 3 500 000 ans : début de la bipédie prouvée par des traces de pas découvertes à Laetoli (Afrique, Tanzanie). 2 700 000 ans : Apparition de l'Homo habilis et premiers outils débités.
La raison est sans doute que six millions d'années de séparation ont produit trop de différences dans les structures des chromosomes et de mutations incompatibles entre les lignées de ces espèces pour que leurs cellules sexuelles puissent encore se féconder.
Peau, poils, organes des sens… La peau humaine comprend une couche de graisse. Les poils sont moins nombreux chez l'Homme adulte que chez le singe adulte, ce qui n'est pas le cas du fœtus qui a quand même 2.300 poils au cm2 ; ça laisse songeur ! La croissance des cheveux est continue chez l'Homme.
Les poussières qui étaient dans le nuage se sont agglomérées pour former des « grains de sable », puis de gros rochers, et, attirés par la force de gravité, ces rochers se sont assemblés lors de violentes collisions qui ont fait fondre la roche ! Boum ! Un peu comme une boule de neige qui amasse tout sur son passage.
Dans les premiers temps de son existence, la Terre a connu une intense activité volcanique. L'expulsion massive de gaz vers la surface s'est ensuite soldée par la formation d'une atmosphère à très forte teneur en CO2 (gaz carbonique ou dioxyde de carbone).
En 2013, le linguiste américain Andrew Byrd, de l'université du Kentucky, a enregistré un texte dans une langue qui pourrait avoir été parlée en Europe il y a 4 000 à 6 000 ans, en s'appuyant sur les plus anciennes traces de sanskrit, de latin et de grec (soundcloud.com/archaeologymag).
Cette fois, il n'y a plus de doute: de nouvelles études génétiques prouvent que nous descendons bien des poissons. On s'en doutait déjà mais les indices se multiplient.
-Le premier homme apparaît en Afrique il y a 2,4 millions d'années. L' « homo habilis » fabrique des outils en taillant la pierre : c'est le paléolithique et le début de la Préhistoire. -Vers 1,9 millions d'années l' « homo erectus » lui succède. Il migre en Europe et en Asie.
Les premiers organismes vivants seraient donc apparus sur Terre à peine quelques centaines de millions d'années après la formation de la planète. Les travaux scientifiques contemporains sur les origines de la vie adoptent des approches très diverses, qu'elles soient ancrées dans la biologie, la biochimie ou la chimie3.
Chez les singes, cet appareil est complet… mais incapable de produire le moindre mot. En effet, chez ces animaux, le larynx est situé trop haut. Ce léger décalage n'est pas sans conséquence. Car cet organe est le principal élément de l'appareil phonatoire, c'est lui le producteur de sons.
Faire un bébé toute seule, c'est possible. C'est notamment le cas des espèces comme les phasmes, les requins-marteaux ou encore les dindons, qui n'ont pas obligatoirement besoin de mâles pour se reproduire. Cela s'appelle la parthénogenèse.
La parthénogenèse est courante chez les petits invertébrés tels que les abeilles, les guêpes, les fourmis et les pucerons, qui alternent entre reproduction sexuée et reproduction asexuée, mais l'on trouve des cas de parthénogenèse chez d'autres espèces, comme les reptiles, les poissons et dans une moindre mesure ...
L'homosexualité existait donc bien chez nos ancêtres préhistoriques, même si elle a été longtemps taboue chez les scientifiques. Sexe entre femmes, entre hommes, scènes de zoophilie ou de masturbation, représentations magiques ou obsessionnelles de sexes fendus ou en érection, Cro-Magnon ne s'interdit rien.