L'hydrogène est un gaz extrêmement inflammable et réactif. Il brûle avec une flamme légèrement bleue qui devient pratiquement invisible à haute température.
L'hydrogène réagit avec l'oxygène pour former de l'eau et cette réaction est extraordinairement lente à température ambiante; mais si elle est accélérée par un catalyseur, comme le platine, ou une étincelle électrique, elle est produite avec une violente explosion.
L'hydrogène est un combustible qui brûle jusqu'à 2800 degrés Celsius (environ 700C en cas de combustion dans l'air). (et en mélangeant le gaz avec l'hydrogène existant).
Les dangers de l'hydrogène. En tant que combustible, l'hydrogène est hautement inflammable et les fuites d'hydrogène présentent donc un risque sérieux d'incendie. Toutefois, les incendies d'hydrogène sont sensiblement différents des incendies impliquant d'autres combustibles.
Il appelle ce gaz « air inflammable » (en anglais : inflammable air) et s'aperçoit que sa combustion produit de l'eau.
Le SP98 va s'enflammer à une pression et une température plus élevées que le SP95, car il a une meilleure résistance à l'auto-inflammation de l'octane. Pour le SP95, l'indice d'octane est plus faible, donc l'auto-inflammation intervient plus tôt. Le carburant adapté permet l'explosion dans le moteur au bon moment.
L'acétylène, l'ammoniac, l'hydrogène, le propane, le propylène, le méthane sont tous des gaz inflammables, aussi appelés gaz combustibles. Ils brûlent lorsqu'ils sont mélangés avec un oxydant (par exemple, l'oxygène) et une source d'inflammation se trouve à proximité.
Couper l'alimentation; en cas d'impossibilité et en l'absence de risque à proximité, laisser le feu s'éteindre. Sinon, l'éteindre avec de l'eau pulvérisée, de la poudre, du dioxyde de carbone. En cas d'incendie: maintenir les bouteilles à basse température en les arrosant d'eau.
L'hydrogène produit par électrolyse de l'eau peut atteindre après une purification éventuelle une pureté de l'ordre de 99,999%. 2. Le craquage de l'eau. Le craquage de l'eau par le procédé thermochimique nécessite une chaleur d'environ 850°C fournie par des réacteurs nucléaires à haute température.
Mais l'hydrogène n'est pas une solution miracle du point de vue écologique. Il génère des pollutions, et son faible rendement le rend peu avantageux pour les usages où l'électricité peut déjà remplacer les énergies fossiles.
Il existe différents gaz, qui en s'embrasant, provoque une flamme invisible à l'œil nu. Par exemple, le méthanol, l'éthanol ou encore le vecteur d'énergie du futur, l'hydrogène, émettent des gaz incolores.
L'un des inconvénients de la voiture hydrogène vient de la production de l'hydrogène. Quelle que soit la méthode utilisée, d'importantes quantités d'énergie sont nécessaires pour produire ce gaz.
Un atome très léger
La très grande légèreté de l'atome H2 rend les risques d'explosions très différents de ceux qui entourent d'autres gaz présents dans les véhicules aujourd'hui : GNV, GPL, vapeurs d'essence.
L'hydrogène est un gaz qui est difficile à stocker car il est tellement petit et léger qu'il se faufile partout et il nécessite d'importants moyens techniques pour le stocker à température basse et à très haute pression.
Vers 2024, la production de ce gaz permettra de générer près de 6 gigawatts d'énergie et environ 40 gigawatts en 2030. Ce plan européen évoquant entre 180 et 470 milliards d'euros d'investissements jusqu'en 2050 devrait donc participer à une rapide expansion des voitures à hydrogène dans les années à venir.
Sur une voiture à hydrogène, l'autonomie n'est pas un réel problème. Si l'offre reste encore limitée, les modèles aujourd'hui commercialisés peuvent parcourir plus de 500 à 600 km avec un plein.
Il existe trois méthodes pour fabriquer de l'hydrogène : l'électrolyse de l'eau, le reformage du gaz (ou vaporeformage) et la pyrolyse de méthane.
L'hydrogène peut aussi être fabriqué à partir de l'électricité, par l'électrolyse de l'eau. Elle consiste, à l'aide d'un courant électrique, à décomposer l'eau (H2O), en dioxygène (O2), d'un côté, et en dihydrogène (H2) de l'autre.
Pourquoi ne peut-on pas éteindre un feu avec de l'eau salée ? Salée ou pas, l'eau reste un inhibiteur de combustion, donc à priori, même salée, il n'y a aucune raison de penser qu'elle ne puisse éteindre un feu !
La molécule d'eau est une molécule suffisamment stable pour ne pas réagir chimiquement à la chaleur d'une flamme.
C'est parfois derrière les questions les plus simples que l'on trouve les réponses les plus étonnantes : l'eau n'éteint pas le feu parce que c'est du liquide. L'eau vient étouffer les flammes du feu et le refroidir.
Le CO est un gaz incolore et inodore à température et pression normale, avec une densité voisine de celle de l'air. Il est le résultat d'une combustion incomplète, quel que soit le combustible utilisé (bois, butane, charbon, essence, gaz naturel...).
Le monoxyde de carbone. Ce gaz toxique est un produit de combustion émis par les appareils de chauffage mal entretenus et vétustes (combustion mal réglée/incomplète, conduit obstrué…). Ce gaz est d'autant plus dangereux qu'il est invisible, inodore et qu'il n'irrite ni les yeux ni les voies respiratoires.
Leur fort impact carbone participe à l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre. Pour cette raison, l'installation des chaudières à gaz dans les constructions neuves est interdite depuis le 1er janvier 2022, pour les permis de construire déposés à partir de cette date.