Quels sont les effets indésirables ? Le principal risque associé à l'implant, rare mais grave, est la migration dans l'artère pulmonaire. Dans de très rares cas, l'implant peut se déplacer dans le bras voire même dans un vaisseau sanguin.
Les contraceptifs hormonaux, comme la pilule ou l'implant, sont connus pour augmenter très légèrement le risque de cancer du sein hormonodépendant.
L'hormone progestative contenue dans l'implant empêche la grossesse en stoppant l'ovulation. Les hormones épaississent la glaire cervicale, ce qui empêche les spermatozoïdes de pénétrer dans l'utérus et de féconder l'ovule.
Ce médicament est un implant contraceptif qui libère progressivement un progestatif dans le sang. Il se présente sous la forme d'un petit bâtonnet flexible inséré sous la peau. Il permet de bloquer l'ovulation et de modifier la glaire cervicale tant que l'implant est présent dans l'organisme.
Si l'insertion de l'implant hormonal a lieu à un autre moment, une contraception complémentaire non hormonale s'impose pendant les 7 jours qui suivent (le préservatif par exemple).
Les femmes en surpoids sont particulièrement à risque de prendre du poids avec l'implant. Si vous pesez plus de 80 kilos, il est conseillé de changer l'implant plus tôt (au bout de 24 à 30 mois, et non 3 ans).
Si les implants sont la solution la plus habituelle pour augmenter le volume des seins, il en existe de plus naturelles qui ont été mises au point depuis quelques années : les injections de gel volumateur ou de graisse.
L'implant peut provoquer de l'acné chez certaines femmes et influer sur le flux de leurs menstruations : certaines auront des règles moins fréquentes, parfois plus courtes ou plus longues que d'habitude. Certaines femmes peuvent avoir une absence totale de règles.
Il peut être utilisé à n'importe quel âge, de l'adolescence à la quarantaine passée et ne nécessite aucune manipulation et aucune précaution. Les femmes utilisant cette contraception doivent s'attendre à des saignements (importants ou très légers) de façon imprévisible ou alors à une absence totale de règles !
Rarement, ils peuvent conduire à des problèmes plus graves. Si l'implant se casse ou se plie dans votre bras, son fonctionnement ne devrait pas être affecté. Une cassure ou une courbure peuvent survenir en raison de pressions extérieures. L'implant cassé peut se déplacer du site d'insertion.
L'implant contraceptif
Taux d'efficacité : plus de 99 %. Pour qui ? Pour les femmes qui ont tendance à oublier leur pilule. Pour celles qui ont des règles très abondantes : l'implant agit comme un stérilet hormonal et tarit le flux.
L'implant protège la patiente de la survenue d'une éventuelle grossesse pendant une période de trois ans. Parmi les effets indésirables mentionnés sur la notice, on trouve notamment : humeur dépressive, instabilité émotionnelle, nervosité, nausées, fatigue... Rapportés pour 1 à 10 % des patientes.
Certaines femmes ont des modifications du cycle avec un implant : - Entre 20 et 30 % des utilisatrices d'implant n'ont pas de règles pendant tout ou partie des trois années d'utilisation. C'est le signe que l'implant a supprimé totalement l'ovulation, comme chez une femme qui prend sa pilule sans interruption.
La palpation de l'implant sous la peau permet de vérifier son positionnement correct. En cas de doute, sa position peut être contrôlée par échographie ou radiographie. Pour le retrait, une petite incision, toujours sous anesthésie locale, est pratiquée.
Le premier avantage procuré par les implants dentaires est bien entendu de remplacer la ou les dents manquantes, rétablissant ainsi le sourire. Ils ont donc un rôle esthétique majeur. Les implants assurent également un rôle fonctionnel en rétablissant la mastication, et donc la nutrition.
Le professionnel de santé doit vous montrer comment vérifier vous-même la présence de l'implant : palpation délicate (effleurer le site) et occasionnelle (1 à 2 fois par mois) de l'implant. Si l'implant n'est plus palpable, vous devez contacter votre médecin dès que possible.
Selon l'étude, s'il n'existe pas de pilule qui ne présente aucun risque, la combinaison d'hormones la plus sûre serait du lévonorgestrel (deuxième génération) combiné à de l'éthinylestradiol dosé à 20µg (c'est par exemple le cas de la pilule Leeloo Gé).
Le stérilet au cuivre ou dispositif intra-utérin (DIU)
Il s'agit du moyen de contraception le plus utilisé au monde. Le stérilet en cuivre est un petit dispositif en cuivre et en plastique sans hormone. Il existe en plusieurs tailles pour s'adapter à la plupart des utérus.
A noter : certains médicaments peuvent rendre l'implant moins efficace comme les médicaments utilisés pour traiter l'épilepsie, la tuberculose, certaines maladies infectieuses et aussi les médicaments à base d'une plante appelée millepertuis, utilisée pour traiter les états dépressifs.
La plupart des fabricants fixe la durée de vie de leurs implants entre 10 ans et 15 ans, mais dans la pratique on s'aperçoit que la durée de vie peut-être bien plus importante. Sans problème particulier, les implants peuvent ainsi normalement rester en place tout au long de la vie du patient.
Elle est liée à une modification de l'équilibre hormonal par la présence constante et permanente de la progestérone. Il peut y avoir une augmentation de l'appétit , ou une diminution des exercices physiques , augmentant alors le risque d'une prise de poids.
L'implant contraceptif se présente sous la forme d'un petit bâtonnet de la taille d'une allumette, qui une fois implantée sous la peau diffuse du progestatif. Sa durée de vie est de 3 ans et son prix est d'environ 102 €. Il est pris en charge à 65 % par l'Assurance Maladie.
Si l'implant est en place ce que vous pouvez vérifier par palpation entre 2 doigts, et si le test de grossesse est négatif, vous n'êtes sûrement pas enceinte.
WASHINGTON, 11 juin 2018 (APMnews) - Les femmes utilisant l'implant contraceptif libérant l'étonogestrel (Implanon*/Nexplanon*, Merck & Co) présentent une prise de poids à 3 ans légèrement plus importante que celles utilisant un stérilet au cuivre, selon une étude internationale publiée dans Contraception.
Dans une étude portant sur des individus utilisant l'implant contenant de l'étonogestrel pendant une période pouvant aller jusqu'à deux ans, 14 % ont signalé des sautes d'humeur et 7 % une dépression attribuée à l'implant (12).