Les personnes atteintes d'insuffisance cardiaque constatent très souvent des modifications rapides de leur poids. Si votre insuffisance cardiaque entraîne une rétention de liquide, vous prendrez du poids. En revanche, si votre corps perd ce liquide (par exemple, après un traitement approprié), vous perdrez du poids.
Une perte de poids involontaire excédant environ quatre à cinq kilogrammes ou 5 % du poids corporel sur une période de quelques mois est préoccupante. Les examens sont réalisés en fonction des symptômes des personnes et des résultats de l'examen clinique.
La fatigue physique
La fatigue est due au manque d'apport d'oxygène et de nutriments aux muscles. Cette fatigue, ressentie pour des efforts de la vie quotidienne (marche, montée des escaliers, port de charge), entraîne une diminution de l'activité physique et une perte de la musculature.
C'est le cas notamment du cancer, de l'hyperthyroïdie et de certaines infections. Une perte de poids peut aussi s'expliquer par une malabsorption des nutriments qu'engendrent notamment la colite ulcéreuse, la maladie de Crohn et la maladie coeliaque.
Au commencement du régime, le corps perd en moyenne 70 % d'eau, contre (seulement) 25 % de graisse. Il faut attendre deux semaines pour voir ces proportions s'inverser : l'organisme brûle alors environ 70 % de gras, 12 % de protéines (de la masse maigre et du muscle, donc) et 20 % d'eau.
Pourquoi je grossis du bas du corps ? L'abdomen est la partie du corps qui stocke le plus. Mais tout le monde n'a pas la même morphologie, car certaines personnes stockent plus du bas que du haut du corps, naturellement.
L'iode : chef d'orchestre de la thyroïde
Une carence en iode à tendance à ralentir notre thyroïde entraînant un métabolisme plus lent qui empêche de brûler efficacement les graisses.
Une perte de poids rapide, sans changement de régime alimentaire ou d'activité physique peut être le signe d'un problème de santé sous-jacent (trouble digestif, trouble hormonal, infections, etc.) qui nécessite une prise en charge médicale !
Des signes neurologiques devront être recherchés, l'évolution lente de certaines pathologies neurologiques laissant parfois l'amaigrissement au 1er plan : maladie de Parkinson, sclérose latérale amyotrophique, etc.
Initialement, la plupart des personnes ne présentent aucun symptôme, la dyspnée et la fatigue se développent progressivement sur plusieurs jours à plusieurs mois. Du liquide peut s'accumuler dans les poumons, l'abdomen ou les jambes.
On perd plus facilement du haut du corps que du bas, les tissus adipeux sont différents selon leur localisation : les graisses accumulées dans la partie supérieure du corps, notamment la région abdominale, sont les premières à disparaître lors d'un régime amaigrissant.
En cas de dénutrition, le médecin demande des examens biologiques réalisés par prise de sang : dosage de l'albuminémie qui permet d'évaluer la sévérité de la dénutrition, analyse du fonctionnement du foie, des reins… recherche d'un état inflammatoire pouvant expliquer la survenue d'une dénutrition.
La capacité de certaines personnes à manger beaucoup sans prendre de poids est principalement due à un métabolisme rapide, à des facteurs génétiques, à un niveau d'activité physique élevé et à des choix alimentaires spécifiques.
En général, il n'est pas recommandé de perdre plus de 4 kilos par mois. Une perte de poids rapide peut entraîner des problèmes de santé, y compris des carences nutritionnelles et un affaiblissement du muscle cardiaque.
En effet, mincir signifie affiner sa silhouette. Par conséquent, mincir se manifeste par une diminution du tour de taille ou de cuisses par exemple. Tandis que maigrir est associé à la perte de poids. Vous perdez la masse graisseuse et cela s'observe sur la balance au niveau des kilos perdus.
Un amaigrissement rapide
En effet, le patient perd du poids parce que l'organisme est dans l'impossibilité d'utiliser le sucre : il est obligé de produire d'autres substances énergétiques à partir des graisses. Les produits dérivés des graisses sont les corps cétoniques qui sont éliminés en partie dans la respiration.
Cette fatigue peut s'accompagner de maux de tête, de migraines, de tremblements ou de fourmillements dans les extrémités.
La carence en fer entraîne des dérèglements thyroïdiens qui entraînent une prise de poids. Le lien entre la carence en fer et la prise de poids peut également être expliqué par l'impact direct de la carence en fer sur la fonction thyroïdienne.
Une carence en vitamine B12 peut survenir chez des végétaliens qui ne prennent pas de suppléments ou en raison d'un trouble de l'absorption. Une anémie se développe, causant une série de symptômes dont fatigue, pâleur, faiblesse, et dans les cas sévères, essoufflement et étourdissements.
Par conséquent, selon cette formule, une femme de 1,60 m devrait peser entre 47,5 et 64 kg. Néanmoins, il convient de prendre le calcul de l'IMC avec des pincettes. En effet, il ne prend en compte ni le squelette, ni la rétention d'eau, ni la morphologie, ni l'âge de la personne…
Voici comment le calculer : Poids idéal (en Kg) d'un individu possédant une morphologie « normale » = (Taille (en cm) - 100 + Age (en années) / 10) * 0,9. Poids idéal (en Kg) d'un individu possédant une morphologie « gracile » = (Taille (en cm) - 100 + Age (en années) / 10) * 0,9 * 0,9.
Quel est le bon IMC pour une femme de 60 ans ? D'après l'interprétation des valeurs de l'indice de masse corporelle qui s'adresse aux adultes de 18 à 65 ans, l'idéal pour un adulte est d'avoir un IMC compris entre 18.5 et 24,9 kg/m².