L'avantage de l'intérim est le salaire puisque l'intérimaire touche une indemnité de fin de contrat de travail temporaire égale à 10 % de sa rémunération brute.
En conclusion
Parmi les nombreux avantages qu'offrent le travail en intérim, la rémunération est en tête de liste. En plus de cette dernière, qui doit obligatoirement être égale au minimum au SMIC, vous percevrez diverses indemnités (IFM et congés payés) afin de pallier à la précarité de l'emploi intérim.
Chez votre agence en ligne, le salaire en net d'un intérimaire au SMIC ayant un contrat de 35h par semaine s'élève à 1 269 euros environ (hors primes), l'agence étant l'employeur de votre salarié temporaire, c'est Hop qui est redevable des cotisations patronales liées à la rémunération du travailleur temporaire.
L'intérim vous permet d'intégrer une grande diversité d'entreprises et donc de diversifier vos expériences mais aussi de développer votre réseau. Par ailleurs, lorsque la mission d'intérim se termine, vous touchez une indemnité de fin de mission équivalente à 10% de la rémunération brute totale.
Combien un Interim gagne-t-il en France ? Le salaire médian pour les emplois interim en France est € 26 380 par an ou € 14.49 par heure. Les postes de niveau débutant commencent avec un salaire environnant € 22 800 par an, tandis que les travailleurs les plus expérimentés gagnent jusqu'à € 41 000 par an.
Augmentation de votre salaire en intérim
À tout moment de votre contrat, vous pouvez demander une augmentation salariale, dès l'instant qu'elle est justifiée concrètement. Cela ne veut pas dire qu'elle sera acceptée mais si vous parvenez à démontrer qu'elle est méritée, vous avez toutes les chances de votre côté !
La prime de précarité, aussi appelée “indemnité de fin de mission”, est due aux intérimaires et aux salariés en CDD dont leur contrat de travail a pris fin à la date prévue. Elle représente 10% de la rémunération brute totale versée pour la mission effectuée et est destinée à compenser sa situation de précarité.
L'inconvénient du travail temporaire est la précarité. L'intérimaire ne sait jamais quand il retrouvera une mission. Il doit s'adapter à chaque nouvel environnement et chaque nouvel employeur et ses revenus sont irréguliers. Enfin, un autre inconvénient du travail en intérim est le relationnel avec les banques.
En tant qu'intérimaire, vous avez le droit de bénéficier des allocations chômage, après une mission ou pendant la durée de votre contrat de travail temporaire.
Vos périodes de travail intérimaire sont prises en compte pour votre retraite. Si votre salaire annuel permet de valider 4 trimestres, votre durée d'assurance sera la même que si vous aviez travaillé en continu.
Le contrat d'intérim est plus souple que le contrat de travail en CDD. L'entreprise peut par exemple avancer le terme de la mission de travail temporaire (à raison d'un jour pour 5 jours travaillés ou de 2 jours pour les contrats d'intérim inférieurs à 10 jours).
Les congés payés (CP) correspondent à 10 % de votre salaire brut + le montant de l'IFM. Ils seront payés à la fin de votre mission.
Sauf dispositions contraires prévues par votre contrat de travail ou la convention collective, un salarié du secteur privé peut tout à fait cumuler Contrat intérimaire et Contrat à Durée Indéterminée.
Pour un taux horaire net de 12,90 euros et pour 120 heures travaillées dans le mois, l'on obtient un salaire net mensuel de 1 548 euros.
Vous retrouvez un emploi à temps partiel rémunéré 800 euros brut par mois. Votre salaire journalier de référence est de 50 euros brut. Le nombre de jours non indemnisés sera donc égal à 800 / 50 = 16 jours. Toutefois, pour les salariés de 50 ans ou plus, le nombre de jours non indemnisés est abaissé à 20%.
Exemple (calcul chomage brut net) :
Un salaire mensuel perdu de 1.100 € net, l'allocation nette atteindra 79 % de l'ancien salaire. Pour un salaire mensuel perdu de 3 000 € net, l'allocation nette sera de 64 % de l'ancien salaire.
Allocation chômage : quelques exemples de taux
qu'en moyenne, l'allocation nette représente 72 % de l'ancien salaire. Pour les petits salaires (1 150 € net), le taux est d'environ 79 %. Pour les hauts salaires (3 000 € net), le taux est d'environ 64 %.
La mission intérim peut également être un tremplin vers un CDI. En effet, une entreprise embauchera plus facilement une personne qui a déjà effectué une mission chez elle, et qui connaît la société et son mode de fonctionnement. Cela permet de réduire les hésitations et de minimiser la prise de risque des deux côtés.
L'intérim permet de disposer de salariés qualifiés et formés
En effet, l'agence d'intérim dispose des compétences et d'un budget de formation. Elle peut les utiliser pour recruter les candidats qui nécessitent une formation professionnelle sur des qualifications spécifiques à des métiers de l'entreprise.
Un emploi en intérim lui permettra de garder du temps libre pour ses enfants, tout en assurant une source de revenus supplémentaires. L'enrichissement professionnel est également à prendre en compte : l'intérim offre la possibilité d'accéder à bon nombre de postes dans des secteurs d'activité diversifiés.
Rupture à l'initiative du salarié
Le contrat de mission peut être rompu de manière anticipée par le salarié dans les cas suivants : Pendant la période d'essai sans motif particulier. Embauche du salarié mis à disposition pour un contrat à durée indéterminée. Force majeure.
L'intérim repose sur une relation tripartite entre un salarié, une entreprise de travail temporaire et une entreprise utilisatrice. Le salarié intérimaire est embauché par l'entreprise de travail temporaire pour la durée d'une mission, afin d'être mis à la disposition de l'entreprise utilisatrice.
L'intérimaire est rémunéré dans les mêmes conditions que les salariés permanents. Un jour férié et chômé, doit être indemnisé, sur la base horaire qu'il aurait dû effectuer habituellement, s'il avait travaillé ce jour-là, sans majoration. Il en va de même pour un jour férié travaillé.
Le smic intérim atteint 1 603,15 euros brut par mois
Le salaire minimum augmentera donc d'environ, 13,65€ brut par mois environ (par rapport à octobre 2021). Cette rémunération correspond au salaire minimum qu'un salarié, y compris dans le cadre d'un contrat en intérim, doit percevoir en France.