Le rire sollicite aussi près de 130 muscles, dont les abdominaux et les muscles respiratoires. Avoir un fou rire c'est aussi faire du sport ! Les contractions musculaires engendrées procurent un effet de détente qui peut être comparé à celui qu'un exercice physique d'intensité modérée.
Le rire, notre antistress naturel
En riant, vous sollicitez plus de 400 muscles : les fameux zygomatiques (muscles des pommettes), les muscles faciaux, le diaphragme et les muscles thoraciques. Oui, ça descend jusque-là ! Ainsi, le cou, les bras et le bas-ventre se détendent en profondeur.
Le rameur
C'est LE sport qui sollicite le plus les abdominaux. non seulement, il permet de faire fondre les graisses grâce à ses vertus cardio, mais il engage aussi les muscles du ventre pour effectuer le mouvement de va-et-vient en plus des bras, du dos et des jambes.
Résultat : on travaille la ceinture abdominale et le diaphragme avec une intensité équivalente à un exercice physique modéré. Le système digestif : en stimulant la ceinture abdominale, le rire agit comme un massage sur les organes digestifs, rééquilibrant naturellement le transit.
Le rire stimule le système immunitaire et accroît les défenses de l'organisme en augmentant le taux d'anticorps présents. Il permet, entre autres, de lutter contre les maladies des voies ORL, les maladies cardiovasculaires, les maladies chroniques ou les maladies psychologiques telles que la dépression.
Juste en croisant les bras
Prenez ses mains dans les vôtres puis écartez ses bras sur les côtés et ramenez-les vers l'intérieur en les croisant sur sa poitrine. Ouvrez à nouveau ses bras puis croisez-les en changeant de sens. Et ainsi de suite. Eclat de rire (presque) garanti !
Lors de la chute d'une personne, on rit car nous sommes soulagés de ne pas être à la place de la personne qui est tombée et qui a provoqué le rire.
Rire, c'est bon pour le moral !
Le fait de rire agit sur la contraction de votre diaphragme et stimule votre appareil digestif. Cela décontracte également les différents muscles de votre corps (visage, cou, abdomen,…). Une minute de fou rire équivaudrait à 45 minutes de relaxation !
Quand on rit, les muscles du visage impriment la physionomie de l'hilarité, et certains muscles respiratoires produisent des secousses caractéristiques. Le relâchement des muscles du larynx produit divers sons lors de l'expiration, celui des muscles des bras et des jambes entraîne une baisse du tonus musculaire.
Rieur : Définition simple et facile du dictionnaire.
Maintenir la position pour gainer votre ventre
Vous pouvez bougez légèrement d'avant en arrière pendant que vous tenez la pose, cela peut vous aider à faire passer le temps et ça ne fait que mieux travailler la sangle abdominale. On appelle cela une "planche dynamique".
La planche est le classique du gainage. Elle travaille les abdos profonds, les bras mais aussi les fessiers et les cuisses quand elle est exécutée sur les pointes de pied. Face au sol, les bras tendus, les mains sont dans l'alignement des épaules et les genoux au sol (éloignés des hanches).
quel est le meilleur sport ? Pour perdre votre graisse de manière globale, et particulièrement au niveau du ventre, faire du cardio-training est sans aucun doute la meilleure solution. Vous pourrez le pratiquer sous différentes formes : marche sportive, course à pied, burpees, corde à sauter, natation, cyclisme…
Le muscle risorius est, lui, le muscle du sourire ; il est propre à l'homme et c'est son action, séparée de celle du grand zygomatique, qui crée ces fossettes si charmantes chez certaines personnes.
Le rire détend les muscles du larynx, provoquant toutes sortes de vocalisations ou de cris. Une partie du cerveau (système limbique) détermine l'intensité de la réponse allant du rire discret au fou rire. Ce système a la capacité de déconnecter le cortex conscient, ce qui expliquerait les rires incontrôlés.
Le muscle risorius est un muscle du visage situé au niveau de la joue. Il intervient dans le rire, en provoquant le redressement des coins de la lèvre, qu'on appelle communément un rictus.
Le rire pathologique s'observe notamment en cas de sclérose en plaques, de paralysie pseudobulbaire (par atteinte du bulbe rachidien qui relie le cerveau et la moelle épinière), de tumeur, de sclérose latérale amyotrophique (ou maladie de Charcot, affection dégénérative de la moelle épinière).
Le rire prodromique, késako ? Décrit pour la première fois dans la Revue Neurologique en 1903 par Charles Féré (1852-1907), un neurologue français ayant exercé à l'hôpital Bicêtre, ce trouble désigne un rire pathologique, irrésistible et sans objet, annonçant la survenue d'un accident vasculaire cérébral.
Rire et larme sont des mécanismes proches. Le neurologue Michel Dib précise que ces émotions passent par des réseaux assez voisins. « Dans les deux cas, la fonction est de même nature : vider l'organisme de la pression psychique accumulée, qu'elle soit positive ou négative.
Rire permet de mincir
Une minute de rire, en plus d'être une source de vitalité et de sensation de bien être, permettrait d'augmenter de 20% la consommation de calories et équivaudrait à 10 minutes de rameur.
Rire. Rire est un moyen agréable de brûler des calories. Différentes études ont montré qu'un adulte moyen pouvait perdre près de 2 calories par minute en riant.
Une étude norvégienne de grande ampleur portant sur 53 000 participants a révélé que rire et avoir le sens de l'humour pourraient allonger la durée de vie. Dans le détail, les chiffres sont impressionnants. L'étude évoque une durée de vie allongée de près de 20 %, soit un gain de sept années.
Expirer lentement par la bouche sur le son « sssssss » ou « ch-ch », afin de vider l'air au maximum. Inspirer ensuite profondément par le nez et gonfler tout le corps. Retenir le souffle durant quelques secondes, puis expirer par saccades sur le son "ha ha ha" jusqu'à ce que tout l'air soit expiré.
L'autodérision, notamment, sert à faire baisser le stress social. Mais le rire reste un phénomène naturel, et cela est très difficile à expliquer. Les pleurs sont plus faciles à expliquer : ils servent à expulser la pression accumulée en cas de profond chagrin, comme un deuil par exemple.