Ainsi, Tesla annonce que tous ses clients ont aidé à accélérer la transition énergétique en économisant cinq millions de tonnes de CO2 émises par les voitures en 2020. Un bilan obtenu par les toujours plus nombreuses Tesla en circulation autour du globe, notamment depuis l'arrivée de la Model 3.
La pollution des voitures électriques est inexistante : faux ! C'est un des points souvent mis en lumière par ses détracteurs. Même si à l'usage, la voiture électrique n'émet pas de CO2, la construire, c'est une autre affaire. La fabrication de leurs batteries est notamment remise en cause.
Ses défenseurs vantent même ses bénéfices écologiques : grâce à une conduite plus souple, elle minimiserait les accélérations et freinages superflus, tandis que le risque d'embouteillage serait réduit du fait de la capacité de ces voitures à se coordonner entre elles pour éviter d'encombrer les routes.
Depuis, le constructeur assure chercher à améliorer sans cesse son efficacité énergétique « grâce au réaménagement des installations existantes et à la construction de nouvelles installations plus efficaces ». Il estime avoir économisé « plus de 10 GWh d'énergie les 5 dernières années »...
En effet, quand elle roule, elle n'émet ni gaz à effet de serre, ni particules fines, ni gaz nocifs, ni nuisances sonores comme le ferait une voiture thermique. Sur l'ensemble de sa durée de vie, une voiture électrique roulant en France a un impact sur l'environnement 2 à 3 fois inférieur à celui d'un modèle thermique.
La Tesla Model 3 Standard Range Plus : en 2021, la Tesla est classée comme la voiture la plus écologique. De plus, elle vous garantit puissance, sécurité et beau design. Elle dispose de 614 kilomètres d'autonomie et peut rouler jusqu'à 261 km/h.
Les voitures électriques ne sont peut-être pas la seule solution à long terme, mais il n'existe actuellement aucune meilleure alternative à court terme. Les moteurs à combustion ne le sont pas, et les carburants de synthèse et l'hydrogène sont nettement plus chers que l'électricité pour les voitures électriques.
Un exemple de déchets pour lesquels le constructeur devait autrefois payer l'élimination, et qui désormais génèrent du profit. Tesla exploite une plateforme en ligne pour se débarrasser de pièces métalliques, et d'éléments de câblage, de moteurs, etc.
La mission annoncée de Tesla est « d'accélérer la transition mondiale vers un schéma énergétique durable ».
La principale opportunité pour la marque Tesla est le marché lui-même : le secteur des véhicules électriques est en pleine explosion, encouragé par les législations nationales favorisant l'achat de véhicules propres (c'est-à-dire électriques, consommant moins voire aucune énergie fossile).
Mais en prenant en compte le cycle de vie total moyen (estimé à 150 000 km), la voiture électrique reste une solution “propre” : elle émettrait au total une dizaine de tonnes de CO2, contre 22 pour une voiture diesel et 27 pour une voiture à essence.
Elles émettent en revanche une quantité importante de particules fines. La cause : le poids important de leurs batteries, qui contraint les constructeurs à utiliser des pneus plus larges.
L'électricité, seule source d'énergie d'une voiture électrique, pollue nettement moins que l'essence et le diesel. En France, parcourir 100 kilomètres en voiture électrique rejette indirectement 0,85 kg de dioxyde de carbone (16 kWh à 74 g CO2/kWh*).
Quel bilan carbone d'une voiture électrique ? En conclusion, conduire un véhicule électrique et le recharger sur le réseau électrique américain émet 7 fois plus de CO2e qu'en France. Mais dans tous les cas, on pollue 2 fois moins de que si l'on conduisait un véhicule thermique.
Pour conclure, qui pollue le plus ? Comme vous avez pu le constater, la réponse ne peut pas être aussi simple. Nous savons que le diesel émet moins de dioxyde de carbone et de monoxyde de carbone que l'essence, mais il émet davantage d'oxydes d'azote.
L'augmentation de la capacité de production et la construction de nouvelles usines contribueront certainement à modérer les prix. L'autre raison principale du prix élevé de la vignette des voitures Tesla est le coût très élevé des batteries électriques qui alimentent ces véhicules.
La marque Tesla attire surtout pour les performances et technologies offertes par ses véhicules. Elle séduit ainsi la classe moyenne supérieure des pays développés et celle grandissante des pays émergents comme la Chine.
Alors quelle est la stratégie de communication de Tesla ? La communication de Tesla est très simple : elle passe par les réseaux sociaux. En effet, la marque a décidé de faire sa publicité intégralement par les réseaux sociaux : une tâche loin d'être aisée pour rentrer sur le marché de niche des voitures électriques.
L'avantage concurrentiel de Tesla réside dans la croissance plus rapide de sa marge bénéficiaire par rapport à tout autre constructeur automobile, et cet effet est accéléré par la guerre en Ukraine.
Et les perspectives d'avenir sont idéales : grâce à la construction de nouvelles usines dont une premier en Europe, Tesla devrait franchir allègrement la barre du million de voitures vendues dans le monde en 2022.
En fait la stratégie marketing de Tesla est plutôt simple et peut se résumer en 2 points : Créer les meilleurs véhicules électriques possible. Les vendre à ceux qui partagent la vision et la mission de la marque.
Selon une étude réalisée par l'UFC (L'Union Fédérale des consommateurs) Que-Choisir en juin 2021, un véhicule électrique neuf permettrait d'économiser jusqu'à 1 750 € sur une durée de 4 ans, comparé à une voiture à essence.
Manque de puissance
La voiture électrique ne consomme pas beaucoup d'énergie, mais elle a besoin de puissance quand on charge. Il faut donc avoir suffisamment de centrales pour charger. » En effet, quand une voiture n'a plus de carburant, il faut refaire le plein à la pompe, on n'attend pas.
Or, c'est bel et bien le cas puisque sur sa durée de vie en France, une voiture électrique émet globalement 3 à 4 fois moins de CO2e que son équivalent thermique.