N'importe quel médecin, généraliste ou spécialiste et qu'il soit ou non le médecin traitant peut prescrire un arrêt de travail.
Le médecin traitant prescrit un arrêt de travail à un patient dont l'état de santé général l'empêche de travailler pour une durée déterminée à la différence du médecin du travail qui étudie plus précisément l'aptitude d'un individu à occuper un poste précis dans un environnement donné.
Spécialiste des maladies des os, des articulations, des muscles et des tendons. Il traite et prévient donc les douleurs du cou, du dos, et de toutes les articulations du squelette. Il s'intéresse également à toutes les maladies atteignant les os comme par exemple l'ostéoporose.
Quels sont les salariés qui peuvent en bénéficier ? Seuls les salariés qui ne sont pas en télétravail et qui développent des symptômes du Covid-19 (ou qui sont cas contact) peuvent obtenir un arrêt maladie sans consultation auprès de leur médecin traitant.
La principale raison de consultation d'un rhumatologue est la douleur. Il pose le diagnostic et propose un traitement pour de nombreuses pathologies : au niveau des os : ostéoporose, maladie de Paget, rachitisme... au niveau des articulations : arthrose, hernie discale cervicale...
Si le patient souffre d'une ALD et que le rhumatologue est l'un des médecins correspondants, il peut être consulté directement, sans ordonnance du médecin traitant.
Prenons par exemple une consultation après d'un rhumatologue conventionné de secteur 1. Comme mentionné précédemment, la consultation s'élève à 30 €. Si le patient a une ordonnance de son médecin traitant, il est donc remboursé à 70% soit 20 € (inclut la participation forfaitaire de 1 €).
Qui a le dernier mot du médecin conseil et du médecin du travail ? Comme évoqué précédemment, c'est le médecin-conseil de la CPAM qui est chargé d'assurer le contrôle médical. Autrement dit, il doit vérifier que l'état de santé du salarié mentionné sur l'arrêt maladie est réel.
L'organisme de Sécurité sociale (CPAM, MSA) verse au maximum 12 mois d'IJ par période de 3 ans consécutifs.
N'étant pas professionnel de santé, votre ostéopathe ne pourra en aucun cas vous faire d'arrêt de travail, ni vous faire de prescription médicale (médicaments examens biologiques, radiologiques...). Nous vous recommandons, en cas de besoin, de vous rapprocher de votre médecin référent.
Lors de cette première visite, votre rhumatologue voudra vous connaître et en savoir plus sur vos antécédents médicaux. Il vous posera des questions sur les symptômes qui vous ont amené à le consulter et sur les problèmes médicaux que vous avez eus dans le passé. Puis, il fera un examen physique.
La fatigue dans les rhumatismes inflammatoires chroniques (RIC) est plus fréquente et plus intense que la fatigue “normale” dans la population générale. Cette fatigue, comprenant des composantes physiques, cognitives et émotionnelles, a un impact considérable sur tous les aspects de la vie.
Parmi les métiers les plus à risques pour le dos, on retrouve notamment les aides-soignants, femmes et hommes de ménage, caissiers ou caissières, puéricultrices, chauffeurs routiers ou employés administratifs (l'immobilité prolongée entraînant des maux de dos chroniques).
Si vous êtes loin de chez vous (éloignement géographique, vacances), vous pouvez consulter un autre médecin que votre médecin traitant. Ce médecin cochera alors la case « Hors résidence » sur la feuille de soins. Vous serez remboursé normalement.
Une maladie : l'arrêt maladie est accordé lorsque l'état de santé du salarié l'empêche d'exercer son activité sur décision d'un médecin. Un accident du travail : l'arrêt de travail peut avoir pour origine un accident survenu au cours de l'activité professionnelle du salarié.
Le renouvellement
La prolongation de l'arrêt doit être prescrite par le médecin prescripteur de l'arrêt initial ou par le médecin traitant, sauf impossibilité dûment justifiée par l'assuré.
L'employeur peut licencier le salarié pour : Inaptitude d'origine non professionnelle, c'est-à-dire à la suite d'un arrêt maladie ordinaire. Inaptitude d'origine professionnelle, c'est-à-dire lorsqu'elle est liée à un accident de travail ou une maladie professionnelle.
L'inaptitude médicale au travail peut être prononcée par le médecin du travail dès lors qu'il constate que l'état de santé du salarié (physique ou mentale) est devenu incompatible avec le poste qu'il occupe et qu'aucune mesure d'aménagement, d'adaptation ou de transformation du poste de travail occupé n'est possible.
L'avis d'inaptitude oblige l'employeur à rechercher un reclassement pour le salarié. Néanmoins, il peut procéder à son licenciement s'il est en mesure de justifier : de son impossibilité à lui proposer un emploi compatible avec son état de santé, ou du refus par le salarié de l'emploi proposé.
En l'absence de reclassement et de rupture de votre contrat à l'issue de ce délai d'un mois, l'employeur doit vous verser le salaire correspondant à l'emploi que vous occupiez avant votre inaptitude. Le versement se poursuit jusqu'à votre reclassement ou la rupture du contrat.
Le rhumatologue est un spécialiste des affections osseuses, musculaires et articulaires. De manière générale, il traite les pathologies qui gênent le bon fonctionnement du squelette. On peut envisager une consultation en cas de symptômes d'une maladie rhumatismale chronique ou de douleurs articulaires persistantes.
L'infiltration médicamenteuse
Le prix est, en moyenne, de 160 € : 100 € pour l'infiltration et 60 € de frais médicaux.