Les temps de la conjugaison. Le participe présent
Il peut avoir un complément et il est toujours invariable. La règle de base pour construire le participe présent est de prendre le verbe à la première personne du pluriel de l'indicatif présent et de remplacer la terminaison -ons par -ant.
Le participe présent est invariable, il ne peut jamais varier en genre et nombre. 4. Le participe présent exprime seul une action ; l'adjectif verbal exprime, lui, une qualité.
Le participe présent exprime généralement une action se déroulant en même temps que l'action décrite par le verbe principal de la phrase. Je l'ai vu faisant son travail de fin de session. En quittant la pièce, elle salua son supérieur. Voulant se reposer, elles ont décidé de s'allonger.
Le participe passé peut avoir plusieurs terminaisons, c'est un verbe conjugué à un temps composé. Le participe présent se termine par -ant, il est invariable.
Les participes présents fleurissent dans de nombreux textes. Si on ne doit pas se priver de ce procédé syntaxique, il faut en faire un usage modéré. Ils alourdissent les phrases, freinent la lecture et pénalisent le style.
Le participe passé du verbe « faire » est « fait ». On écrit « j'ai fait ». Exemple : J'ai fait un vœu. On écrit « je fais », à la 1e personne du singulier du présent de l'indicatif.
Le participe présent est formé du radical du verbe conjugué à la première personne du pluriel au présent de l'indicatif (nous), suivi de la terminaison -ant. Il est invariable. Le participe présent peut être complété par un adverbe ou un complément d'objet.
Le gérondif se compose toujours de la préposition “en” suivie du participe présent (en rêvant). En l'absence de la préposition “en” (rêvant), le verbe sous la forme finissant par -ant est un participe présent.
Pour trancher entre -ent et -ant à la fin d'un mot, il faut toujours penser à regarder si le mot en question est un participe présent ou bien un adjectif ou un nom. Si l'on a affaire à un participe présent, on est certain que la terminaison sera -ant.
N'écrivez pas « en convaincant le jury », mais « en convainquant le jury »… si convaincant que se montre l'avocat ! « Convaincant » est un adjectif et « en convainquant » est un participe présent.
Le participe présent est employé comme un verbe conjugué à un autre temps. Exemples : Comme j'aime la campagne, j'y vais le plus souvent possible.
Le gérondif est toujours invariable. Formation : Radical du verbe à la 2nde personne du présent + terminaison en -ant. Dans la proposition, le sujet des deux verbes peut être le même ou différent. Ce participe peut être remplacé par une relative avec "qui".
À ma connaissance, « concernant » n'existe pas en tant qu'adjectif. « Elles furent désolées par les consternantes déclarations faites à leur encontre. » = « consternantes » est un adjectif qui qualifie « déclarations », l'accord au féminin pluriel est donc obligatoire.
Un adjectif participe est un adjectif tiré d'une forme verbale, soit d'un verbe conjugué au participe présent ou au participe passé. Il constitue le noyau d'un groupe adjectival (GAdj) et varie en genre et en nombre.
Le participe présent est toujours invariable. Il faut prendre le verbe à la 1ère personne du pluriel (nous) de l'indicatif présent et remplacer la terminaison -ons par -ant. Exemple avec le verbe gober : nous gobons devient gobant au participe présent.
En effet, le gérondif passé se construit avec le participe présent de l'auxiliaire être ou avoir (étant ou ayant) suivi du participe passé du verbe, accordé selon les principes de l'accord du participe passé : « Ayant beaucoup travaillé, nous sommes fatigués » ou encore « Étant éloignée de la ville, elle en ignorait ...
Le participe composé ou forme composée du participe est un mode impersonnel du verbe c'est-à-dire qu'il ne permet pas de distinguer les personnes grammaticales (je, tu, il/elle/on, nous, vous, ils/elles). Le verbe ne peut donc pas être conjugué.
Le participe est un mode impersonnel, c'est-à-dire qu'il ne s'accompagne ni d'une personne du singulier (je, tu, il, elle, on), ni d'une personne du pluriel (nous, vous, ils, elles). Le mode participe se décline en deux temps verbaux : le participe présent et le participe passé.
On accorde ou non les formes en -ant selon le cas. Le participe présent formé du radical du verbe et de la terminaison -ant remplit souvent la fonction d'adjectif. En revanche, il est invariable, donc ne prend pas la marque du pluriel ou du féminin pour s'accorder avec le nom qu'il qualifie.
Le participe passé des verbes conjugués avec l'auxiliaire avoir ne se s'accorde jamais avec le sujet : il est invariable si aucun complément d'objet direct (COD) ne le précède. Les enfants ont joué toute l'après-midi. Ils auraient réussi s'ils avaient suivi nos conseils.
La bonne orthographe est donc « Des erreurs, j'en ai fait ». Le participe passé du verbe ne s'accorde pas et reste invariable.
Pourquoi n'écrit-on pas « j'ai dis » ? Parce que la terminaison du participe passé du verbe dire, conjugué au passé composé avec l'auxiliaire avoir, est dit, que le sujet soit masculin ou féminin, singulier ou pluriel.
La réponse simple
On écrit toujours « il a pris ».
Le participe présent qualifie un nom ou un pronom : le gérondif modifie un verbe. Le participe présent dans sa forme verbale tend à désigner un état, tandis que le gérondif insiste sur l'action tout en restant invariable.