Elles circulent beaucoup entre décembre et janvier. Elles se manifestent par des nausées, des vomissements, des douleurs abdominales, des diarrhées, de la fièvre", indique le Dr Patrick Aubé.
Les premiers symptômes ne tardent pas à se manifester : mal de gorge, enrouement, toux et écoulement nasal. Au cours de la maladie, de la fièvre, des maux de tête et des douleurs articulaires peuvent également apparaître.
"Le froid n'a rien à voir avec les gastros, angines, grippes, rhino-pharyngites et autres bronchiolites", indique Michel Cymes qui précise que le froid ne s'attrape pas.
– Du sel de Nigari (chlorure de magnésium) : diluez 1 cuillérée à soupe pour une litre d'eau et boire un verre, 1 ou 2 fois par jour jusqu'à disparition des symptômes. – De l'extrait liquide de propolis : de 3 à 10 gouttes dans de l'eau ou dans une boisson tiède (tisane de thym par exemple), 2 ou 4 fois par jour.
Le froid ralentit l'activité des cellules et la réponse de notre organisme aux attaques extérieures. Ce qui laisse le temps aux virus de s'installer. A cela s'ajoute le manque de luminosité qui peut entraîner des carences en vitamine D (l'exposition au soleil permet à la peau de fabriquer de la vitamine D).
Pour les gastro-entérites aigües d'origine virale, le médecin généraliste préconise de boire par petites quantités une eau sucrée et gazeuse, de manger essentiellement du riz et des pâtes, et d'apporter un peu de confort digestif grâce à des tisanes de menthe poivrée et de mélisse.
Le froid pourrait affaiblir notre système immunitaire. En effet, lorsqu'il fait froid, notre corps va fournir du sang aux organes en ayant tendance à délaisser les extrémités -mains, pieds, nez… - qui, dès lors qu'elles sont refroidies, altèrent un peu la réponse immunitaire.
Les virus du rhume se transmettent au moyen des mucosités et de la salive que les éternuements et la toux projettent hors du corps. Donc, si vous voulez vraiment attraper un rhume, essayez de vous tenir près de quelqu'un qui en a déjà un; touchez à tout sans jamais vous laver les mains.
"Non, le 'coup de froid' n'existe pas. D'ailleurs, le froid n'a jamais frappé et ne donne pas de coup non plus, même s'il est vrai qu'on tombe un peu plus souvent malade en hiver qu'en été. Le froid va en effet permettre aux virus d'être un peu plus résistants, avec un taux d'humidité plus favorable.
Dans ce cadre, le problème réside dans le mode de conservation des aliments, plus que dans l'aliment en lui-même. Il y a risque de prolifération bactérienne dès qu'un aliment est exposé à une température supérieure à 4°C.
Nous observerons alors un ralentissement de l'activité fonctionnelle de ces Organes, causé par le Froid. La personne pourra éprouver une sensation de froid et de douleur au ventre, avoir de la diarrhée sans odeur ou des vomissements de liquide clair, manquer d'appétit ou être affectée de borborygmes.
Un courant d'air ne peut pas provoquer de maladie infectieuse. Ce sont les bactéries et les virus qui sont responsables, ce ne sont pas les différences de température. Le courant d'air est bénéfique, il permet le brassage et le renouvellement de l'atmosphère. C'est très sain.
L'anémie, l'hypothyroïdie, le manque de sommeil, une mauvaise hydratation, une carence en vitamine B12, le diabète ou encore la maladie de Lyme peuvent entraîner une frilosité excessive. Les causes restent à déterminer avec un médecin.
En agissant sur la circulation, le froid rend le corps plus réactif. Il est efficace contre la cellulite, la formation de varices, la sensation de jambes lourdes, et même la chute de cheveux. L'effet du froid sur le corps libère aussi des endorphines qui réduisent le stress, et donnent un sentiment de bien-être.
En MTC, on considère que le Vent-Froid a brisé la protection naturelle du corps (l'Énergie défensive), et qu'il s'est infiltré en nous par le biais du Méridien du Poumon provoquant des éternuements, de la toux, des sécrétions nasales, etc.
Les symptômes de l'état grippal ressemblent à ceux de la grippe mais ils se manifestent avec une intensité moins importante. Ce sont la fatigue modérée, la fièvre modérée et les maux de tête modérés ainsi que l'écoulement nasal et/ou le nez bouché.
Le «coup de froid», une légende urbaine
Grippe, rhino-pharyngite, angine virale, bronchite aiguë, bronchiolite... «Toutes ces maladies respiratoires sont provoquées par des virus, le froid n'est pas un vecteur de transmission», insiste le médecin.
Les refroidissements se transmettent facilement, c'est-à-dire d'une personne à l'autre par des minuscules gouttelettes projetées dans l'air en éternuant ou en toussant. Cela en fait une infection très contagieuse.
Les généralistes développent souvent une immunité aux virus au fil de leur carrière. En période d'épidémie, ils redoublent toutefois de vigilance. Plus que la grippe, c'est surtout le risque de surmenage qui leur pend au nez.
Puisque le système immunitaire passe à la vitesse supérieure pendant le sommeil, les symptômes deviennent plus graves. Cette activité accrue du système immunitaire peut durer toute la nuit.
Les gastros le plus souvent d'origine virale représentent la cause la plus fréquente de diarrhées aiguës accompagnées de mal au ventre. Elles durent 2 ou 3 jours. Mal de ventre et diarrhée s'accompagnent très souvent de vomissements et parfois de fièvre modérée. Une intoxication alimentaire donne les mêmes symptômes.
Si la diarrhée est très importante et provoque un état de faiblesse, il faut boire une solution de réhydratation qui s'achète en pharmacie sans ordonnance. Parfois un traitement, à base d'anti-diarrhéique, anti-douleurs, un désinfectant intestinal, voire un antibiotique est nécessaire.
Quels sont les aliments qu'il faut plutôt éviter en cas de problèmes digestifs ? Les plats en sauce, Les repas très riches en graisses : viandes grasses (côtelettes d'agneau, côtes de porc…), charcuterie… Les fromages à moisissures qui fermentent : camembert, munster, bleu, chèvre, roquefort, livarot, brie…