Contrairement à la fréquence des grossesses géméllaires toutes confondues qui est en augmentation avec le boom de la PMA, celle des jumeaux monozyogotes ou « vrais jumeaux » reste stable - et rare - avec 0,3 à 0,5% des naissances.
"Si avoir des « vrais jumeaux », reste rare (3 naissances pour 1 000 enfants), avoir des « faux jumeaux » est plus fréquent, notamment après 35 ans : 5,8 chances sur 1 000 à l'âge de 20 ans, contre 13 après 35 ans.
Si son partenaire a des antécédents familiaux de jumeaux, la probabilité passe à une chance sur 116. En outre, plus la mère est âgée, plus elle a eu d'enfants, plus elle a de chances de porter des jumeaux.
Historiquement, environ 1 grossesse humaine sur 80 (1,25 %) donne naissance à des jumeaux. En France, le pourcentage d'accouchements doubles dans le total des accouchements a atteint 1,61 % en France métropolitaine en 2019 (0,89 % en 1972, 1,75% en 2015).
Dans ce cas, il est scientifiquement impossible de déterminer qui est l'aîné. » La législation française considère cependant que chez les jumeaux, le premier enfant né est l'aîné, y compris lors d'une naissance gémellaire par césarienne.
Femelle, femme gémellipare. Etat d'une femelle, d'une femme qui porte des jumeaux. » « Gémellipare, adj. Qui porte des jumeaux, qui a accouché de jumeaux.
une primipare est une femme qui accouche ou a accouché pour la première fois ; Dès qu'une femme a accouche pour la seconde fois ou a accouché au moins deux fois, on utilise le terme « multipare » ; lorsque la femme a accouché plus de cinq fois, on parle de « grande multipare ».
Ce sont des jumeaux monozygotes, que l'on appelle vrais jumeaux dans le langage courant. Par ailleurs, puisqu'ils sont issus d'un même spermatozoïde, qui détermine le sexe (X pour une fille, Y pour un garçon), les vrais jumeaux sont forcément de même sexe.
«Il y a moins de 10 cas connus de jumeaux de pères différents dans le monde», rapporte à la BBC le Pr le Dingh Luong, expert en génétique moléculaire à l'Université nationale du Vietnam, qui a supervisé les tests de paternité sur les enfants.
Les statistiques sont formelles : il y a de plus en plus de jumeaux dans le monde. Ainsi, environ 1,6 million de paires de jumeaux naissent chaque année sur la planète, principalement en Asie et en Afrique.
Bien qu'il existe des familles de jumeaux, il n'y a aucune preuve scientifique concernant la part de l'hérédité dans la naissance de jumeaux monozygotes. En revanche, les faux jumeaux, proviennent de femmes qui ont des poly-ovulations.
En cause : un plus grand risque de polyovulation, c'est-à-dire d'ovulations multiples où plusieurs ovules sont expulsés dans l'utérus, au lieu d'un seul par cycle. S'ils sont chacun fécondé par un spermatozoïde, ces ovules donneront deux embryons et deux faux jumeaux, ou jumeaux dizygotes.
Tressa Montalvo, une texane de 36 ans a accouché le 14 février de deux paires de vrais jumeaux. D'après les médecins les chances que cela se produise sont rarissimes. D'autant plus que la maman n'a eu recours à aucun traitement pour la fertilité. Une chance sur 70 millions.
Si vous avez-vous-même un jumeau ou si vous avez des jumeaux dans votre famille, vous avez sensiblement plus de chances d'avoir des faux jumeaux. Les femmes qui ont elles-mêmes un jumeau ont une chance sur 60 de donner naissance elles-même à des jumeaux.
Car les probabilités d'avoir deux fois des jumeaux sont infimes. Si avoir des jumeaux monozygotes, c'est-à-dire les "vrais" jumeaux, reste rare (3 naissances pour 1.000 enfants), avoir des jumeaux dizygotes est plus fréquent, notamment après 35 ans : 5,8 chances sur 1.000 à l'âge de 20 ans, contre 13 après 35 ans.
La presse s'est fait l'écho de plusieurs cas de femmes qui, déjà enceintes, ont pu concevoir un deuxième enfant à quelques jours voire semaines d'intervalle. Ce phénomène, appelé superfétation, est tellement rare que les spécialistes s'interrogent sur son existence même.
La seule façon sûre de détecter une grossesse gémellaire reste l'échographie, mais même celle-ci est sujette à des erreurs si elle est pratiquée trop tôt dans la grossesse. Une grossesse gémellaire peut être détectée à partir de la 8e semaine par échographie, où les deux embryons peuvent être visualisés.
Les faux jumeaux
Deux ovules différents sont fécondés par deux spermatozoïdes différents. Les deux embryons qui se développent ainsi ont chacun leur propre bagage génétique. Les jumeaux n'ont alors pas plus de ressemblances que des frères et soeurs. Ce type de jumeaux représente de 1 à 1,25 naissance sur 100.
Les vrais jumeaux, aussi appelés jumeaux monozygotes, sont le résultat de la séparation en deux d'un ovule fertilisé, ce qui conduit au développement de deux embryons distincts. Les jumeaux sont alors du même sexe, du même groupe sanguin et possèdent les mêmes caractéristiques physiques.
Les jumeaux ont tendance à créer une relation de couple dans laquelle leur personnalité se crée en fonction de celle du jumeau ce qui fera qu'ils vont s'auto suffire et se compléter l'un et l'autre. Pour l'entourage des jumeaux, une telle relation peut être parfois mal vue, incomprise et préoccupante.
Tous les jumeaux se ressemblent comme deux gouttes d'eau.
A l'inverse, les « faux jumeaux » sont issus de deux œufs bien distincts, fécondés par deux spermatozoïdes. Ils sont donc jumeaux « dizygotes ». Ils peuvent être de sexe différent et ne pas avoir de ressemblance physique.
– Les « vrais jumeaux » ou monozygotes : issus d'un seul ovule fécondé, l'œuf se sépare en deux embryons après la fécondation. Lorsque la séparation a lieu tôt dans le processus de fécondation, chaque jumeau possède son propre placenta et sac amniotique.
C'est ce qu'on appelle une polyovulation, un phénomène de plus en plus fréquent quand on vieillit. Parfois, ces deux ovules vont être fécondés indépendamment par deux spermatozoïdes différents. C'est le même schéma lorsqu'on implante deux embryons dans l'utérus lors d'une fécondation in vitro.
A partir de la 6ème semaine de grossesse, on peut reconnaître des jumeaux à l'échographie.