Les scellés sont une étape obligatoire afin de garantir que les cercueils n'ont pas été ouverts après le déroulement des funérailles. C'est un dispositif obligatoire qui est traditionnellement effectué à l'aide d'un tampon en cire cachetée.
Dans le cas d'une crémation, la fermeture doit se faire en présence d'un officier de police, qui pose des scellés sur le cercueil. Ensuite, les porteurs – qui peuvent être des employés des pompes funèbres ou des proches – l'emmènent jusqu'au lieu de crémation ou d'inhumation.
Avant le départ du convoi, selon les cas, une pose de scellés peut avoir lieu. Avec l'accord de la famille, le maître de cérémonie annonce alors la levée du corps, et le cercueil est porté jusqu'au véhicule funéraire. en cas de fermeture du cercueil en présence de la famille et de transport en dehors de la commune.
La pose de scellés lors de la fermeture d'un cercueil permet de s'assurer que celui-ci n'a pas été ouvert depuis son scellement jusqu'au lieu de l'enterrement ou la crémation. Cette étape est traditionnellement réalisée à l'aide d'un tampon en cire cachetée.
La fermeture du cercueil est autorisée par le maire du lieu de décès ou, en cas d'application du premier alinéa de l'article R. 2213-7, par le maire du lieu de dépôt du corps, dans le respect des dispositions de l'article L. 2223-42.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures.
En effet, en vertu de l'article 225-17 du code pénal, toute ouverture de cercueil sans autorisation est en principe constitutive d'une violation de sépulture et punie. L'ouverture d'un cercueil exige donc au préalable une autorisation judiciaire ou suppose une exhumation faite plus de cinq ans après le décès.
Les scellés sont une étape obligatoire afin de garantir que les cercueils n'ont pas été ouverts après le déroulement des funérailles. C'est un dispositif obligatoire qui est traditionnellement effectué à l'aide d'un tampon en cire cachetée.
Les os se dégradent
Après la peau, les os se décomposent à leur tour. Ce sont les plus petits qui sont le plus vite réduit en poussière. Au fil du temps, la peau brunit puis noircit et les chaires s'affaissent progressivement. "Tous les cadavres ne se décomposent pas au même rythme.
Dans un cercueil : plus de dix ans
Dans un caveau bétonné, les seules larves qui se développent sur la dépouille sont celles des rares mouches qui ont pu être en contact avec le corps avant sa mise en bière. Elles mettent donc plus de temps à faire disparaître les chairs.
Le cercueil ouvert permet aux proches de se recueillir une dernière fois devant la dépouille du défunt avant la levée de corps et la séparation définitive que représente la fermeture du cercueil.
En cas d'inhumation, le cercueil doit être étanche, biodégradable et réalisé dans un bois résistant au temps et à l'humidité, tel que le chêne. Son épaisseur minimale est de 22 mm. En cas de crémation, le matériau choisi doit être entièrement combustible.
La fermeture du cercueil est l'acte qui consiste à poser le couvercle et à le visser. Cette étape suit la mise en bière, et précède la pose de scellés lorsque la loi l'exige : en cas de crémation, et en cas d'absence d'un membre de la famille.
"Un corps en extérieur, à une température de 20 à 25°, peut être squelettisé (il ne reste que les os, ndlr) en un mois. En intérieur, mais aussi selon de multiples facteurs, la durée de décomposition est très variable", explique Caroline Rambaud. Température, humidité, vêtements...
Traditionnellement, les scellés sur les cercueils sont en cire cachetée. A l'aide d'une flamme, on fait fondre la cire sur les vis du cercueil (au pied et à la tête) et on y applique un cachet en métal.
Car, au 8e siècle, les Francs utilisaient 'une béra'. 'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
Les tissus sont entièrement brûlés, ce sont donc les os qui vont être réduits en cendres. Un pulvérisateur est utilisé pour réduire en cendres les parties calcaires des os qui ne brûlent pas.
"Les premières heures suivant le décès, le corps a une odeur de viande froide. Cette odeur va évoluer et tendre vers une odeur caractéristique de certains fromages forts comme l'Époisses ou le Maroilles", compare notre interlocuteur.
En cas de transport de corps lorsqu'il s'agit d'une crémation, après fermeture du cercueil, des fonctionnaires du type commissaires de police ou gardes champêtres (désignés à l'article L. 364-5) assistent à la levée du corps.
Cénotaphe = tombeau vide, monument élevé à la mémoire d'un mort (du grec kenos, vide, et taphos, tombeau).
Il est cependant interdit de transporter le défunt de cette manière, le cercueil doit être fermé. Le corps doit donc être déplacé, soit avant la mise en bière, soit en cercueil après la fermeture de ce dernier. Ce sont les pompes funèbres qui se chargent de la mise en bière avant l'inhumation ou la crémation.
Le sang peut alors rester dans les veines et les capillaires, mais, avec la décomposition, ceux-ci peuvent aussi rompre et le sang se disperse alors dans les tissus. Le sang va ensuite aussi se décomposer, les globules rouges éclatent généralement (ce qu'on appelle l'hémolyse) et sont dégradés.
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
Une toilette permettant d'éliminer tout risque d'infection, de la tête au pied. maintient des yeux (lentilles spéciales) et de la bouche (un point de suture) fermés. obstruction des orifices à l'aide de coton (méchage)