Il est tout à fait possible et surtout nécessaire d'abandonner le nucléaire ! Des solutions existent : l'Etat doit s'engager et soutenir le développement des énergies renouvelables tout en mettant en place une réelle politique d'efficacité énergétique (moins de gaspillage, de meilleurs rendements).
La plupart des offres d'électricité sans nucléaire (offre verte) vendent principalement de l'électricité produite par des centrales hydrauliques. En effet, l'hydroélectricité représente près de 80% du mix vert français, loin devant l'éolien (12%) et le photovoltaïque (3.2%).
Pour vivre sans le nucléaire, il est indispensable de maîtriser la consommation et le développement des renouvelables avec une production en augmentation d'année en année. Pour cela, il faut développer le solaire, l'éolien, le biogaz, la biomasse, la géothermie… toutefois, en sortant du cadre centralisé de production.
La première phase comprend le déchargement du combustible, la vidange de tous les circuits puis la mise à l'arrêt définitif de la centrale avec le démontage des installations non nucléaires qui sont définitivement mises hors service. À la fin de cette phase, 99,9 % de la radioactivité présente sur le site est éliminée.
Incroyablement coûteuse, dangereuse et trop lente à déployer face à l'urgence climatique, cette énergie est une fausse solution. Elle produit aussi des déchets dangereux pour lesquels aucune solution n'existe. Il est donc nécessaire de sortir, progressivement, du nucléaire.
Le nucléaire, c'est moins polluant
L'avantage du nucléaire est de ne pas émettre de CO2, à l'inverse des énergies thermiques, comme le charbon et le gaz, qui contribuent au réchauffement climatique, comme l'indique cet article publié dans l'Express.
Nous pouvons citer la vétusté et la faiblesse de la protection des centrales, le (non) traitement des déchets radioactifs, l'extraction de l'uranium et ses méfaits sur les populations locales, les risques de prolifération et l'utilisation de déchets radioactif dans des armes sales, le transport de ces matières sur les ...
À l'abri d'un bâtiment en béton armé
Ainsi, les chercheurs recommandent, en cas d'attaque nucléaire, d'éviter la proximité de portes, de fenêtres et de couloirs. Précisant qu'à partir de là, même la pièce la plus proche de l'explosion peut constituer un bon refuge.
Agir en cas d'alerte nucléaire
Mettez-vous à l'abri dans un bâtiment en dur, fermez portes et fenêtres et coupez la ventilation. Si vous êtes dans un véhicule, gagner un abri (immeuble, logement..) le plus rapidement possible.
L'empreinte carbone est mesurée en quantité de CO2 émise pour produire un kilowattheure d'électricité. Il s'avère que l'énergie la plus propre est l'éolien, qui produit 11 g de CO2/kWh. Il est suivi du nucléaire, qui produit 12 g de CO2/kWh.
Les énergies renouvelables devraient pouvoir répondre à nos besoins actuels et futurs de manière efficace et avec un impact limité pour l'environnement. Actuellement, nous utilisons l'éolien, le solaire thermique, le solaire photovoltaïque, la biomasse, la géothermie et l'énergie hydraulique.
Inconvénients de l'énergie nucléaires :
Les déchets nucléaires, particulièrement le transport et le stockage des combustibles usés. Les déchets radioactifs sont nocifs pour l'environnement ainsi que pour la santé de la population.
Le nucléaire pollue en carbone indirectement lorsque l'on prend en compte son cycle de vie notamment lors de : l'extraction de l'uranium et de sa fabrication en combustible, la construction et du démantèlement des réacteurs.
La chaleur dégagée par la fission nucléaire est convertie en vapeur qui entraîne une turbine et fait de cette manière tourner un alternateur. Cet alternateur convertit l'énergie mécanique en énergie électrique.
Selon ces spécialistes français et américains, l'antimissile peut, sous certaines conditions, neutraliser l'engin intercontinental, mais il ne condamne pas le missile à courte ou moyenne portée, et notamment le sous-marin stratégique. A l'appui de cette thèse, ils font généralement valoir plusieurs arguments.
Pour survivre à une attaque nucléaire, il faut donc gagner l'intérieur. Et rester à l'intérieur : les retombées radioactives perdent 50 % de leur dangerosité au bout d'une heure et même 80 % au bout de 24 heures.
À moins d'être touchée par une terrible catastrophe naturelle, l'île de Tristan Da Cunha constitue un bon repère en cas de guerre. Sise dans l'océan Atlantique, elle est plus concrètement localisée à proximité des îles Inaccessible et Nightingale.
Les raisons évoquées pour la modification de la Loi sont la pénurie actuelle de gaz, un développement insuffisant des éoliennes et du réseau électrique dans le sud de l´Allemagne, la sécheresse, l´étiage et surtout la disponibilité réduite du parc nucléaire français l´hiver prochain.
Dans le rapport présenté par RTE le constat est sans appel : tous les scénarios étudiés et permettant d'atteindre la neutralité carbone tout en répondant à nos besoins de manière réalistes et viables prévoient l'utilisation de centrales nucléaires jusqu'en 2050.
Le risque nucléaire majeur est la fusion du cœur du réacteur d'une centrale nucléaire. Toutefois, un accident grave de transport d'éléments radioactifs pourrait être considéré comme un risque majeur. Les risques sont de deux ordres : - risque d'irradiation par une source radioactive.
Elle ne rejette pas de CO2, mais de la vapeur d'eau ; Elle est disponible tout l'année ; Elle n'est pas chère à produire et permet de produire dans de grandes quantités d'électricité ; Les installations nécessaires à sa production ont une durée de vie assez longue, de 40 ans environ.
La France dispose peu de ressources énergétiques (gaz, pétrole ou charbon) sur son territoire. Combinée aux chocs pétroliers des années 70, la France a décidé de recourir à l'énergie nucléaire pour assurer sa sécurité d'approvisionnement et acquérir une souveraineté.