Depuis quand le réchauffement climatique est-il actif ? D'après une équipe internationale de vingt-cinq chercheurs, il est fort probable que le réchauffement climatique anthropique ait débuté dans l'hémisphère nord aux alentours de 1830, aux prémices de la Révolution industrielle.
Selon l'étude, en 1830, le réchauffement a d'abord concerné l'Arctique et les océans tropicaux, avant d'atteindre le reste de l'hémisphère nord. En Australie ou en Amérique du Sud, le réchauffement n'est détectable que cinquante ans plus tard.
L'expression “réchauffement climatique” apparaît pour la première fois, cette année-là. Elle a été inventée par le climatologue Wallace Broecker dans la revue Science. A la fin des années 1970, la science a produit des modèles généraux de circulation atmosphérique mondiale.
Les combustibles fossiles, à savoir le charbon, le pétrole et le gaz, sont de loin les plus grands contributeurs au changement climatique mondial ; ils sont responsables de plus de 75 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre et de près de 90 % de toutes les émissions de dioxyde de carbone.
Premier endroit concerné par cette situation : le golfe Persique, et notamment l'émirat de Ras el Khaïmah.
La Normandie : Déjà attractive aujourd'hui, particulièrement pour les franciliens, cette région va voir sa côte augmenter. Elle permettra de bénéficier d'un environnement naturel varié et doux. Le climat sera plus agréable qu'ailleurs, l'agriculture y sera plus répandue et les produits locaux facilement accessibles.
Les principales conséquences sont la diminution de la disponibilité en eau et des rendements des cultures, l'augmentation des risques de sécheresses et de perte de biodiversité, les incendies de forêt et les vagues de chaleur.
Les transports, première source de gaz à effet de serre
Selon cet inventaire, les transports sont la première source de gaz à effet de serre en France métropolitaine (29,7 % des émissions en équivalent CO2 en 2017), devant l'industrie et le secteur tertiaire (25,8 %) ou l'agriculture (18,9 %).
Cette différence d'impact saute aux yeux lorsque nous analysons le taux de mortalité dû aux changements climatiques et à ses événements extrêmes pour chaque pays. Entre 1902 et 2021, les trois pays les plus impactés en nombre de morts sont la Chine, l'Inde et le Bangladesh (Uswitch).
Les trois pays les plus pollueurs au dioxyde de carbone (CO2) sont : la Chine, les États-Unis et l'Inde. Cependant, leur empreinte carbone ramenée au nombre d'habitants donne un résultat bien différent.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
Effectivement, non seulement la Terre se réchauffe mais elle se réchauffe à vitesse grand V, c'est-à-dire en quelques centaines d'années et non comme avant, c'est-à-dire progressivement sur quelques milliers d'années. Comparons l'énergie solaire reçue par la Terre et la température moyenne à la surface du globe.
La chute de ces indicateurs est bien sûr liée à la montée structurelle des températures qui, en 2050, seront entre 1,6 et 1,9 °C plus élevées que celles qui y étaient relevées durant la période 1976-2005.
Sans grande surprise, ce sont les États-Unis et la Chine qui sont les pays les plus pollueurs au monde.
La première, c'est que l'Europe est un continent et les continents se réchauffent plus vite que les océans. C'est lié au fait que les océans absorbent la chaleur sur toute leur profondeur. Mais, surtout, quand l'océan se réchauffe, sa surface s'évapore.
Au milieu des années 1950, le chercheur canadien Gilbert Plass publie plusieurs articles sur une possible augmentation de la température terrestre due aux émission humaines de gaz à effet de serre.
A l'inverse, les pays les moins à risque sont tous situés en Europe du Nord : l'Islande, la Norvège, l'Irlande se partagent le podium, suivis de la Finlande, du Luxembourg et du Danemark.
Les trois premières places de l'indice, qui correspondraient aux pays qui affichent de « très bonnes » performances en matière climatique, sont d'ailleurs inoccupées depuis 2008 – et le resteront cette année –, tandis que le Danemark et la Suède se classent respectivement quatrième et cinquième.
La pollution de l'air :
La pollution de l'air participe grandement à la pollution de la planète. Elle est principalement due à la calcination de combustibles fossiles comme le charbon, le pétrole et gaz.
Les femmes ont des modes de vie moins émetteurs de gaz à effet de serre (GES) en moyenne que les hommes, mais elles sont davantage victimes des dérèglements climatiques, selon une note d'une économiste consultée mardi par l'AFP.
L'agriculture et l'industrie
L'essentiel des émissions de GES de l'agriculture est constitué de méthane (46 %, soit 8,7 % des émissions nationales), principalement lié à l'élevage, et de protoxyde d'azote (40 %, soit 7,6 % des émissions nationales), principalement lié à la fertilisation des cultures.
L'accumulation du dioxyde de carbone (CO2) dans l'atmosphère contribue pour 2/3 de l'augmentation de l'effet de serre induite par les activités humaines (combustion de gaz, de pétrole, déforestation, cimenteries, etc.). C'est pourquoi on mesure usuellement l'effet des autres gaz à effet de serre en équivalent CO2 (eq.