L'épée de Roland « Durandal » part pour le Musée de Cluny.
Roland ou Hruotland (Hruodland en francique), dit « Roland le Preux », mort en 778 à Roncevaux, est un guerrier franc, préfet de la marche de Bretagne (praefectus britannici limitis), chargé de défendre la frontière du royaume des Francs contre les Bretons, et — selon la légende — neveu de Charlemagne.
Durandal est le nom que le chevalier Roland de Roncevaux donna à sa fameuse épée. Acculé par les Sarrasins, le vaillant Roland tâcha de briser sa fidèle épée pour la soustraire à la convoitise de l'ennemi.
Excalibur est le nom de l'épée magique du roi Arthur. On la confond souvent avec l'épée du rocher, qui était figée dans le granit et que personne ne pouvait extraire de la roche à part Arthur, ce qui attesta qu'il était bien le roi légitime de Bretagne.
La plus ancienne chanson de geste française, en 4 002 décasyllabes assonancés. On la date de la fin du xie siècle, et nul texte de ce genre ni de cette importance en langue vernaculaire ne lui est antérieur.
Situé près de la frontière franco-espagnole, il se trouve néanmoins entièrement en Espagne, à la limite entre les municipalités de Luzaide au nord et de Roncesvalles au sud.
Selon la légende, la brèche fut ouverte par Roland, le neveu de Charlemagne, alors qu'il tentait de détruire son épée Durandal en la frappant contre la roche à l'issue de la bataille de Roncevaux.
Le 15 août 778, l'arrière-garde d'une armée franque est attaquée dans les Pyrénées occidentales par des montagnards basques au retour d'une campagne contre les musulmans d'Espagne. Quelques chefs sont tués, dont le comte Roland, l'un des fidèles du roi Charles Ier, futur Charlemagne.
L'épée Hauteclaire est une épée légendaire qui aurait appartenu à Olivier, l'un des héros de la Chanson de Roland. Cette épée est décrite comme étant en acier bruni avec un cristal incrusté dans une poignée d'or ; mais elle aurait disparu au Moyen Âge. Girart de Viennes conte l'histoire de l'épée.
Selon cette interprétation, « Excalibur » devient l'unique épée d'Arthur, la lame légendaire tirée d'un rocher ou brandie par une main féminine hors des eaux et offerte au souverain - deux interprétations concurrentes demeurent alors pour un seul et même objet.
La permanence de cet objet d'art, qui traversa toutes les péripéties de l'histoire, rend la relique encore plus émouvante... Épée et fourreau du sacre des rois de France dite "Joyeuse" ou "Épée de Charlemagne". Pommeau : Xe-XIe siècle quillons : XIIe siècle fusée : XIIIe siècle fourreau : VIIIe siècle.
Une attaque massive par les Vascons, une milice Basque, aboutit à la destruction de l'arrière-garde franque et à la mort de Roland malgré une défense héroïque.
Le chevalier fut tué lors de cette embuscade. Une mort provoquée en partie, par Ganelon qui pactise avec Marsile, le roi musulman de Saragosse, comme l'indique le poème, La chanson de Roland. Le chevalier était jalousé par Ganelon, le beau-frère de Charlemagne.
Refuge vers parking : Du refuge, passer au col des Sarradets (2589m) et descendre vers le passage de la cascade. Traverser le torrent (pas de pont), et continuer plein ouest vers le Port de Boucharo (2270m). Au Port, prendre au nord-ouest, et après 20 mn de marche rejoindre le parking du col des Tentes.
La brèche de Roland est l'un des endroits les plus connus des Hautes-Pyrénées. Elle est visible depuis de nombreux points du cirque de Gavarnie. C'est une très belle randonnée facile depuis le col de Tentes.
Située à 2807 mètres d'altitude, la Brèche de Roland est une impressionnante trouée naturelle dans une barre rocheuse au-dessus du Cirque de Gavarnie. Large de 40 mètres et haute de 70, elle ouvre un passage à la frontière entre la France et l'Espagne.
Le moyen le plus rapide pour se rendre de Roncevaux à Saint-Jean-Pied-de-Port est de prendre un voiture ce qui coûte €4 - €7 et prend 25 min. Y a-t-il un bus entre Roncevaux et Saint-Jean-Pied-de-Port ? Oui, il y a un bus direct, qui part de Roncesvalles et arrive à Saint Jean De Pied De Port.
Nous sommes le 15 août 778 est l'arrière-garde de l'armée de Charles Ier finit massacrée au col de Roncevaux ainsi que le conte le moine Eginhard dans sa Vita Karoli Magni. La conduite de Roland, neveu de Charlemagne et préfet de la Marche de Bretagne, est héroïque lors de ce guet-apens.
L'empereur refuse que ses proches tiennent ce rôle dangereux. Roland propose alors son beau-père Ganelon pour cette mission et Charlemagne accepte. Fou de rage que sa vie, aux yeux de l'empereur, soit moins importante que celle de son beau-fils et, pour laver cette humiliation, Ganelon tend un piège à Roland.
La Chanson de Roland a été probablement écrite vers 1100 par un poète anonyme qui s'appellerait Turold. Une dizaine de manuscrits sont parvenus, dont « le manuscrit d'Oxford » qui est considéré comme l'original. L'auteur de ce manuscrit reste inconnu.
Un récitatif raffiné
Une chanson de geste se présente comme une série de laisses, groupes de dix à douze vers qui s'achèvent sur la même voyelle accentuée (cette rime imparfaite s'appelle assonance).
C'est une tempête, phénomène somme toute très naturel, qui annonce la mort de Roland, et les seules apparitions sont celles de saint Gabriel et de saint Michel, quand ils viennent recueillir l'âme du héros; à deux reprises encore, saint Gabriel descend du ciel vers Charlemagne, mais c'est en rêve qu'il lui apparaît.