En France, en 1791, Olympe de Gouges, considérée comme une des pionnières du féminisme dans son pays, rédige la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, dans laquelle elle demande que l'on rende à la femme les droits naturels que les préjugés lui ont retirés.
Des origines à 1917. La naissance du féminisme en Russie date du milieu du XIX e siècle alors que le tsar Alexandre II commence à libérer un peu l'expression politique. Parmi les sujets abordés par l'Intelligentsia, la place des femmes dans la nouvelle société qui émerge, est une préoccupation importante.
Le fondateur du féminisme Léon Richer est né à L'Aigle dans l'Orne. Considéré comme le "père du féminisme" par Hubertine Auclert et le "véritable fondateur du féminisme" par Simone de Beauvoir, le natif de L'Aigle (Orne) Léon Richer reste méconnu.
Olympe de Gouges est considérée comme une des pionnières du féminisme français. Elle est notamment la rédactrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
26 août 1970 : "C'était la première fois que l'on apparaissait publiquement en tant que féministes" Entretien. Le 26 août 1970, un acte symbolique d'une dizaine de féministes a marqué le début du Mouvement de libération des femmes qui a œuvré pour leurs droits.
Olympe de Gouges. Olympe de Gouges, née à Montauban le 7 mai 1748, est une femme de lettres française, devenue femme politique. Elle est considérée comme une des pionnières du féminisme français notamment après la publication en 1791 de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne.
D'une manière générale, le féminisme peut être considéré comme un mouvement visant à mettre fin au sexisme, à l'exploitation et à l'oppression sexistes et à réaliser la pleine égalité de genre en droit et en pratique.
Françoise Giroud (1916-2003) - journaliste, écrivaine et femme politique française. Olympe de Gouges (1748–1793) - femme de lettres française, devenue femme politique, autrice de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, en 1791. Gisèle Halimi (1927-2020) - avocate, grande figure du féminisme en France.
Misogyne signifie : « a qui une aversion pour les femmes, du mépris pour elles ». Cet adjectif qualifie le plus souvent un homme.
Quelques femmes de l'élite, comme la dramaturge et essayiste française Olympe de Gouges (1748-1793) et la philosophe anglaise Mary Wollstonecraft (1759-1797) ont objecté et ont défendu les droits des femmes en publiant respectivement la Déclaration des droits de la femme (1790) et la Défense des droits des femmes (1791 ...
Le féminisme à travers ses mouvements et combats dans l'Histoire. L'histoire des féminismes est étroitement liée aux différents mouvements et combats qui luttent pour la reconnaissance des droits des femmes, inexistants et bafoués pendant des siècles, ainsi que pour l'égalité entre les femmes et les hommes.
réformateur, réformatrice, réformiste[Hyper.]
"Méninisme", quand les hommes transposent le féminisme au masculin - L'Express.
Delphine Gardey peut ainsi conclure en affirmant que les féminismes ont permis aux femmes de « devenir sujet de droit et sujet politique, devenir actrice de [leur] vie sexuelle et pouvoir la choisir, faire advenir des formes nouvelles de la subjectivité » (p. 118).
Les féministes luttent contre les inégalités entre les hommes et les femmes. Par exemple, c'est grâce aux féministes que les femmes ont eu le droit de vote. Leur combat n'est pas terminé, car même en France, les femmes ne sont pas toujours traitées à égalité avec les hommes.
MISANDRE, , adj.
La misandrie (du grec ancien μῖσος / mîsos (« haine ») et ἀνήρ / anếr (« homme ») est un terme désignant un sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard des hommes. Ce terme est sémantiquement le correspondant inverse de celui de misogynie (sentiment de mépris ou d'hostilité à l'égard d'une ou des femmes).
Définition "misandre"
n. Personne qui hait ou méprise les hommes.
Surnommée Jeanne la Pucelle ou la Pucelle d'Orléans, Jeanne d'Arc (1412-1431) est une figure incontournable de l'histoire de France.
Le féminisme se compose essentiellement de trois grandes vagues. La première , de 1850 à 1945 visait à démontrer que les femmes ont les capacités d'assumer les mêmes responsabilités que les hommes. A cette époque, elles se sont battues pour le droit de vote et pour des égalités de droit en général.
Ailleurs, des femmes luttent encore pour des droits fondamentaux comme le respect de l'intégrité de leur corps, de leurs choix matrimoniaux, comme l'accès à l'emploi, à des droits familiaux qui ne les réduisent pas à l'état de mineures, à l'égalité dans l'héritage etc.