Ainsi, les limites de l'Univers observable correspondent au lieu le plus lointain de l'Univers pour lesquelles la lumière a mis moins de 13,82 milliards d'années à parvenir à l'observateur, ce qui le place immanquablement au centre de son Univers observable.
Appliquées à la cosmologie, toutes ces nouvelles géométries permettent de considérer sans contradiction aucune un univers fini mais sans frontière. Ces notions ne sont toutefois guère intuitives. Encore aujourd'hui, dans l'esprit de beaucoup de gens, c'est plutôt la conception stoïcienne qui prévaut.
Selon la théorie de la relativité générale, un Univers en expansion doit avoir commencé par un Big Bang, ce qui implique la finitude du temps, apparu simultanément avec l'espace et l'énergie-matière. Cette façon de voir s'est modifiée au cours des dernières années.
En dehors des limites de notre Univers se trouve peut-être un “super” Univers. Il s'agirait d'un espace qui s'étend à l'infini dans ce que notre petit Univers peut s'étendre à l'infini. À des centaines de milliards d'années-lumière de nous se trouvent peut-être d'autres Univers semblables au nôtre.
Toutes les structures vont se défaire, les étoiles, les planètes et même les atomes. C'est ce que l'on appelle le Big Rip, le grand déchirement final, qui pourrait arriver dans seulement 20 à 30 milliards d'années. Mais si l'énergie sombre est constante, tout cela se produira beaucoup plus lentement.
Pendant longtemps, la réponse était simple : l'univers a été créé par une divinité. Mais la science et ses progrès sont venus bouleverser cette certitude, même si la question de l'origine de l'univers reste encore et toujours une question métaphysique.
Selon les calculs de la NASA, la dernière étoile de l'Univers ne s'éteindra que dans 100 000 milliards d'années. Un sacré laps de temps pendant lequel des planètes similaires à la Terre pourraient encore se former et potentiellement y voir naître la vie.
Le géocentrisme est un modèle physique ancien selon lequel la Terre se trouve immobile, au centre de l'Univers. Cette théorie date de l'Antiquité et a été notamment défendue par Aristote et Ptolémée.
D'une certaine manière, mathématiquement, l'infini, c'est ça : pouvoir toujours ajouter 1 à n'importe quel nombre, aussi grand soit-il, et construire ainsi des nombres de plus en plus grands. On en vient donc à la conclusion qu'il n'y a pas de nombre plus grand que tous les autres.
Où nous situons-nous dans l'univers ? Selon une récente étude américaine, notre système solaire se trouverait au centre d'une mégastructure cosmique, remplie de vide. La bulle cosmique géante enveloppant la Terre.
Au moment du big bang, la matière que nous connaissons aujourd'hui n'existait pas. On pense que l'univers était alors un brouillard très chaud de particules. Les atomes, a fortiori les molécules, n'étaient pas encore formés.
Selon la théorie du Big Bang, l'Univers a eu un début, il y a environ 13,7 milliards d'années. C'est là que le temps aurait commencé, et que l'espace et la matière seraient apparus. Plusieurs observations permettent de valider cette théorie.
Les protons et les neutrons sont eux-mêmes formés de quarks. Dans l'état actuel de la science, les quarks ne sont pas formés d'autres composantes, de sorte que ce sont les choses les plus petites que nous connaissions.
L'univers est gouverné par des lois.
Le Grand Mur d'Hercule et de la Couronne boréale est un filament galactique, le plus grand donc connu à ce jour. Cette superstructure se compose de plusieurs milliers de galaxies, lesquelles sont réparties en amas et en superamas interconnectés entre eux par des filaments de gaz chauds.
La Voie lactée, aussi nommée la Galaxie (avec une majuscule), est une galaxie spirale barrée qui comprend entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes. Elle abrite le Système solaire et donc la Terre.
L'Univers est si grand que la lumière de certaines galaxies n'est toujours pas arrivée jusqu'à notre planète ! C'est comme si la Terre était dans une sorte de bulle. Au-delà de cette bulle, il nous est impossible de voir. La bulle, c'est l'Univers observable.
Pour la civilisation indienne, le signe infini fait référence aux 8 bras du dieu Shiva. Il désigne aussi les 8 règlements de conduite et les 8 vœux prononcés par les moines bouddhistes. En Chine, ce symbole représente les 8 pétales des fleurs de lotus ainsi que les 8 piliers du Ming-Tang et les 8 sentiers du Tao.
Le zéro est alors appelé sunya ce qui signifie le vide. Au XIIe siècle, le mathématicien indien Bhaskara parvient à établir que 1/0 = l'infini. Il démontre ainsi, la relation qui existe entre le vide et l'infini. Au IXe siècle, les Arabes emprunteront aux Indiens le zéro, le mot sunya devenant sifr.
La Terre s'est formée il y a 4,6 milliards d'années. Des nuages de gaz et de poussières se sont condensés pour former des planétoïdes. Ceux-ci se sont alors agglomérés pour former les jeunes planètes.
Lorsque l'on voit le Soleil se lever ou se coucher, on a tendance à dire que le Soleil tourne autour de la Terre. Et en un sens, c'est vrai : vu depuis la Terre, dans le référentiel terrestre, le Soleil tourne autour de la Terre.
Le noyau. Le noyau, formant le centre de la Terre, est la partie la plus chaude de la Terre et est formé de fer et de nickel. Le noyau, au centre de la Terre, forme 17 % du volume terrestre.
Le fait que l'univers soit fini ou infini dépend alors de sa courbure. Si notre univers est plat ou hyperbolique, alors il peut être soit fini soit infini. Il pourrait même être fini dans une direction et infini dans une autre. Par contre, si l'univers est sphérique, alors il est forcément fini.
Pas exclu… mais compliqué. Vous avez sûrement entendu parler de la théorie du Big-Bang, qui décrit comment l'Univers est « né » d'un amas de matière très dense et très chaud il y a environ 13,7 milliards d'années. Une dilatation progressive, comme un ballon qu'on gonfle.
La fleur de vie est une forme géométrique formée à partir de cercles reliés par le centre. C'est un motif considéré comme sacré, qui représente l'univers.