La toxine botulique inhibe la libération de l'acétylcholine au niveau de la plaque motrice et au niveau du système nerveux parasympathique. Elle agit par paralysie des nerfs moteurs et provoque une paralysie flasque.
la toxine botulique bloque le muscle en inhibant la libération d' acétylcholine, un neuromédiateur responsable du passage de l' information entre le nerf et le muscle. c' est cette acétylcholine qui entraîne la contraction musculaire ; lorsqu' elle bloquée, la contraction des muscles ne peut plus se faire.
Le Botox agit sur les muscles en les mettant au repos, c'est pourquoi ce traitement est utilisé pour traiter les rides d'expressions. La zone privilégiée de ce type de traitement est le tiers supérieur du visage.
Son mécanisme consiste à stopper l'action de l'acétylcholine, un neurotransmetteur qui permet la contraction musculaire. Lorsqu'il est injecté dans des muscles ciblés, le Botox bloque la communication entre les nerfs et les muscles. L'acétylcholine n'est plus libéré. Cela entraîne une paralysie temporaire des muscles.
Les effets indésirables éventuels du traitement consistent en une faiblesse un peu trop importante du muscle injecté ou des muscles avoisinants. Ces effets secondaires sont dose-dépendants et réversibles en quelques jours, voire quelques semaines.
Mécanismes d'action des différentes molécules
La toxine botulique bloque la transmission neuromusculaire en empêchant la libération de l'acétylcholine par exocytose au niveau de la terminaison neuronale.
En effet, l'ébullition des aliments pendant 10 minutes peut détruire les toxines de la bactérie. De plus, certains processus de conservation des aliments, tels que l'acidification ou l'utilisation de saumure, peuvent également aider à éliminer la bactérie Clostridium botulinum.
Les toxines botuliques font partie des substances les plus létales connues. Les toxines botuliques bloquent les fonctions nerveuses et peuvent entraîner une paralysie respiratoire et musculaire.
Dans des cas exceptionnels, une fatigue générale peut survenir pendant quelques jours (une à deux semaines maximum), ou une faiblesse généralisée notamment suite à l'injection de très fortes doses, avec la nécessité de prendre rapidement contact avec le service pour hospitalisation et surveillance.
La toxine botulique, un produit utilisé de longue date par les ophtalmologistes. La toxique botulique, ou Botox®, est un médicament dont la fonction est de provoquer le relâchement des muscles, en empêchant la transmission du signal nerveux à l'origine de la contraction musculaire.
Cela peut entraîner des problèmes tels que des paupières tombantes, une vision double, une perte de force musculaire.
Après une séance, l'effet de décontraction musculaire commence à apparaître dès 5 jours. Progressivement, la peau devient plus lisse, les plis s'estompent et le visage paraît plus reposé.
Il ne faut pas faire de sport dans les heures qui suivent votre injection de Botox. Par la suite, rien ne contre-indique la pratique d'une activité physique.
Certains patients pensent profiter de l'effet rajeunissant du botox en renouvelant le plus rapidement possible les séances. Or, il est recommandé de respecter un intervalle d'au moins 4 à 6 mois. Des séances trop rapprochées peuvent amoindrir l'efficacité de la toxine botulique ou donner un aspect trop figé au visage.
Cette molécule est une toxine, car elle provoque une maladie appelée botulisme. Plus particulièrement, elle est neuro-toxique puisqu'elle elle produit des paralysies musculaires. C'est cette action sur les muscles qui est utilisée de façon bénéfique lors d'injections de toxine botulique.
L'acide hyaluronique est idéal pour restaurer le volume perdu, combler les rides et redonner de la fraîcheur au visage alors que le botox est surtout efficace pour atténuer les rides d'expression et prévenir leur apparition.
Les symptômes liés au botulisme alimentaire apparaissent généralement au bout de quelques jours : atteinte oculaire (défaut d'accommodation, vision floue), sécheresse de la bouche accompagnée d'un défaut de déglutition voire d'élocution, troubles digestifs et neurologiques.
N'importe quel médecin ne peut pas injecter de la toxine botulique. Les chirurgiens spécialistes en chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique, les médecins esthétiques ou les dermatologues peuvent effectuer des injections de toxine botulique sur tout le corps, incluant le visage et les aisselles.
Complications générales
Elles sont tout à fait exceptionnelles : Réaction allergique : éruption cutanée, urticaire, réaction allergique générale. nausées, vertiges.
Les spores de C. botulinum sont présentes à de faibles niveaux dans une large variété d'aliments. La présence de toxine botulique dans les aliments transformés peu acides est souvent due à un défaut de maîtrise du procédé de stérilisation, salaison, et/ou à une rupture de la chaîne du froid.
L'injection de toxine botulique au niveau des muscles masticateurs a un intérêt pour le relâchement de ceux-ci lorsqu'ils présentent des contractures résistantes à la kinésithérapie.
La toxine botulique en médecine générale
À l'origine, on commence à utiliser le botox pour traiter les strabismes, afin de relaxer les muscles de l'œil. Les toxines botuliques sont aussi utilisées pour traiter les spasmes des paupières, les problèmes de vessie neurologiques ou les spasmes provoquant des paralysies.
Les Clostridium botulinum ne se développent qu'en l'absence d'oxygène ; les aliments sous vide et en conserve sont donc les plus fréquemment concernés (conserves familiales, végétaux, jambons familiaux - fait maison-, saucisses, poissons séchés ou fumés...).
La respiration ventrale est un bon moyen de chasser les toxines du corps. On stimule le système immunitaire et on se déstresse en faisant de la méditation ou du yoga.