Ce produit est présenté sous forme d'un gel inodore et non tachant. Pour obtenir une dose prémesurée, appuyez à fond sur le poussoir. Appliquez alors le gel obtenu en mince couche sur une grande surface, comme les bras, les cuisses ou le ventre. Laissez sécher le gel environ 2 minutes avant de vous habiller.
Avec les mains, appliquez tout le gel en une mince couche uniforme sur une grande surface de peau propre et sèche. Il est conseillé d'appliquer le gel libéré par une pression de la pompe sur la face externe d'un bras, depuis le poignet jusqu'à l'épaule.
Le gel sera appliqué par la patiente sur une peau propre, sèche et intacte, de préférence après la toilette, le matin ou le soir, sur le ventre, les cuisses, les bras ou les épaules. Le gel ne doit pas être appliqué sur les seins ni sur les muqueuses. Le contact avec les yeux doit être évité.
· Le gel doit être appliqué sur une peau propre, sèche et intacte (sur le ventre, les cuisses, les bras ou les épaules). La surface d'application doit être l'équivalent de deux fois la taille d'une main.
Cela peut être des bouffées de chaleur, des suées nocturnes, des maux de tête, une sensation de fatigue, des troubles du sommeil, une irritabilité ou des douleurs articulaires.
La prise d'un traitement hormonal substitutif à la ménopause accroît légèrement les risques de thrombose veineuse. Il s'agit de la formation d'un caillot dans une veine, provoquant une phlébite ou une embolie pulmonaire. Une thrombose artérielle (formation d'un caillot dans une artère) est également possible.
Le THS (oestrogène avec ou sans progestatif) est efficace pour atténuer les bouffées de chaleur, les sueurs nocturnes et la sécheresse vaginale, mais que l'utilisation du THS , même à court terme, est liée à l'accroissement des risques de caillots de sang, d'accidents cérébrovasculaires et des maladies coronariennes.
Les effets secondaires recensés du traitement hormonal sont : saignements vaginaux, ballonnements, hypersensibilité des seins, maux de tête, nausées, vaginites et démangeaisons vaginales, crampes dans les jambes, sautes d'humeur et perte d'appétit sexuel.
Le traitement hormonal de substitution (THS) peut faire prendre en moyenne de 1 à 3 kg mais cela n'est pas systématique. Certaines études affirment même le contraire : le THS ne ferait pas grossir et permettrait au contraire d'éviter le stockage des graisses dans le haut du corps1.
À la ménopause, un enzyme déclencherait le stockage des graisses. À la ménopause, la répartition des graisses se modifie dans le corps des femmes: moins dans les cuisses ou les fesses mais plus dans l'abdomen, donnant naissance à ce que les médecins appellent l'obésité abdominale.
Modalités de l'arrêt du traitement
Diminuer le dosage oestro-progestatif de 50% sur un mois. Si apparition de symptômes gênants : reprendre le dosage initial. En l'absence d'apparition de symptômes gênants : arrêter le traitement le mois suivant.
Le traitement est prescrit pour la durée la plus courte possible et il est fortement conseillé de l'arrêter au bout de 5 ans. Mais chez 40 % environ des femmes de plus de 60 ans, les symptômes les plus gênants de la ménopause comme les bouffées de chaleur persistent.
Le taux d'Estradiol à la ménopause est inférieur à 50 pg/ml (sérum), il faut essayer d'arriver à un taux optimal entre 50 et 150 pg/ml. Ainsi si le taux est inférieur à 50 pg/ml la patiente se plaindrait toujours d'une anxiété et d'une dépression.
Quelles sont les hormones bio-identiques offertes au Canada? Les produits pharmaceutiques Estrace® (comprimés par voie orale), Estring® (anneau) et Vagifem® (comprimé) contiennent de l'estradiol-17β, mais ne font pas partie du traitement hormonal bio-identique.
ESTROGEL® (estradiol 17 β) est indiqué : • dans le cadre d'une hormonothérapie substitutive visant à suppléer à une carence œstrogénique d'origine naturelle ou chirurgicale associée à des symptômes ménopausiques et postménopausiques, comme les bouffées de chaleur, les troubles du sommeil et la vaginite atrophique.
Donc s'ils sont donnés à doses adéquates ils ne font pas grossir. Logiquement ils sont associés à de la progestérone pour remplacer l'équilibre perdu.
Le tamoxifène administré pendant 5 ans a longtemps été le traitement standard en situation adjuvante quel que soit le statut ménopausique, permettant une réduction significative du risque de récidive et de mortalité par cancer du sein à 15 ans de 39% et 30% respectivement (1).
A la ménopause, la chute soudaine des œstrogènes provoque généralement une baisse du tonus physique et mental, voire une fatigue intense, avec souvent des répercussions sur l'énergie. Mais elles se manifestent différemment chez chacune.
Les femmes ménopausées souffrent ainsi plus souvent de raideurs, de gonflements et de douleurs articulaires en particulier au niveau des doigts et des poignets. Peuvent aussi être touchés dans une moindre mesure, les genoux, les lombaires, les épaules, et plus rarement les hanches, les pieds et les chevilles.
Œstrogènes et progestérone, les hormones qui font gonfler.
Le traitement de la ménopause possédant le plus de recommandations en 2021 lorsque l'intensité des symptômes est forte, est le traitement hormonal substitutif (THM).
Pour éviter de prendre du poids, ne sautez pas de repas, faites des repas équilibrés, augmentez votre consommation de légumes et baissez celle des produits sucrés et gras.
Manque d'énergie, difficultés de concentration, troubles de la mémoire, du sommeil, sautes d'humeur, spottings… ces symptômes ne sont qu'un aperçu des conséquences possibles d'un manque de progestérone.