"Typiquement la douleur est thoracique gauche, avec une sensation d'étai et de serrement, favorisée par l'effort. Elle peut irradier dans la gorge, la mâchoire ou le bras gauche, il s'agit parfois d'ailleurs le seul signe, notamment chez les femmes", détaille le médecin.
Une douleur intense au bras gauche, qui ne fluctue pas en fonction des changements de position et s'accompagne d'une sensation de malaise général, de sueurs, d'une pâleur, etc doit être considérée comme un signe d'infarctus du myocarde !
Le signe classique de l'infarctus du myocarde est une douleur thoracique, rétro sternale, irradiant dans le bras gauche et le poignet et les mâchoires.
Une sensation de décharges électriques, de brûlures ou de fourmillements qui ne s'accentuent pas avec l'effort. Une douleur qui apparaît soudain lors d'un effort, irradie dans le bras gauche et ne s'atténue pas au repos (dans ce cas il s'agit peut-être d'un infarctus du myocarde : consultez le plus vite possible)
Douleur qui irradie, pouvant s'étendre : à partir de la poitrine, du haut au bas d'un ou des deux bras, au cou, à la mâchoire ou aux épaules.
Une douleur au bras gauche peut être liée à une douleur musculaire, à un pincement nerveux, à une blessure osseuse ou encore à une douleur référée du cœur. En effet, le bras peut être source de nombreux types de symptômes avec des douleurs apparaissant la nuit, au repos ou au mouvement.
L'infarctus du myocarde survient lorsqu'une plaque se détache, puis se déplace et s'immobilise dans une artère coronaire. Un caillot de sang se forme autour de la plaque et interrompt l'apport de sang, privant ainsi le cœur d'oxygène. Cela entraîne la destruction d'une partie plus ou moins étendue du muscle cardiaque.
Causes de la douleur de l'avant-bras
Une autre cause possible, plus problématique, est un trouble cardiaque ou pulmonaire (embolie, péricardite, angine de poitrine, infarctus...) qui irradie la douleur au niveau de l'épaule et de l'ensemble du bras, en particulier le bras gauche si la douleur initiale est cardiaque.
La cause la plus courante est une mauvaise position la nuit : le corps exerce une pression sur un nerf du bras, qui finit par "s 'endormir". Ces cas sont inoffensifs. La sensation disparaît après avoir changé de position.
Selon une étude américaine menée en Caroline du Nord, et portant sur 9500 personnes d'âge moyen (45 à 64 ans), il se produit en une quinzaine d'années presque autant (45%) d'infarctus du myocarde qui passent complètement inaperçus que d'infarctus avec symptômes (55%).
Un infarctus est dit « silencieux » lorsqu'aucun des symptômes classiques, à savoir une sensation de douleur dans la poitrine et dans le bras gauche, un essoufflement, des sueurs ou encore des nausées, ne se manifeste.
L'infarctus peut se manifester brutalement, comme un “coup de tonnerre”. Mais parfois, la sensation de gêne est présente depuis plusieurs jours et la typique douleur thoracique est absente.
Elles doivent s'alerter si elles ressentent de manière brutale ou intense les symptômes suivants : oppression thoracique, difficultés à respirer, palpitations, essoufflement à l'effort ou parfois au repos, grande fatigue persistante, troubles digestifs, nausées.
Cette forme de tendinopathie se caractérise par une douleur intense du bras. Elle s'accompagne souvent de sensations de chaleur, de rougeurs et parfois d'un gonflement sur la zone concernée. Aussi, l'articulation endolorie devient raide et des sensations de craquements des tendons peuvent être ressenties.
Partie du membre supérieur située entre le coude et le poignet. (P.N.A. antebrachium.) Le radius en dehors, le cubitus en dedans, réunis par le ligament interosseux, délimitent deux régions de l'avant-bras : la région antibrachiale antérieure et la région antibrachiale postérieure.
Il s'agit en général du bras gauche, celui-ci étant localisé du côté du cœur. On dit alors que la douleur est « projetée », son origine est effectivement thoracique mais elle sera perçue dans le bras ou même dans la mâchoire.
Quand faut-il s'inquiéter ? Comment évaluer ces douleurs ? Avant toute chose, en cas de doute, il faut appeler le 15. Pour ne pas passer à côté d'une douleur symptôme d'une maladie grave, il vaut mieux appeler le 15 plutôt que de rester à la maison et de perdre de précieuses minutes ou heures.
Les douleurs liées au stress sont multiples. Le stress provoque très souvent des douleurs musculaires et articulaires. Les maux de ventre sont aussi très fréquents. Le stress peut également entraîner des symptômes neurologiques ou, autrement dit, des maux de tête (migraines, céphalées de tension).
Si la douleur augmente, que le bras enfle ou que la situation ne s'améliore pas rapidement, consultez votre médecin. En cas de tendinite, la mise au repos est essentielle. Des anti-inflammatoires peuvent être prescrits pour soulager la douleur et l'inflammation.
Mais il s'agit en réalité d'une forme d'insuffisance cardiaque aigue. Le stress brutal déclenche une libération brutale de ces catécholamines, hormones du stress. Elles ont un effet paralysant sur le cœur, qui ne se contracte quasiment plus et n'arrive plus à envoyer le sang dans les artères de notre organisme.
une tension artérielle supérieure à 140 mm/Hg ; la présence d'un antécédent familial d'infarctus du myocarde ; un excès pondéral (IMC>25)
Le mal de bras peut avoir de nombreuses origines : musculaire, articulaire, tendineuse, nerveuse ou même être le symptôme d'une pathologie cardiaque plus grave.