Cette rue est connue pour ses prostituées dans des vitrines le long de la rue face à la gare du Nord. Avec bagarres entre bandes urbaines et mafias, trafic de cocaïne, vandalisme et délinquance, la rue d'Aerschot est connue comme l'une des plus épineuses de toute la Belgique.
La Villa Tinto accueille quelque 260 prostitué(e)s au centre d'Anvers. Ce concept unique en Belgique leur offre de meilleures conditions de travail. Il séduit aussi certains de nos politiciens wallons et bruxellois…
Ces femmes vivent dans des bordels, et près de la moitié d'entre elles exercent toujours le métier.
En moyenne, la passe "de base" tourne entre 60 et 100€.
Dès le 9 juin, la prostitution est à nouveau autorisée. Une bonne nouvelle pour les travailleuses du sexe qui n'exercent plus depuis huit mois. En situation de précarité extrême, les TDS n'attendent plus que le protocole.
Pour ouvrir une maison close, il est cependant nécessaire d'obtenir un permis et de respecter le règlement municipal. Avec cette légalisation, le pays espérait réussir à assainir l'industrie du sexe et permettre aux prostitué(e)s de gagner leur vie sans avoir à dépendre d'un proxénète.
Le principe consiste à inscrire les prostituées sur les registres policiers. On a d'ailleurs créé pour cela le département de la police des moeurs. Il existe deux situations : la « fille à numéro », qui travaille dans une maison close.
Construit sous l'empire britannique, Dautladia est l'un des plus grands bordels du monde. Près de 2 000 prostituées y vivent, la plupart sont de jeunes filles forcées de se prostituer.
Vidéo -- C'est depuis hier qu'un établissement pas comme les autres a ouvert ses portes à la Jonquera, à la frontière espagnole. Avec ses 80 chambres et ses 200 prostitués, « Le Paradise » risque bien de faire parler de lui et de s'imposer comme le plus grand bordel d'Europe.
La ville de Cologne a perdu une de ses institutions : Le Pascha, le plus grand et le plus célèbre bordel du pays. La crise du Covid est passée par là. Pandémie oblige, le Pascha, le plus grand bordel au monde, vient de déposer le bilan.
La loi du 13 avril 1946 tendant à la fermeture des maisons de tolérance et au renforcement de la lutte contre le proxénétisme, dite loi Marthe-Richard, abolit le régime de la prostitution réglementée en France depuis 1804. Elle impose la fermeture des maisons closes (« maisons de tolérance »).
Définition "tenancière de maison close"
C'est en 1890 aux États-Unis que red light (qui signifie en anglais « lumière rouge » ou « lanterne rouge »), est utilisé pour signifier une zone de commerce de la prostitution. Il dérive de la pratique qu'ont les maisons closes de s'annoncer en allumant une lanterne rouge sur le devant de la maison.
Étymologie. (Nom 1) Attesté, en ancien français, sous la forme maquerel. Le mot se rattacherait à la famille de maquer, mascher, macher (« frapper, contusionner », d'où « tacher »), le maquereau étant un animal tacheté → voir mascheure, « tache » en ancien français.
Le Club Paradise de la Jonquera, non loin de la frontière française, refroisse les draps de ses lits, avec port du masque obligatoire. Il y a plus d'une centaine de maisons closes dans la zone. Le gouvernement de Catalogne leur avait appliqué le même régime que les discothèques : fermeture forcée.
Le grand combat pour l'abolition a commencé. 13 avril 1946 : la loi dite Marthe Richard ferme les quelque 1 400 maisons closes françaises, dernier acte du combat de la conseillère municipale de Paris contre la réglementation de la prostitution, jugée périmée et immorale.
Le 13 avril 1946, la loi Marthe Richard abolissait une institution : le bordel. C'est la fin d'un système datant de 1804 qui donnait une existence légale aux maisons closes, cachant les prostituées pour préserver la morale, à l'ère de la bourgeoisie triomphante.
L'avis du Petit Futé sur GLAZEN STRAATJE - RED DISTRICT
Elle fait partie des premières rues couvertes du pays. Mais aujourd'hui, le verre que l'on remarque surtout est celui des vitrines derrières lesquelles de jeunes femmes dénudées s'exhibent : vous êtes dans le quartier rouge de la prostitution à Gand.
La rue de la Girafe, qui abrite une quarantaine de maisons closes, est dédiée à la prostitution, activité légale en Turquie. Mais le maire d'Istanbul, Kadir Topbas, a d'autres projets.
La Jonquera, 3 233 habitants, est connue pour ses hypermarchés, ses buralistes, ses restaurants avec buffet, ses norias de camions, son centre commercial, sans oublier ses clubs de prostitution. Un lieu bien particulier, comme toutes les villes-frontières.
Autre mesure phare de la loi, il sera désormais nécessaire d'avoir un permis pour ouvrir un bordel, et prouver que des conditions minimales de sécurité, d'hygiène et de santé sont respectées. Ainsi, il sera obligatoire qu'il y ait une salle de repos…et il ne pourra être demandé à la personne d'exercer là où elle dort.