La position gynécologique dite classique
La position la plus connue pour accoucher est ce que l'on appelle la position gynécologique. C'est à dire allongée sur le dos, les pieds dans les étriers. Il faut que le dos soit bien à plat. Le bassin est basculé, les genoux ramenés vers soi.
Pourquoi est-ce important ? Accoucher en position couchée sur le dos pourrait avoir été recommandé afin de faciliter le travail des sages-femmes et des obstétriciens lors du travail et de l'accouchement. Cependant, de nombreuses femmes indiquent que l'accouchement sur le dos est douloureux, inconfortable et difficile.
Accouchement par voie basse en maternité
L'accouchement par voie basse est l'accouchement naturel par excellence. Il se déroule généralement en 4 grandes étapes : La phase de début de dilatation du col dure en général entre 4 et 6 h. Pendant celle-ci, les contractions utérines sont modérées et irrégulières.
Allongée sur le côté, une jambe tendue et l'autre remontée à 45 degrés sur un coussin d'allaitement ou un coussin classique. En plus d'être relaxante, cette position permet d'accélérer le travail. On peut se mettre à droite, puis à gauche. L'objectif de cette position et de voir dans quel sens on se sent le mieux.
Les rapports sexuels permettent au corps de secréter de l'ocytocine. Cette hormone favorise la mise en route des contractions. Pour plus de confort avec votre gros ventre, essayez la position de la petite cuillère où vous êtes tous les deux couchés sur le côté, votre partenaire derrière vous.
Pour accoucher plus vite, il est donc conseillé de boire de la tisane de feuilles de framboisier, de manger des dattes, ou encore de l'ananas ou encore des fruits secs ou des pruneaux. Ces aliments sont riches en fibres et renforceront votre utérus et vos muscles pelviens pour faciliter l'accouchement.
Accouchement : une douleur éminemment variable
Dans certains cas, la tête du bébé est orientée de telle manière dans le bassin qu'elle provoque des douleurs lombaires plus difficiles à supporter que les douleurs ordinaires (c'est ce qu'on appelle accoucher par les reins).
La péridurale consiste à injecter un médicament anesthésique via un cathéter placé en bas de votre dos. Cette méthode pharmacologique est la plus fréquemment utilisée pour accoucher sans douleur.
Accoucher sur le dos
Mais cette position n'est pas nécessairement la plus naturelle ni celle qui comporte le plus d'avantages. En effet, lorsque vous êtes placée ainsi sur le dos, tout le poids de l'utérus repose sur les lombaires et le coccyx, ce qui peut donner des maux de dos plus intenses.
La position gynécologique est la meilleure pour accoucher
La pesanteur, l'appui du sacrum sur la table d'accouchement, la position "offerte", tout cela va à l'encontre de la descente correcte du bébé et diminue la force de poussée de la mère.
L'accouchement, aussi appelé parturition, se déroule en trois phases. La première est la phase de dilatation qui commence avec les contractions de l'utérus, modifiant le col jusqu'à la dilatation complète de celui-ci. Elle est suivie par l'expulsion du fœtus par le vagin. C'est la naissance du bébé.
Marcher dans la pièce, faire des mouvements dans le lit ou sur une chaise, ou le simple fait de changer de position favorise ce processus, car le poids du bébé exerce une pression sur le col. Se balancer doucement ou danser sur une musique apaisante serait également efficace pour certaines personnes.
Nos ancêtres vivaient en groupes actifs et dispersés pendant la journée, et se réunissaient pour se reposer la nuit. Ainsi, un accouchement et une naissance de nuit ont probablement procuré une certaine protection à la mère et au nouveau-né”, avance-t-il. L'étude a été publiée ce 14 juin dans la revue PLOS One.
On parle d'ailleurs de "faux travail" pour qualifier des contractions douloureuses, et parfois régulières, qui n'ont aucun effet sur le travail d'accouchement ni sur le col de l'utérus. Cette expression n'est employée qu'après 37 semaines d'aménorrhée (9e mois de grossesse).
En cause : le risque d'inhalation bronchique. Ce phénomène peut se produire sous anesthésie générale (dans le cas d'un recours à une césarienne) et correspond au passage d'aliments de l'estomac vers les poumons, via l'œsophage. La conséquence est une asphyxie, pouvant s'avérer fatale.
Les contractions sont un signe que le travail est commencé et que vous allez bientôt accoucher. Par contre, il peut s'agir de contractions associées au « faux travail », appelées contractions de Braxton-Hicks. Les vraies contractions sont régulières et s'intensifient au fur et à mesure que le travail avance.
Cela remonterait à notre vie ancestrale, à l'époque où l'Homme était encore nomade, et serait lié à l'instinct de survie. En effet, la nuit était le moment où les femmes pouvaient accoucher à l'abri des prédateurs et des dangers. Elles pouvaient alors reprendre la route dès le matin et veiller sur le nouveau-né.
Le National Health Service, le système de santé publique britannique, a listé les pathologies les plus douloureuses pour le corps humain. La migraine, la sciatique, l'appendicite, la fracture osseuse ou encore l'attaque cardiaque: autant de pathologique provoquant des douleurs insupportables.
Avoir un fou rire!
Tout comme les massages, rire stimule la production d'ocytocine. Invitez des copines pour une “soirée papote”, allez voir un spectacle, demandez à vos aînés de vous faire des blagues… Tout est permis, et sans modération!
Lorsqu'un bébé est prêt à naître, l'initiation de l'accouchement se fait grâce à l'interaction entre certains facteurs de la mère et du fœtus. On croit même que le génome du bébé contrôle en partie le déclenchement du travail.
À 8 ou 9 cm, les contractions sont souvent très douloureuses. Elles sont à leur plus haute intensité juste avant la dilatation complète de 10 cm. On compare souvent cette période à une tempête. Il se peut que vous viviez beaucoup d'émotions fortes, ou encore que vous ayez besoin de faire des sons ou de crier.