En effet, l'achat permet une satisfaction du besoin et détend notre corps, lui permettant ainsi de quitter un état de stress désagréable et inconfortable s'il dure trop longtemps.
La bonne raison : c'est de satisfaire un besoin. La deuxième raison qui incite les gens à acheter n'est pas la mauvaise raison, c'est la VRAIE raison. Celle-ci est toujours émotionnelle et elle concerne toujours ce que les gens veulent, ce qu'ils désirent.
Elles sont tout aussi importantes à prendre en considération, car elles guident l'achat. Ces motivations sont de trois ordres : hédonistes, oblatives et d'auto-expression.
Une motivation d'achat est une raison poussant le consommateur à réaliser son acte d'achat. On distingue, entre autres, les motivations oblatives, les motivations hédonistes et les motivations SONCAS.
Selon ces études, près de 90 à 95 % des décisions sont prises dans le magasin et sont déterminées par nos impulsions, nos émotions ou nos habitudes. En résumé, nous achetons ce que nous connaissons. Seul un très faible pourcentage de nos achats est réellement basé sur une décision cognitive.
Nous consommons donc par obligation, par exploitation de nos passions, mais aussi parce que cela nous fait du bien, même si ce que nous achetons peut être néfaste pour notre développement, puisque se sentir bien équivaut à toucher le bonheur, et le bonheur dans la vie est un besoin essentiel.
La relation entre consommation et bonheur semble un peu moins forte qu'entre revenu et bonheur, en Europe tout du moins. Les personnes qui consomment peu sont davantage satisfaites de leur vie que les personnes qui gagnent peu. Cela tient pour une part à ce que certaines parmi elles ont choisi un mode de vie frugal.
Motivations diverses
Notre étude, récemment publiée dans le Journal of Business Research, révèle que trois types de motivations assez différentes poussent les gens à consommer des produits, services ou expériences à connotations culturelles. Nous avons qualifié les premières motivations de motivations intégratives.
Le bonheur, en philosophie, peut se définir comme l'état de complète satisfaction. Dans la philosophie antique (Epicure a écrit le premier traité du bonheur : La lettre à Ménécée), le but de la vie humaine est le bonheur, fin parfaite et Souverain Bien (summum bonum).
2 – S'épanouir personnellement est une source du bonheur
L'épanouissement personnel est un ingrédient essentiel au bonheur. Cela demande aussi du courage. Puisque contrairement à ce que la société tendrait à nous faire croire, il n'est pas nécessairement lié à la réussite professionnelle.
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
Comme une réponse à ce nœud gordien, le minimalisme, mode de vie qui consiste à se satisfaire de l'essentiel, est revendiqué par de plus en plus de consommateurs. Et les deux mois de confinement imposés par l'épidémie du coronavirus au printemps dernier semblent avoir accéléré cette tendance.
L'achat responsable de l'entreprise est fortement valorisable auprès des consommateurs. L'approvisionnement en produits éco-conçus permet également de bénéficier de produits de meilleure qualité et dont la durée de vie est supérieure. Il représente à terme une source d'économies pour l'entreprise.
L'oniomanie ou trouble lié à l'achat compulsif, ou familièrement fièvre acheteuse, est la manie compulsive des achats, généralement peu ou pas nécessaires à l'individu. Cette manie a été découverte en Allemagne à la fin du XIX e siècle par Emil Kraepelin.
Introduction. Les marques de luxe ont une forte valeur ostentatoire, identitaire, distinctive, affective et utilitaire pour les consommateurs (Vigneron, 2014). En effet, elles coûtent le plus cher, s'adressent aux personnes qui ont le plus de revenus et permettent de montrer la richesse de leur propriétaire.
leurs tenues vestimentaires, notamment les marques qu'ils affichent, sont généralement l'objet de désir de leurs idoles et plus largement d'une certaine partie de la population. Ces marques deviennent même souvent un véritable vecteur d'existence sociale.
Consommer pour consommer ne rend pas heureux
Dans son livre The Price of materialism, Tim Kasser, professeur de psychologie démontre qu'une fois nos besoins de base couverts (manger, boire, se protéger du froid ou de la chaleur), tout ce que l'on consomme en plus, n'apporte pas un surplus de bonheur.
La consommation d'une voiture se mesure en litre pour 100 kilomètres (L/100 km). Elle détermine l'autonomie du véhicule mais aussi son impact environnemental. En France, la consommation moyenne des voitures, essence et Diesel confondus, est de plus de 6 L/100 km.
Les fruits et légumes restent les produits biologiques les plus consommés, suivis de près par les produits laitiers et les œufs.
Consommer intelligemment, ça signifie quoi exactement? Lorsqu'il s'agit de prendre conscience de ses propres actions et d'en arriver à changer ses habitudes, le chemin à parcourir peut être long, très long même. Mais, comme le dit le dicton, « rien ne sert de courir, il faut partir à point ».
Reprendre la main sur ses consommations, c'est dépenser utile, en privilégiant la qualité à la quantité. Et c'est aussi une manière d'encourager les producteurs à éco-concevoir leurs produits, pour limiter les impacts sur tous leurs cycles de vie.
Vivre heureux, vivre dans le bonheur signifie que l'on vit en état de pleine satisfaction. On se sent bien, on se sent libre, on se sent joyeux, on ressent un plaisir et bien-être inexplicable et on arbore durant toute la journée un sourire indécollable de notre visage !
Le sentiment de satisfaction tient à peu de choses – et vous le savez. Selon certaines études, montrer de la gratitude est un élément clé pour être heureux dans la vie, et si vous êtes reconnaissant de ces petites choses qui vous font sourire, c'est encore un bon signe que vous êtes sur la bonne voie.