"-San" est à utiliser avec quelqu'un que l'on respecte et avec qui on n'est pas spécialement proche, par exemple : un collègue ou un patron, des clients, quelqu'un que vous connaissez peu. C'est en quelque sorte le suffixe honorifique par défaut, qui laisse peu de chance à l'erreur (mais attention quand même).
-San est le suffixe personnel le plus basique en japonais, et c'est aussi le moins risqué à utiliser pour ceux qui apprennent le japonais. On l'emploie habituellement avec le nom de famille plutôt que le prénom, par exemple : Yamada-san.
Il s'agit d'un terme neutre, que l'on pourrait presque traduire par « Monsieur / Madame« . San est également utilisé avec les noms de sociétés ou de commerces, comme par exemple une pâtisserie (パン屋さん, pan-ya-san).
En informatique, un réseau de stockage, ou SAN (de l'anglais Storage Area Network), est un réseau spécialisé permettant de mutualiser des ressources de stockage.
Kun (君) : On utilise généralement ce suffixe pour parler à un garçon plus jeune ou du même âge que nous-même.
ちゃん : le suffixe chan
ちゃん est un suffixe familier, très courant, utilisé par les adultes quand ils s'adressent aux enfants (surtout aux filles), par les filles entre elles, ou par les garçons envers des filles plus jeunes ou de même âge, avec une nuance affectueuse.
Saikeirei est le plus formel de ces trois saluts et est utilisé avec un ton plus sérieux. Généralement utilisé pour témoigner du respect à une personne de très haut statut, comme l'empereur, ou pour montrer un fort sentiment de culpabilité ou s'excuser.
Dans la culture japonaise, le senpai (先輩, parfois transcrit sempai) est l'élève avancé et le kōhai (後輩, parfois transcrit kouhai) est le jeune élève.
Pour marquer un respect envers son ainé qu'il soit un camarade de classe, de sport ou de travail. Quand utiliser le suffixe senpai ? Après le nom de votre ainé, par exemple M. Tanaka, deviendra Tanaka Senpai.
Bien que “kun” implique une sorte de “tension” parce que c'est pour les garçons – comme “dono”, “Chan” est beaucoup plus tendre, plus intime, et a un petit sentiment “drôle” qui s'y rattache. Donc, des amis très proches utilisent “Chan” pour s'appeler même s'ils sont des garçons.
En raison de l'évolution sociale à travers les années de la communauté des passionnés de culture nippone, la majorité d'entre eux se considèrent désormais comme des otaku en définissant ce terme par toute personne passionnée uniquement de japanimation, de mangas ou du Japon sans les connotations d'isolation sociale.
Si vous parlez de votre aîné, employez le mot ani (兄、あに). Pour un petit frère, ce sera otôto (弟、おとうと).
"-San" s'utilise en priorité avec les noms de famille, mais peut s'accoler à un prénom s'il s'agit par exemple d'un de vos étudiants ou quelqu'un de nouveau dans votre cercle social. "San" est également utilisé pour nommer les montagnes et volcans ?, par exemple le Fuji-san ?.
Et c'est à ce moment là de la journée qu'apparaît le mondialement connu « Konnichiwa » (こんにちは) pour dire bonjour en japonais. En Kanji, il s'écrira 今日は. Il n'y a pas de formule raccourcit pour cette expression.
お誕生日おめでとう [OTANJÔBI OMEDETÔ] Joyeux anniversaire ! OTANJÔBI est une expression polie avec TANJÔBI, (anniversaire), précédé du terme honorifique, O. Si l'on souhaite être encore plus poli on peut dire OMEDETÔ, et ajouter GOZAIMASU après.
Ce terme qualifie les otaku filles (ou otakettes). À l'origine, il désignait les lectrices de Boy's love, manga ayant pour sujet une relation amoureuse entre deux hommes, et qui destiné un public féminin. Le sens du mot a ensuite glissé vers une acceptation péjorative.
(Argot) (Péjoratif) Un non-Japonais qui se comporte d'une manière stéréotypiquement japonaise ou cherche à paraître comme tel, kikoojap.
On reconnaît généralement un weeb à son incapacité à parler pendant plus de cinq minutes de tout ce qui n'est pas lié aux anime ou aux jeux vidéo.
Dans les arts martiaux, le professeur, le maître.
Dans les arts martiaux japonais, le terme « sensei » s'utilise à propos d'une personne qui a obtenu un titre d'enseignant.
Maître Kasé : le sensei du karaté
Dans les arts martiaux comme le karaté, le rang est strictement respecté par la récompense de ceintures de différentes couleurs qui indiquent immédiatement aux pratiquants qui leur est supérieur ou junior. Naturellement, les instructeurs seniors s'attendront généralement à être appelés sensei.