Son nom se compose de deux parties : le « baba » est un gâteau d'origine polonaise, proche du kouglof, sur lequel on a rajouté du rhum, ce qui a donné le baba au rhum.
On doit ce monument de la pâtisserie à un grand chef, Nicolas Stohrer, qui en imagina la recette au début du 18e siècle pour soulager les dents abîmées d'un vieil homme.
Le baba au rhum est constitué d'un savarin, un gâteau moelleux, imbibé de sirop vanillé, avec de la crème chantilly, et arrosé de rhum.
Ce sont les “monsù”, les chefs qui servaient la noblesse napolitaine, qui ont apporté les babas au rhum en Italie. La ville de Naples s'est rapproprié ce dessert et en 1836, la recette du baba au rhum apparait pour la première fois dans un manuel de cuisine italienne comme un dessert typiquement napolitain.
Il devrait son origine au fruit du hasard : au XVIII° siècle, le roi Stanislas de Pologne trouva que son gâteau était trop sec. Il décida donc de l'arroser de vin de Malaga pour le rendre plus moelleux. C'est à Paris qu'un pâtissier, Nicolas Stohrer eu l'idée de remplacer la liqueur par du rhum.
La recette classique du baba au rhum est donc une pâte levée aux raisins secs, imbibée d'un sirop de rhum, cuite dans un moule à kouglof. Le savarin aurait été inventé par le pâtissier Julien, tout simplement en supprimant les raisins secs et en faisant cuire le gâteau dans un moule à savarin.
La dariole est le moule à gâteau utilisé pour les fameux babas au rhum format individuel. La dariole est un petit moule à gâteau individuel relativement haut, à peine évasé qui va vous permettre de réaliser de délicieuses recettes sucrées mais aussi salées.
Le nom de cette pâtisserie provient du montage : trois étages et un nombre élevé de feuillets de pâte entre chaque couche de crème. Contrairement à ce que le nom laisse penser, il n'y en a pas mille mais 729 très précisément.
Le terme apparaît pour la première fois dans le dictionnaire Larousse en 1904. Selon la légende, elle a été nommée ainsi car la couleur de son glaçage rappelait celle de la robe des religieuses.
Inspirée à la base d'un dessert bordelais, Chiboust donne à sa création le nom de Saint Honoré. Il s'agit à la base du nom de la rue sur laquelle la pâtisserie est installée. Mais on ne peut pas ignorer le fait que Saint Honoré soit aussi le saint patron des boulangers, huitième évêque d'Amiens.
La pâte est faite sans beurre, ce qui permet une plus longue conservation : ce gâteau imbibé de son sirop et couvert se conserve pendant au moins une semaine au frais.
Vous pourrez aisément trouver votre bonheur entre les spécialités de la Campanie comme la pizza fritta, farcie avec de la mozza, de la ricotta, des tomates et des lardons, la pizza friarielli (oseille et saucisses), pour les solides appétits, celle aux légumes grillés du jardin ou celle roquette-bocconcini di ...
Né au 17e siècle, à la Barbade, le Rhum est une eau-de-vie à base de canne à sucre. Il était destiné aux esclaves et aux marins, et servait parfois aux pirates chargés de recruter des soldats dans la Marine britannique !
Saint Honoré : Patron des boulangers, des pâtissiers.
Le saint patron des boulangers est Saint Honoré, qui se fête le 16 mai.
Saint Honoré, le saint patron des boulangers
Durant le mois de mai, tous les boulangers lui rendent hommage à travers la fête du pain en France. La légende raconte que Saint Honoré était un évêque du 6e siècle et qu'il avait annoncé à sa nourrice son envie de devenir prête dès sa tendre enfance.
Une religieuse, moniale ou nonne, appelée aussi « sœur » ou encore familièrement « bonne sœur » lorsqu'elle travaille dans la santé ou l'assistance, est une femme membre d'une communauté religieuse féminine, devant généralement obéir aux vœux de pauvreté, chasteté et obéissance.
Les origines de la pâtisserie
La pâtisserie remonte à plus de 7 000 ans et c'est chez les Grecs que l'on retrouve le premier gâteau préparé. Ce gâteau s'appelant « obélias » signifie « offrande », une pâtisserie qui sert à faire des offrandes aux dieux grecs.
La religieuse est ainsi nommée, car la couleur des choux faisait penser à la robe des religieuses des couvents. C'est le Signor Frascati, glacier d'origine napolitaine, qui propose à la clientèle de son café parisien en 1856, cette gourmandise sucrée.
Et pourquoi donc s'appelle-t-il éclair cette pâtisserie qui apparait à Lyon en 1850? Deux explications. D'abord, parce qu'il est tellement bon qu'il se dévore « en un éclair », et ensuite, parce que son glaçage luisant brille comme l'éclair. Ironiquement, son inventeur est le grand pâtissier Antonin Carême (1783-1833).
Comme beaucoup d'autres pâtisseries à base d'amande, le macaron puise ses origines au Moyen-Orient où l'on estime qu'il était consommé au Moyen-Âge avant d'être découvert par les premiers navigateurs européens.