Empr. à l'angl. mess «(dans l'armée ou la marine) groupe de militaires prenant ensemble leur repas» (1536 ds NED), déjà att. ca 1420 au sens de «groupe de personnes mangeant ensemble», lui-même empr.
Le mess désignait au XIII e siècle un plat cuisiné ou liquide (comme la bouillie ou la soupe), puis au XV e siècle un groupe de personnes mangeant ensemble. Au Luxembourg, on utilise le terme de mess à la place de cantine (d'entreprise, par exemple).
Les aspirants sont ainsi appelés mon lieutenant (dans les armées de terre et de l'air et la Gendarmerie) ou lieutenant (dans la Marine).
Un mess est une cantine, un restaurant militaire pour officiers et sous-officiers. Par métonymie, le mess est l'ensemble des officiers qui y mangent, le service chargé du fonctionnement de ce restaurant, et le personnel et matériel qui y sont affectés.
Faire du Trou : faire de la prison pendant son temps d'armée.
Tout militaire faisant l'objet d'une demande de punition doit obligatoirement être reçu par l'autorité militaire de premier niveau dont il relève, afin de pouvoir s'expliquer oralement sur les faits qui lui sont reprochés.
Dès le 16e siècle, camarade signifie «chambrée de soldats». Une origine militaire renvoyant à l'idée de partage du lieu de couchage. Par extension, le camarade devient l'expression d'une solidarité au quotidien, dans une vie commune sous-tendue par l'esprit de cohésion, en régiment comme en opération.
La syntaxe du langage militaire est aussi sommaire que rigoureuse : il faut s'exprimer par des phrases les plus courtes possibles, avec le minimum de fioritures : sujet + verbe + COD au maximum ; il est même conseillé d'omettre le verbe.
( XVI e siècle) Dérivé de jus , avec le suffixe -eux avec \t\ épenthétique . Le sens de « adjudant » provient de l'argot militaire où premier jus, deuxième jus signifie « soldat de 1 re, de 2 e classe ».
ancien combattant (n.m.) 1. personne qui a servi dans les forces armées.
Les militaires britanniques et allemands mieux payés
Et pas qu'un peu : 11,1 milliards d'euros, contre 9,3 milliards d'euros.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
(Argot) Militaire.
Le mess des officiers de marine s'appelle « carré des officiers » (Wardroom), terme utilisé dans la Royal Navy depuis plus de deux cents ans. Ce terme a une curieuse origine. Dans un voilier de guerre, la grande cabine, c'est-à-dire les quartiers du capitaine, se trouvait sous le gaillard d'arrière.
Militaire. L'ordinaire est la nourriture servie à la troupe et le nom de la cantine pour les militaires du rang dans une caserne.
juteux, juteuse
Se dit d'un fruit, d'une viande qui rend beaucoup de jus. 2. Populaire. Se dit d'une affaire qui rapporte beaucoup.
effectifs. Il vient de l'abréviation du mot passenger, passager en anglais. « 250 pax » signifie ainsi 250 personnes.
(Militaire) Nom donné au retour d'opération anticipé d'un militaire à la suite d'une faute grave qu'il a causé.
Depuis le début du XXe siècle, le terme « objection de conscience » a surtout été appliqué au cas du refus de prendre part aux activités militaires. De tels objecteurs sont généralement considérés comme des pacifistes ou des antimilitaristes.
Les hommes, qui sont passés ou sont destinés à passer par l'armée, observent le plus souvent l'usage militaire et disent " Mon commandant ", " Mon colonel ", etc. Cependant, les civils qui occupent une haute situation sociale ou ne sont plus d'âge militaire peuvent supprimer le " Mon ".
Une légende prétend qu'après la défaite de Trafalgar, Napoléon, qui tenait pour responsables les officiers de la « Royale », décida qu'on ne leur dirait plus « mon » devant leur appellation de grade, « mon » étant le diminutif de « monsieur » ; il les aurait ainsi punis en leur retirant cet honneur.
La déduction d'impôts quand on est réserviste
Ils viennent en renfort aux armées et effectuent les mêmes missions que les militaires actifs. Peu importe votre grade et votre échelon, vos revenus issus d'un poste militaire ne sont pas imposables.
L'autorité militaire de premier niveau entend l'intéressé, vérifie l'exactitude des faits, et, si elle décide d'infliger une sanction disciplinaire du premier groupe, arrête le motif correspondant à la faute ou au manquement et prononce la sanction dans les limites de son pouvoir disciplinaire.