Les irritations après un rapport sont généralement bénignes et sont souvent dues à une sécheresse vaginale, mais peuvent parfois être le signe d'une vaginite (inflammation causée par la présence d'une bactérie ou d'un champignon), d'une IST ou d'une intolérance à un produit chimique (lubrifiant, préservatif, spermicide ...
La dyspareunie peut se manifester de différentes manières. Le plus souvent les symptômes sont des sensations de brûlures, de coupures, de démangeaisons ou encore de contractions spasmodiques. Ces symptômes peuvent s'étendre sur une région très localisée de la zone intime ou de façon très diffuse.
Appliquer de l'huile de coco localement, sur un ou deux jours, pour hydrater et calmer l'inflammation. En cas de douleur liée à une brûlure légère : vaporiser un spray d'eau florale de Camomille noble (ou Romaine) sur la zone concernée, 4 à 6 fois par jour. Espacer dès amélioration.
Dyspareunie : désigne les douleurs ressenties pendant et après les rapports sexuels. Dans le cadre d'une endométriose, on parle souvent de dyspareunie profonde (douleur ressentie au niveau du bas ventre, lors de rapports sexuels avec pénétration, suite au contact entre la verge et le fond du vagin).
La réaction de la peau se produit parce que la femme est allergique aux protéines présentes dans le sperme, plus précisément aux glycoprotéines de la prostate.
Un sperme de couleur très transparente peut indiquer une faible concentration de spermatozoïdes et/ou une consistance plus aqueuse ou liquide. Au contraire, une couleur blanche intense peut indiquer une plus grande concentration de spermatozoïdes.
"Le plus important c'est de ne pas négliger les préliminaires et d'appréhender ce moment avec douceur. Les partenaires doivent privilégier le dialogue. Lors de ce premier rapport sexuel, il peut être nécessaire d'utiliser des lubrifiants pour faciliter la pénétration.
Traitement. Le traitement dépendra de la cause : En cas de mycose, elle sera traitée par l'application d'ovules et d'une crème antifongique. En cas d'irritations, il sera recommandé de limiter au maximum les facteurs irritants (vêtement trop serré, hygiène trop rigoureuse, bannir l'épilation complète…).
Chez l'homme, le champignon atteint généralement le bout du pénis (gland). La mycose génitale peut alors débuter par les symptômes suivants: démangeaisons du gland, gland douloureux et inflammé, prépuce gonflé et démangeaisons ou sensation de brûlure à la miction ou lors des rapports sexuels.
La toilette intime se fait avec les mains. - Appliquer un gel douche classique. Une crème de douche même pour peaux sensibles n'est pas adaptée à la vulve de la femme. Trop agressive, elle risque de ne pas respecter l'équilibre fragile de la flore.
Le symptôme principal est le saignement en dehors des règles, en particulier après les rapports sexuels. D'autres symptômes peuvent également apparaître, comme les douleurs pendent les rapports, les douleurs au ventre ou des symptômes urinaires si la maladie est avancée et touche la vessie.
Dans la grande majorité des cas (95 %), le cancer de la vulve est lié à une infection par un Papillomavirus oncogène (il existe plusieurs types d'HPV). Ce dernier est le plus souvent contracté chez la femme au moment de son activité génitale débutante, d'où l'intérêt de la vaccination chez les adolescentes.
Deux outils permettent de se protéger du cancer du col de l'utérus : la vaccination contre le papillomavirus et le dépistage par frottis cervico-vaginal. Un suivi gynécologique régulier assorti d'un frottis permet de détecter précocement les lésions du col utérin.
Les signes et symptômes du cancer du col de l'utérus comprennent ceux-ci : saignements vaginaux anormaux, entre autres entre les menstruations, après la ménopause et à la suite de relations sexuelles. pertes vaginales anormales ou plus abondantes. pertes vaginales malodorantes.
des règles plus abondantes ou plus longues qu'à l'accoutumée ; des pertes vaginales nauséabondes ; des douleurs du vagin (en particulier pendant les rapports sexuels), du bassin ou du bas du dos.
Le cancer du col de l'utérus est principalement dû à une infection persistante, d'une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle.
La survie nette après 5 ans pour les autres cancers des organes génitaux de la femme est de 59 %, ce qui signifie qu'environ 59 % des femmes ayant reçu un diagnostic d'autre cancer des organes génitaux survivront au moins 5 ans.
La survie à 5 ans d'un cancer de la cavité buccale de stade 1 est de 70%, la survie à 5 ans d'un cancer de stade 4 de 25%".
Avoir une boule dans le vagin est normal, puisqu'au fond du vagin, il y a normalement une boule qui est tout simplement le col de l'utérus. C'est sa place normale. Il arrive que cet utérus descende et que le col de l'utérus ne se trouve plus tout au fond du vagin, mais tombe plus ou moins.
Les pertes blanches, également appelées leucorrhées, sont des sécrétions vaginales non sanglantes physiologiques chez la femme. En clair, il s'agit d'un mélange de fluides (souvent de couleur blanche) qui s'écoule ponctuellement de votre vagin. Leur apparition est tout à fait naturelle.