Les routes sont faites de goudron noir. Avant, un matelas de petits cailloux, de la couleur de la pierre régionale – rose chez nous – y était ajouté. Pour des raisons financières, on a éliminé les cailloux des constructions.
La Roads and Transport Autorities (RTA) réalise actuellement une expérimentation visant à peindre en rouge certains axes routiers afin de sensibiliser les automobilistes aux nouvelles limitations de vitesses.
Ce type de formulation est particulièrement usité pour les autoroutes afin d'éviter la formation de "flaques" pouvant générer des effets d'aquaplaning.
Sa couleur rouge vient de sa composition et de l'ajout d'oxyde de fer ou de porphyre (ce type de produit le rend encore plus rouge). Coulé à chaud sur une route ou dans un aménagement (cour, allée, parking ou terrasse), l'enrobé bitumeux apporte une couche de protection ainsi qu'une imperméabilité.
On désigne ce phénomène sous le nom de ressuage. Quand les degrés montent, des plaques noires peuvent recouvrir la chaussée : le liant, qui compose la route, remonte à la surface. Des zones de moindre adhérence apparaissent alors, mettant à mal la sécurité des usagers de la route, en particulier pour les deux-roues.
Concrètement, ce mélange d'eau et de chaux vive blanchit la route et évite ainsi sa montée en température. En constituant une interface entre le bitume et les pneus, les risques de glisser des usagers et d'arracher l'enrobé de la route sont moins importants.
Si vous ne pouvez pas utiliser les trottoirs et les accote- ments, vous pouvez marcher sur la chaussée en circulant près de ses bords (articles R. 412-35 et R. 412-36).
Dans ma région, jusqu'aux années 70-80, les routes de campagne étaient roses. Les nuits d'hiver, sous la pluie, ces routes reflétaient une certaine luminosité. Elles n'inspiraient pas de peur ni d'angoisse. Il y a une dimension esthétique qui apaise.
En 1902, un ancien médecin colonial suisse testait la première chaussée goudronnée sur une corniche de Monte-Carlo. Au nom du combat contre la poussière, il allait accompagner la révolution de l'automobile.
Issu du pétrole, le bitume ne doit pas être confondu avec le goudron, qui est quant à lui issu du charbon. Le bitume est un mélange d'hydrocarbures issus de la distillation du pétrole.
La route à 3 voies est apparue sur le réseau routier français vers les années 60. Elle était mise en place afin de gérer la fluidité du trafic et d'offrir par la même occasion de nouvelles possibilités aux conducteurs.
Dû aux conditions météorologiques, au vieillissement des routes et à la circulation routière, des fissures peuvent apparaître sur la chaussée. Sans traitement, la chaussée se détériore, et les accidents se multiplient. D'où le besoin de recouvrir ces brèches, grâce au pontage de fissures.
Comment contourner les péages grâce aux applications GPS comme Google Maps ? Vous pouvez choisir d'emprunter des voies sans péage. Sur Google Maps, après avoir obtenu un itinéraire, vous pouvez cliquer sur le bouton « Options d'itinéraire » puis cocher pour les éviter « Autoroutes » et « Sections à péage ».
Le liant bitumineux, utilisé pour les "couches de roulement" est un dérivé du pétrole, il est donc généralement noir. Toutefois, l'ajout de pigments minéraux (le plus souvent des oxydes métalliques) permet d'obtenir d'autres teintes (rouge, brun, bleu...).
L'effet pailleté de l'enrobé est permanent, le jour grâce à la lumière du soleil et la nuit grâce aux éclairages publics et aux phares des voitures. Bien évidemment, la perception des paillettes dépend de l'angle d'incidence et elle est optimale pour une observation en dynamique.
McAdam. Les premières routes modernes furent construites par l'ingénieur écossais John Loudon McAdam (1756-1836). Il a développé un matériau peu coûteux constitué de terre et de graviers agglomérés, connu sous le nom de macadam.
Goudron, bitume, asphalte, macadam… dans le langage courant, ces différents termes sont bien souvent utilisés pour désigner une seule et unique chose : le revêtement de nos routes ou allées.
Routes bitumées
Constitué de carbone et de pétrole, c'est un revêtement particulièrement résistant. Egalement appelé asphalte, c'est en fait un matériau unique, très visqueux et adhésif. Il existe différentes sortes de bitumes. Ils doivent répondre à la norme NFT 65-002 pour être utilisés sur la chaussée.
L'asphalte, également appelé béton bitumineux, est un mélange de gravillons, de sable, de fillers et d'un dérivé du pétrole : le brai. Ce revêtement de route peut être posé à chaud comme à froid.
Les agrégats et le sable liés par le bitume ainsi oxydé commencent alors à s'effriter et les fissures apparaissent. En s'agrandissant, elles deviennent susceptibles de laisser l'eau pénétrer sous la surface. L'asphalte devient gris lorsque le bitume dans l'asphalte est oxydé.
Le bitume est un matériau présent naturellement dans l'environnement ou pouvant être fabriqué industriellement après distillation de certains pétroles bruts. Il est composé d'un mélange d'hydrocarbures, peut se trouver à l'état liquide ou solide, et a une couleur brunâtre à noirâtre.
Il est très rare qu'une voiture dévie en traversant toute la voirie pour atterrir à gauche. Mais un piéton qui marche à droite, surtout sans éclairage, se met en danger face à une voiture qui souvent la nuit, roule plus vite car la circulation est moins dense !
Le trottoir est l'emplacement en ville normalement réservé aux piétons qui jouxte la chaussée, qui, elle, est réservée à la circulation. Le trottoir est généralement séparé de cette chaussée par une bordure dite de trottoir qui le suréleve d'environ 14 cm.
Le piéton est l'usager le plus protégé par le code de la route : il a, quoiqu'il arrive, toujours la priorité sur la chaussée. Ne pas céder le passage à un piéton est une infraction entraînant la perte de 6 points sur le permis de conduire ainsi qu'une amende de 135 euros.