La Bible présente la cité comme un lieu de débauche, « la mère des prostituées et des abominations de la terre ». La musique (Nabucco de Verdi, le reggae, le rap…) a contribué à colporter cette mauvaise réputation.
L'inscription d'Assarhaddon décrit la destruction de Babylone par les eaux. Or, dans la mythologie mésopotamienne comme dans le récit biblique, le motif du déluge est l'outil par excellence de la punition divine contre des hommes qui avaient provoqué le courroux divin. La ville [Babylone] fut prise et pillée.
Babylone, pour les rastas, symbolise un système oppressif et corrupteur, contrairement à Sion, havre de spiritualité. Cette notion évoque une consommation excessive, la censure spirituelle et l'oppression sociale, antithèses des valeurs rastafaris de liberté, harmonie et spiritualité.
Dans le cas de Bob Marley et du reggae, c'est une claire allusion à la religion Rastafari, elle-même dérivée des Chrétiens d'Ethiopie. Dans ce cas cela réfère à l'épisode de la Bible de la captivité des Hébreux (Que l'Ethiopie assimile aux Chrétiens) à Babylone.
Quand le roi des Perses Cyrus II attaque Babylone en 539 av. J. -C. par une offensive surprise contre la porte d'Enlil au nord-ouest de la ville, la lutte tourne court et la cité et l'empire tout entier tombent entre ses mains, manifestement sans grande effusion de violences.
Le mythe de la tour de Babel, réflexion biblique sur la vanité humaine, est basé sur des faits historiques. Cette histoire de la genèse de l'ancien testament témoigne de l'orgueil des babyloniens qui, en voulant atteindre les cieux, semèrent le chaos sur la terre.
Dans le Nouveau Testament, la ville était devenue un symbole d'importance : elle était la corruption faite cité, corollaire de Nouvelle Jérusalem, pure et divine. Au-delà de la tradition biblique, Babylone a intrigué les écrivains grecs et romains, qui l'ont affublée d'intrigues et de légendes en tous genres.
Babylone, qui signifie en akkadien la « Porte des Dieux », est connue depuis le IIIe millénaire.
Forme argotique
Babylone est un nom donné par les jeunes Antillais aux personnels des forces de l'ordre (gendarmes ou policiers) et plus généralement à l'État. Également repris par les jeunes Réunionnais, ainsi que par les métropolitains pour les mêmes raisons.
Leonard Percival Howell fut le fondateur du culte rastafarien qui inspira Bob Marley et le reggae. Le leader jamaïcain aurait 100 ans.
J. -C., Babylone présente la particularité d'être à la fois la capitale religieuse et politique de la Babylonie. Située dans l'Irak actuel, à environ 90 km de Bagdad, la Babylonie correspond à l'ensemble géographique appelé « Basse-Mésopotamie », soit la plaine alluviale établie entre Bagdad et le golfe Persique.
Le mouvement rastafari (ou « rasta ») est un mouvement social, culturel et spirituel qui s'est développé à partir de la Jamaïque dans les années 1930. Un Rastafari, en Jamaïque. L'ancien drapeau de l'Éthiopie, utilisé à l'époque de l'Empire, est un des symboles du mouvement rastafari.
En 1940, Leonard Percival Howell crée le Pinnacle, vaste domaine en Jamaïque qui accueille des milliers de descendants d'esclaves africains. Ce lieu donne naissance au mouvement rasta, mode de vie et philosophie dont le reggae est le messager.
En 539 av. J. -C., Cyrus II de Perse s'empare de Babylone et, par là, de tout son empire. Sur la longue durée, le règne de Nabuchodonosor participe donc au renforcement et à la stabilisation des empires de plus en plus vastes qui dominent le Moyen-Orient à partir du Ier millénaire av.
À l'image des troupes américaines rentrant en 2003 dans Bagdad, le 12 octobre 539, Babylone tombe aux mains des perses de Cyrus, elle ne s'en relèvera jamais et avec elle prend fin la période néo-babylonienne.
Cette dernière phase de l'histoire du royaume de Babylone fut brève, s'achevant en 539 av. J.-C. par sa conquête par le roi perse Cyrus II. Dès lors, Babylone ne fut plus dominée par une dynastie d'origine autochtone : aux Perses Achéménides (539- 331 av.
Babylone au troisième millénaire av. J. -C.
IV - Pourquoi Ziak cache son visage derrière un bandana noir ? Le rappeur / Drilleur Ziak cache son visage principalement pour préserver son anonymat, mais également pour créer le mystère autour de son personnage. C'est ainsi très vite devenu son image de marque.
Le titre s'inspire sans doute du récit sulfureux de Kenneth Anger, Hollywood Babylone (1959), portrait d'une capitale du péché se régénérant à coups de scandales sexuels et d'ambitions dévorantes qui se rétractent en destins funestes.
Babylone fut fondée quelque peu avant le règne de Sargon d'Akkad, 'le Grand' (2334-2279 av. J.
Pour ressusciter Babylone, le raïs irakien avait fait reconstruire un des trois palais originels. L'édifice a échappé aux destructions de la guerre.
Babylone la Grande correspond au portrait de la fausse religion. Au lieu d'enseigner aux personnes la façon de se rapprocher du vrai Dieu Jéhovah, la fausse religion les incite à adorer d'autres dieux. La Bible appelle cela la « prostitution spirituelle » (Lévitique 20:6 ; Exode 34:15, 16).
Nabuchodonosor II, lui, était le fils de Nabopolassar, le fondateur de l'Empire néobabylonien, et il participa activement à l'émergence de la Babylonie et à sa délivrance de la tutelle des Assyriens.
Hammurabi, le fondateur de la puissance babylonienne
Article détaillé : Hammurabi. Le roi Hammurabi de Babylone face au dieu Shamash, détail de la stèle du Code de Hammurabi, XVIII e siècle.
De fait, en hébreu, la ville de Babylone et la fameuse tour de la Genèse portent le même nom : Babel. Plus qu'un lien entre Babel et Babylone, il s'agit donc de la même ville désignée du même nom dans le texte biblique en version hébraïque !