Les objectifs principaux de la réforme de Bâle IV : Améliorer la sensibilité au risque en révisant l'approche standard du risque de crédit. Limiter l'utilisation de certains modèles internes en révisant l'approche de la méthode interne du risque de crédit.
Ils visent à garantir un niveau minimum de capitaux propres, afin d'assurer la solidité financière des banques. Bâle I est signé en 1988. Bâle II, qui renforce les premiers accords, est mis en place entre 2004 et 2008. Les accords de Bâle III ont été publiés fin 2010 et leur mise en place est prévue entre 2012 et 2019.
Bâle I fait référence à un ensemble de recommandations formulées en 1988 par le Comité de Bâle, un comité rassemblant les banquiers centraux des pays du G-10 sous l'égide de la Banque des règlements internationaux, à Bâle, pour garantir un niveau minimum de capitaux propres, afin d'assurer la solidité financière.
Le dispositif de Bâle II, qui vise à permettre une couverture plus fine et plus complète des risques bancaires, comporte trois piliers complémentaires et interdépendants : le pilier 1 constitue le socle des exigences réglementaires minimales ; le pilier 2 institue le principe d'un dialogue structuré entre ...
Pellicule qui enveloppe les grains des Graminées (blé, avoine, maïs, etc.) utilisée notamment pour l'alimentation animale.
Induits en erreur par la position proéminente de la statue du général romain, de nombreux visiteurs pensent qu'il est le fondateur de Bâle. Il n'en est rien. En revanche, on lui doit la création de la ville romaine d'Augusta Raurica, à Augst.
Le premier objectif de Bâle II est d'encourager les banques à améliorer leur capacité de mesure et de gestion de leurs risques. Pour que les nouvelles règles puissent s'appliquer à des banques différentes, le Comité a développé plusieurs options pour chaque type de risques.
En effet, la réforme Bâle 4 vise à définir des règles de calcul des risques plus strictes qui tendent à préciser les exigences minimales en matière de fonds propres et, surtout, à réduire les disparités d'un établissement ou d'un pays à un autre.
Qu'est-ce que le compte épargne-temps (CET) ? Le compte épargne-temps (CET) est un dispositif d'épargne salariale qui permet aux salariés d'une entreprise de placer, sur un compte, leurs périodes de congés ou de repos non-prises ou encore diverses rémunérations.
L'accord a été conçu et approuvé par le comité de Bâle sur le contrôle bancaire. La mission de ce comité est de définir des règles internationales pour renforcer la sécurité et la fiabilité du système financier.
En ce qui concerne les Probabilités de Défaut (PD), les banques présentent des niveaux relativement proches. Pour les pertes en cas de défaut (ou Losses Given Default - LGD), il y a une dispersion plus forte.
Le ratio de levier d'une banque est calculé en divisant ses fonds propres de catégorie 1 par la mesure de son exposition totale du ratio de levier, qui inclut ses actifs et ses éléments hors bilan indépendamment de leur niveau de risque.
Avec une approche omnicanal, les banques et les coopératives de crédit peuvent fournir des conseils, des produits et des services ciblés aux consommateurs à travers tous les canaux de distribution (par le web, le smartphone ou les distributeurs d'argent) ou lors d'une visite dans une agence bancaire.
Les Accords de Bâle II marquent une évolution réglementaire certaine, car ils permettent une meilleure évaluation du risque souverain. Cependant, si l'on ne considère que le facteur prudentiel, la structure d'endettement des pays émergents ne devrait pas connaître de modifications substantielles.
L' Entrée en relation correspond à une situation dans laquelle une entreprise noue pour la première fois un contrat avec un client. Par l'intermédiaire de ce contrat, les attentes et besoins du client ainsi que les réponses pouvant être apportées par l'entreprise sont évoqués.
Le CCLRF est présidé par le ministre des finances et comprend 18 autres membres.
Un ratio prudentiel est un ratio en deçà duquel une banque présente un risque d'insolvabilité Ce ratio se mesure en comparant le niveau des engagements d'une banque (le montant qu'elle prête) au montant de ses fonds propres (capital apporté par les actionnaires et profit de la banque).
Les actifs pondérés en fonction des risques constituent une mesure des risques enregistrés dans les livres des banques et indiquent le degré de risque présenté par leurs actifs. Les actifs des banques comprennent les prêts octroyés aux clients ainsi que les liquidités, autrement dit tout ce que la banque détient.
Pour les banques grand public, les organismes mutualistes, les banques coopératives, les caisses d'épargne, et parfois les caisses de crédit municipal, ce capital minimum bancaire est fixé à 5 millions d'euros.
Un plancher (« output floor ») limite les avantages que les banques peuvent tirer de l'utilisation de modèles internes pour le calcul des exigences minimales de fonds propres.
La réforme réglementaire Bâle III induit donc un triple effet pénalisant pour les banques de financement et d'investissement : une évaluation plus exigeante et contraignante des risques (effet dénominateur) ; une restriction des capitaux éligibles (effet numérateur) ; des ratios exigés plus importants.
Bâle I (1988) introduit les premières directives qui portent essentiellement sur le risque de crédit. La pression sur les marchés financiers et l'importante croissance du risque de marché conduisent à un amendement à Bâle I dès 1996.
Il convient de rappeler qu'en tout état de cause, la réglementation prudentielle impose aux établissements de crédit de respecter un rapport d'au moins 60 % entre l'encours des crédits bénéficiant des accords de classement de la BCEAO et le total des emplois bancaires concernés par ce dispositif.
Le ratio Cooke doit respecter 2 exigences : (fonds propres + quasi fonds propres) / ensemble des engagements > 8%
Ø La Probabilité de Défaut (Probability of Default : PD) : la PD est une notion orientée "emprunteur". Exprimée en pourcentage, elle correspond à la probabilité qu'une contrepartie soit défaillante sur un horizon de douze mois.