Le plus souvent, c'est une angoisse de séparation, au moment d'un cycle de sommeil léger, qui le réveille. Si bébé ne se rendort pas, et qu'un biberon de lait tiède l'y aiderait, vive le biberon ! C'est le plus naturel des somnifères. Et si ça ne suffit pas, on prend l'enfant avec soi.
Si maintenant l'enfant est inquiet, il peut se réveiller complètement et rester éveillé pendant tout un cycle soit une à deux heures. Il peut également crier et pleurer pour appeler ses parents. Dans tous les cas, il faut le rassurer.
Les bébés bons dormeurs peuvent, à cette période, commencer à se réveiller la nuit ou avoir du mal à s'endormir. Ce trouble peut être, en partie, causé par l'angoisse de séparation, c'est-à-dire, la crainte de ne plus revoir les parents et l'envie soudaine de sentir leur présence.
Prudence aussi avec les biberons de bébé au milieu de la nuit : l'excès de liquide est l'une des principales causes des réveils nocturnes. On peut simplement vérifier que notre enfant n'a pas trop chaud, et qu'il n'est pas gêné, sans le réveiller pour un biberon ou le changer.
Sortez vous promener avec lui et, lors des siestes, laissez les rideaux ouverts et ne vous empêchez pas de faire un peu de bruit. Vous pouvez aussi le faire dormir dans un autre lit que celui qu'il occupe la nuit, par exemple, dans un petit berceau ou dans un lit portatif.
Ne pas intervenir d'emblée et le laisser un peu crier pour lui donner une chance de se rendormir seul. Au bout de 5 à 10 minutes selon l'intensité des cris allez le voir et câlinez le un peu puis reposez le. Au bout de quelques nuits, cela va aller mieux.
Si vous pouvez déposer votre bébé dans son lit quand il est réveillé, partir de la chambre et que bébé s'endort sans aide de votre part ni tétine, alors lorsqu'il se réveille la nuit, il y a plus de chance que ce soit la faim, ou bien l'habitude.
Si votre enfant pleure toutes les nuits après l'âge de quatre mois, adressez-vous à votre pédiatre. Votre bébé a peut-être mal. Un reflux gastro-oesophagien, des colites, une poussée dentaire, une otite latente…, peuvent l'empêcher de trouver le sommeil ou le réveillent pendant sa nuit.
Effectivement, le syndrome de KiSS est un blocage de la jonction crânio-cervicale, c'est à dire de la première articulation entre la base du crâne et la première vertèbre cervicale. Cette dysfonction articulaire a pour conséquence, une adaptation posturale de l'ensemble du corps.
En théorie, un bébé ne peut pas faire de nuits de ces durées avant ses 4 mois. On parle aussi du fameux cap des 5 kg. À partir de ce poids, un nourrisson est capable de tenir une nuit complète, sans réclamer à manger.
Qu'appelle-t-on les régressions du sommeil ? Il existe plusieurs étapes qu'on appelle des régressions du sommeil. Ce sont des périodes de désorganisation et de dégradation assez importante du sommeil qui se manifestent par un changement de rythme pour l'enfant.
« Parce qu'on peut l'utiliser chez les plus jeunes, avant 4 mois », explique Evelyne Martello, qui rappelle que la méthode du 5-10-15 convient à des enfants à partir de 4 à 6 mois, et jusqu'à 18 mois environ.
1/ Il a faim
Vous savez, les pics de croissance ou simplement une fringale… A quoi bon le laisser hurler sous prétexte que ce n'est pas l'heure ? Une tétée ou un petit biberon de rab, jusque quelques centilitres pour l'apaiser, cela vaut vraiment le coup d'essayer !
Les bons réflexes pour supprimer le biberon de la nuit
- Adopter un rituel du coucher qui soit toujours le même, où vous êtes présent sans rester jusqu'à l'endormissement (sortir/revenir par intermittence dans sa chambre). Il faut favoriser l'autonomie de votre enfant et lui permettre de s'endormir tout seul.
On recommande toutefois de ne pas laisser pleurer l'enfant plus de 15 à 30 minutes en continu. Dans cette étude, les bébés, âgés de 4 à 10 mois, devaient donc apprendre à s'endormir selon cette méthode.
Généralement entre 7 et 10 mois, votre bébé aura acquis une tonicité du dos suffisante pour se mettre en position assise et va se maintenir droit sans aucun appui. Il développera sa capacité à se maintenir en équilibre sans aucune aide : Les muscles de son dos sont suffisamment forts pour le soutenir.
Le tapis d'éveil, indispensable de bébé à partir de 6 mois
D'après le Dr Jacques Langue, pédiatre spécialiste du développement psychomoteur, le tapis d'éveil est indispensable à partir de 6 mois. C'est l'âge où l'enfant prend conscience de son environnement et de ses sensations.
De 6 à 12 mois : bébé fait (presque) ses nuits
Vers l'âge de 8 ou 9 mois, il peut dormir de 6 à 12 heures par nuit sans se réveiller pour réclamer à manger.
À mi-chemin entre les deux courants de pensée qui consistent, d'un côté, à laisser pleurer un enfant et, de l'autre, à répondre à chacune de ses sollicitations, cette méthode s'adresse aux bébés en âge de faire leur nuit, c'est-à-dire vers 3 ou 4 mois.
VIE DE FAMILLE - Beaucoup de parents croient qu'il est utile de laisser pleurer leur bébé. Selon une opinion répandue, quelques minutes de pleurs ne font pas de mal à l'enfant mais l'aident au contraire à trouver seul le calme et le sommeil.
La première régression apparaît vers l'âge de 4 mois mais il y en aura d'autres tout au long du développement de votre enfant. À 4 mois, votre bébé est en pleine phase de découverte de son environnement et de ses relations affectives avec ses parents. c'est un gros pic de conscience.
Trouble du sommeil de bébé/enfant, qui consulter ? Lorsque notre enfant rencontre des troubles du sommeil (problème d'endormissement, terreurs nocturnes, réveils fréquents, etc.), la première personne vers qui se tourner sera le pédiatre ou le médecin de famille.
Le bébé doit être couché éveillé dans son berceau. On peut voir à diminuer la luminosité, les stimulis autres en gardant possiblement un bruit de fond qui contribue souvent à aider l'endormissement du bébé, comme le bruit de moteur d'un aquarium, d'un ventilateur ou d'un déshumidificateur par exemple.