En effet, pendant vos séances de sport, vous perdez de l'eau, via votre transpiration et la respiration. Il faut donc boire suffisamment avant, pendant, et après le sport pour combler les pertes hydriques.
Il est conseillé de boire environ entre 500 et 300 ml d'eau dans les trois heures qui précèdent l'effort. Encore une fois, espacez les moments d'hydratation et buvez avec parcimonie. A chaque fois, quelques gorgées suffisent.
- Avant l'effort : le but est de faire le plein de carburant. Vous pouvez boire jusqu'à 1 l d'eau, de thé ou de jus de fruit durant les deux à trois heures précédant l'activité.. - Pendant l'effort : boire régulièrement et en petites quantités. En pratique, buvez 1 à 3 gorgées d'eau toutes les 5 à 10 min.
Si vous êtes un coureur du matin, vous devrez peut-être éviter le café avant votre course car la caféine est connue pour faire bouger les choses. Pour ce faire, arrêtez de boire des liquides environ 30 minutes avant votre course et faites toujours un dernier arrêt aux toilettes avant de partir.
Pour s'assurer une bonne hydratation lors de vos sorties running, il faut boire toutes les 10 à 15 minutes environ 100 à 150ml (1 à 2 gorgées). Ne buvez pas trop froid, au risque de vous créer des problèmes gastriques, la boisson doit être fraîche mais pas glacée. La température doit se situer aux alentours de 15°C.
« Il faut morceler sa respiration. Plus on court vite, plus on doit augmenter son rythme de respiration et donc apporter de l'O2 à son corps. Le corps peut utiliser jusqu'à 5L d'air pour fonctionner dans une course endurance, que l'on va découper en morceaux.
Ça a été prouvé, augmenter sa cadence de course autour de 180 pas par minute (plus précisément entre 170 et 190) permet de courir plus vite simplement par l'économie d'énergie que l'on fait. Une longue foulée est beaucoup plus coûteuse en énergie.
« Courir à jeun permet de resynthétiser le glycogène dans le muscle et augmente la capacité du muscle à en stocker. Or, plus nos muscles en contiennent, plus on est capable de courir longtemps à une vitesse élevée », révèle Martine Duclos. De quoi gagner quelques minutes.
Privilégiez un repas facile à digérer pour votre corps et qui libère de l'énergie plus rapidement. Les coureurs de course rapide optent souvent pour des repas du type : Une poignée de céréales. Une banane avec du beurre de cacahuète et du miel.
Courir à jeun le matin : positif pour le physique ? Courir le ventre vide c'est donc courir un peu plus sur la filière lipidique que d'habitude, c'est pourquoi l'entraînement à jeun est souvent plébiscité dans les régimes. C'est efficace car on brûle plus de graisses en courant à jeun.
Destinées à lutter contre la fatigue et la déshydratation, les boissons énergétiques, appelées aussi boissons de l'effort, ont trouvé leur place chez les sportifs. Constituées d'eau, de sucre, de sels minéraux, de vitamines et d'antioxydants, elles concentrent tous les besoin pour les efforts longs et intenses.
Un en-cas tel qu'une banane vous donnera l'énergie nécessaire pour courir et sera facile à digérer. Une poignée de fruits secs et de fruits à coque, une barre de granola, un yaourt aux fruits ou un cracker tartiné de beurre de noix feront également très bien l'affaire.
D'un point de vue physiologique, les études définissent le meilleur moment pour courir entre 15 h et 17 h. Mais votre meilleur moment pour courir est celui durant lequel vous ne subirez pas votre séance.
Le pain, le muesli maison (sans sucre ajouté), les biscottes etc feront parfaitement l'affaire. Ajoutez un fruit frais tel que la banane, très bénéfique pour les sportifs du fait de sa haute teneur en magnésium.
Testez vos limites en courant sur de longues distances. Si vous faites des pauses en marchant, ce n'est pas un problème. L'objectif est d'essayer de les retarder autant que possible et d'allonger un peu plus chaque fois les périodes de course, jusqu'à ce que vous puissiez courir toute la distance sans vous arrêter.
La digestion est un processus qui pompe énormément d'énergie à notre corps. En allant courir, vous n'allez pas faciliter la tâche à votre organisme. En effet, celui-ci risque de déplacer l'énergie du corps sur les muscles au lieu de l'intestin, dégradant ainsi la digestion et votre métabolisme.
Après 10 minutes de marche active qui prépareront vos muscles à l'effort, vous courrez 20 minutes sans vous arrêter. Ensuite vous ferez 5 minutes de marche lente afin de faciliter la récupération et ainsi avoir moins de courbatures.
Les inconvénients : Au-delà des questions relatives au manque de visibilité et à la sécurité, il convient de ne pas sortir trop tard. Pourquoi ? « Parce que l'activité physique à cette période de la journée peut aussi s'avérer être un frein à l'endormissement et au sommeil.
Si tu es en surpoids, courir tous les jours risquent de te provoquer des douleurs articulaires, tendineuses, voire pire. Mieux vaut oublier cette idée. Surtout que les dernières études montrent que le mieux pour maigrir est de courir doucement de temps en temps, avec des séances intenses de temps à autre.
Courir 30 minutes par jour favorise le retour du sang vers le cœur en faisant des efforts avec plusieurs groupes musculaires. De plus la course à pied est étroitement reliée au phénomène de l'ostéoporose et permet d'en réduire le risque.
Les grands avantages de la course lente:
Lors d'une course lente, votre corps « brûle » d'abord les lipides de votre corps. Si vous avez un objectif de réduction de poids, c'est donc l'idéal; Bienfaits cardiaques: la vitesse du coeur augmente de manière limitée en course et diminue après celui-ci.
Pour s'améliorer en course à pied, il est donc conseillé de faire 3 à 5 entraînements de 20 minutes par semaine pour les plus expérimentés sans oublier le temps de récupération.
On courrait en effet plus vite sur la pointe des pieds, utilisant plus de muscles et le ressort naturel du talon d'Achille (je vous la fais courte). De plus, le choc avec le talon étant beaucoup moins violent, on abîme moins ses articulations.