Une mutation génétique serait responsable de la capacité de l'organisme à ne pas prendre de poids. Au total, plus de quinze gènes sont associés à la masse corporelle. La mutation du gène GPR75 a l'influence la plus grande sur l'indice de masse corporelle.
La thyroïde, cette glande en forme de papillon située à la base du cou, secrète des hormones dites thyroïdiennes qui jouent entre autres, un rôle primordial dans la régulation pondérale et la masse musculaire. Un dérèglement thyroïdien peut donc effectivement modifier notre poids.
Manger sans grossir peut aussi être la conséquence d'un L'hypercatabolisme est une détérioration anormale des protéines présentes dans l'organisme. Ceci peut être dû à une inflammation par exemple. Les conséquences peuvent être multiples.
On parle alors de maigreur constitutionnelle, et les personnes qui en sont atteintes ne peuvent pas grossir même si elles mangent des quantités normales de nourriture. Ils ou elles agacent et sont souvent soupçonnés d'anorexie.
De nombreux facteurs vont interférer : le métabolisme, la prise de certains traitements, l'hérédité… et la composition de la flore intestinale.
Les gènes, responsables de l'inégalité face à la prise de poids. Comme souvent, la cause principale est liée à la génétique. De nombreuses études se sont penchées sur la question et le résultat est sans appel. Certains d'entre nous ne possèdent pas le gène associé à l'obésité.
Maigrir pour reprendre le pouvoir sur sa vie
"Maigrir procure une jouissance psychique, celle de maîtriser sa vie. Cette prise de pouvoir est si jubilatoire pour certaines femmes que cela participe à la frénésie de régime, jamais satisfaite, qui les conduit à continuer alors qu'elles sont déjà minces.
Que pourrait-il se passer si mon enfant ne prenait pas assez de poids? Un gain de poids insuffisant peut se traduire par de faibles taux de vitamines et de minéraux dans l'organisme ainsi que des problèmes d'apprentissage à l'école. Il peut également mener à un retard staturo-pondéral (retard de croissance).
La France bénéficie également de bonnes habitudes alimentaires : un goût pour la cuisine ainsi que des repas à heures fixes, qui permettent de limiter les décalages et les grignotages.
Certaines vitamines ou groupes de vitamines sont particulièrement efficaces dans le cadre de régimes grossissants, comme les vitamines A, C, E, les vitamines du groupe B, l'acide folique et la niacine.
La minceur, une question d'équilibre yin/yang.
Traditionnellement en Asie, le morphotype des femmes est plutôt mince grâce à une diétothérapie réglée comme du papier à musique tout au long de la vie.
La seule façon de savoir si on est trop maigre ou pas est de calculer son indice de masse corporelle. Elle est déterminée par le poids (en kilogrammes) / Taille (en m) au carré. La corpulence normale est définie par un indice compris entre 25 et 18,5. On parle de maigreur lorsque cet indice est inférieur à 18.
1. État de quelqu'un, d'un animal, qui est maigre, sans graisse, ni chair : Être d'une maigreur effrayante. 2. État de ce qui est peu dense, peu abondant : La maigreur d'un gazon.
Stress et perte de poids
Le stress peut également avoir une influence sur le métabolisme : il l'accélère. Ainsi, les individus stressés peuvent brûler davantage de calories, plus vite, et perdent du poids.
« La femme française associe directement la beauté à la minceur, explique Thibaut de Saint Pol. C'est lié à beaucoup de causes, culturelles, psychologiques mais aussi à l'éducation.
Il ne s'agit pas d'un livre proposant un régime, mais d'un ouvrage expliquant l'équilibre alimentaire que chacun d'entre nous devrait appliquer, pour être mieux, rester mince ou le devenir. Être en meilleure forme et en meilleure santé, plus longtemps.
Consommez des fruits secs ou riches comme l'avocat, le raisin, la banane, les olives et ne négligez pas les bonnes huiles. Enfin, buvez des jus de fruits et de légumes, des soupes, et prenez des compléments alimentaires naturels et adaptés à la prise de poids rapide.
Cela peut être dû à : une mauvaise alimentation ou un problème digestif (maladie cœliaque...) un traumatisme psychique (deuil, séparation...) certaines maladies endocriniennes (déficits en hormone de croissance, pathologies thyroïdiennes, anomalies de la puberté...)
L'écart se creuse après. Chez les filles, un pic de croissance survient au début de la puberté, en moyenne à l'âge de 10–11 ans. Ce pic dure jusqu'aux premières règles, moment où la croissance ralentit puis s'arrête, en général vers l'âge de 14–16 ans.
Pour rester mince et pleine de vitalité, il faut manger de tout... en petites quantités. De la viande, du poisson, des œufs, des fruits et des légumes (à tous les repas), des céréales (complètes, tant qu'à faire), des légumineuses et même… du fromage et du chocolat !
Bien sûr, tout est plus compliqué. D'abord, c'est quoi une femme mince ? Déjà, on ne raisonne pas en kilo mais en indice de masse corporelle (IMC). "Pour les médecins, il se situe entre 19 et 25", précise le Dr Jean-Michel Cohen, qui publie Maigrir en bonne santé (First Éditions).
Être trop maigre peut être aussi dangereux pour la santé qu'être obèse. Les risques mortels sont plus importants chez les personnes maigres et les fœtus de gens maigres selon une étude canadienne. Selon l'Organisation Mondiale de la Santé, 2,8 millions de personnes meurent chaque année à cause de l'obésité.
Dans les deux cas, on peut voir apparaître des altérations de la peau (peau sèche), des cheveux (rares et cassants), des troubles digestifs (diarrhées), des troubles sexuels (absence de règles, impuissance), sensibilité accrue aux infections, troubles du comportement (tristesse, dépression, apathie,…), …