Le t se double après a, e, o et u, mais principalement après e, tant pour avertir que la syllabe est brève que pour faire prononcer l'e ouvert : patte, battre, baguette, mouchette, etc.
« J'appelle » ou « j'appele » ? Pour ne plus se tromper et savoir s'il faut doubler la consonne, s'il faut un ou deux « l », un ou deux « t », il faut prononcer le mot. Par exemple j'appelle prend deux « L » car lorsqu'on le prononce, le dernier « e » est muet.
La règle veut que l'on double la consonne 's' entre deux voyelles pour donner le son [s]. Exemple : ressortir, ressaisir, ressembler, etc.
I) Hiatus & euphonie : ? L'hiatus est la succession de deux voyelles prononcées dans deux syllabes différentes, soit à l'intérieur d'un mot (oasis, déhanché, coordination...), soit à la limite de deux mots, c'est-à-dire à la fin d'un mot et au début du suivant.
Si votre verbe «appeler» amène le son «è», alors il s'écrira toujours avec deux «l». Exemple: «il appelle» (prononcé appèlle), «je rappellerai» (prononcé appèllerai)... En revanche, si le verbe «appeler» vous oblige à fermer la voyelle et prononcer un «eu», celui-ci s'écrira alors avec un seul «l».
Les verbes appeler, jeter et leurs composés (y compris interpeler) prennent un double l ou un double t dans leurs conjugaisons contenant un e instable (dit « e muet ») : j'appelle, je jette.
L'outil est simple : Les mots féminins en –é désignant une chose qui ne peut pas être touchée, hors notions de temps et de périodes cycliques, ne prennent pas de « e ». On met un « e » lorsque l'objet désigné pourrait être touché (dont les contenus) ainsi que pour des notions de temps ou de périodes cycliques.
Une règle simple pour savoir si on doit mettre é ou er à la fin d'un verbe est de le remplacer par le verbe "vendre" dans la phrase. Si l'on dit "vendu", il faut mettre é, sinon il faut mettre "er".
L'adjectif tranquille se prononce [ tʁɑ̃kil ] (« tran-kil »), comme s'il s'écrivait avec un seul l . Il ne faut pas se laisser tromper par son double l , qui vient du latin.
Le doublement du « p » :
- On double généralement le « p » dans les mots démarrant par « ap » comme approfondir, approcher, mais on écrit apercevoir, apaiser, aplanir, aplatir, apitoyer, apéritif, apesanteur, apeurer, apiculture, aplomb, apogée, apostrophe, et leurs dérivés.
On écrit je m'appelle , avec deux l et avec un e à la fin.
Des mots aussi courants que parasol ou télésiège, par exemple. En fait, ce sont surtout des mots commençant par S auxquels on a ajouté un préfixe : antisismique, antisémite, ou antisocial ne prennent qu'un S après "anti", il est bien entre deux voyelles, et pourtant on ne le prononce pas "z".
Règle : on écrit toujours « bon anniversaire » car « anniversaire » est un substantif masculin. Puisque « anniversaire » est au masculin, l'adjectif s'accordant en genre et en nombre, on écrira « bon ».
Le s de mésange et le s de oiseau se prononcent [z] parce qu'ils sont entre deux voyelles. On est obligé de mettre deux s à passereaux pour obtenir le son [s] parce que le s est entre deux voyelles. En n'écrivant qu'un seul s, on obtiendrait le son [z].
On écrit ph
Vous savez sans doute déjà qu'il provient du grec, de la lettre grecque phi en l'occurrence. On le trouve donc dans de nombreux mots composés à l'aide d'éléments d'origine grecque, comme phon, phil, phob ou photo, par exemple dans orthophonie, francophile, agoraphobe ou photocopie.
Cette expression est utilisée pour désigner en général un enfant, du moins une personne de petite taille. En effet, si on empile trois pommes, le résultat ne sera pas quelque chose de très élevé en taille.
Comme l'écrit Bruno Dewaele (voir bibliographie), « le f est la consonne que les Français adorent doubler à tort : la gifle leur apparaît plus cinglante avec un f supplémentaire, la gaufre plus consistante, la pantoufle plus fourrée ».
On entend la lettre « t » lorsque un mot se terminant par la consonne «d» ou «t» (« quand », « prend ») est suivi d'un autre commençant par une voyelle : Quand il pleut, on ne sort pas. On remarque alors que la lettre « d » se prononce en fait « t » (on dit que le « d » s'assourdit).
Pour commencer, il est important de connaître certaines bases. Les consonnes qui ne se doublent jamais sont : h, j, q, v, w et x. Celles qui se doublent rarement sont : b, d, g, k et z. Celles qui se doublent souvent sont : c, f, l, m, n, p, r, s et t.
Même "fille" et "bille", qui s'écrivent presque pareil, ne se prononcent pas comme "ville". "En français, presque tous les mots qui se terminent par le groupe de lettres ILLE se prononcent comme fille et famille", explique la très savante Banque de dépannage linguistique.
Outre-Atlantique, la non-prononciation du -l final dans les mots comme persil, sourcil, nombril ou baril est la règle !
Étymologie. (Nom commun 1) ( X e siècle) Du moyen français fils , de l'ancien français fils (cas sujet), fiz , fil , du latin fīlius (« fils, enfant »), puis « descendant » en bas-latin.
1. En latin, forme verbale déclinable qui se substitue à l'infinitif dans certaines fonctions. 2. En français, forme verbale terminée par-ant et précédée de la préposition en, qui sert à décrire certaines circonstances de l'action.
« On » est un pronom indéfini. « Ont » est le verbe « avoir » conjugué. Si vous pouvez remplacer le terme qui pose problème par « avaient » (imparfait de l'indicatif), alors il s'agit du verbe « avoir » conjugué à la 3e personne du pluriel du présent de l'indicatif (« ont », avec un t) : Ces clémentines ont des pépins.