Ce proverbe signifie que la science doit être soumise à la moralité pour éviter les débordements. On peut prendre comme exemple la bombe nucléaire, découverte scientifique, qui a pourtant fait beaucoup de victimes. Formule de Rabelais.
« Science sans conscience n'est que ruine de l'âme » – Rabelais.
Cette citation de Rabelais, “Science sans conscience n'est que ruine de l'âme” est tirée de Pantagruel, son œuvre majeure. Rabelais était un sceptique, le fondateur du scepticisme moderne.
La science physique décrit la matière de l'extérieur, en termes de comportement, mais la matière « de l'intérieur » est constituée de formes de conscience. Cela signifie que l'esprit est une matière et que même les particules élémentaires présentent des formes de conscience incroyablement basiques.
Le scientifique, dans sa tentative d'expliquer la conscience, la définit comme étant une fonction du cerveau. Il existe alors deux possibilités : Le cerveau étant considéré comme un simple système de traitement de l'information, la conscience serait alors ce qui pilote son fonctionnement.
La conscience repose sur le tronc cérébral et deux régions corticales. Les chercheurs ont trouvé qu'une petite région du tronc cérébral appelée tegmentum pontique était associée avec le coma : 10 des 12 patients inconscients avaient des lésions dans cette zone et seulement un chez les patients conscients.
Le royaume de l'esprit, que la conscience habite. L'âme est individuelle, mais les valeurs qu'elle introduit dans le monde ne le sont pas. On peut en dire autant de la conscience. L'âme la fait apparaître en elle, comme la condition principale de sa liberté, centrée sur le moi qui lui donne l'illusion d'être séparée.
L'âme (du latin anima, « souffle, respiration ») est à la fois le principe vital et spirituel, immanent ou transcendant, qui animerait le corps d'un être vivant (humain, animal ou même végétal). Par métonymie le mot « âme » désigne couramment l'être vivant lui-même, animé par ce principe.
La conscience est la présence constante et immédiate de soi à soi. C'est la faculté réflexive de l'esprit humain, c'est-à-dire sa capacité à faire retour sur soi-même. C'est la conscience qui permet à l'homme de se prendre lui-même comme objet de pensée, au même titre que les objets extérieurs.
«La conscience serait plutôt le résultat de l'activité macroscopique du cerveau, de l'interaction d'innombrables groupes de neurones», soutient Pierre Poirier. «La conscience est tout simplement un effet du cerveau, le produit de l'activité neuronale.
L'intentionnalité est la propriété de la conscience d'être «conscience de»: cela signifie qu'elle n'existe pas comme une chose qui contient, mais comme un acte de mise en relation. Toute conscience sans exception est intentionnelle: il n'y a pas de conscience pure, indépendante de ce dont elle est conscience.
La conscience immédiate et la conscience réfléchie, la connaissance du monde, la connaissance de soi.
Le raisonnement de Descartes, c'est que reconnaître une conscience à l'animal conduit à nier toute différence entre l'homme et l'animal. En effet, l'essence de l'homme, c'est la conscience, ou la pensée. Si l'animal aussi a une conscience, il n'y a plus de différence. L'homme n'est alors rien de plus qu'un animal.
La conscience est un pouvoir de connaissance de soi, du monde et du bien et du mal. Un savoir qui accompagne mon être, mes pensées en général. Si on prend un être inconscient comme un dormeur, il est comme un objet puisqu'il ne se représente ni le monde, ni lui-même.
L'âme humaine ne commence d'être que lorsqu'un corps est disposé à la recevoir : « Il est donc vrai que les âmes sont instaurées quand une matière est prête à être utilisée par elles. Le corps qui est instauré est alors son royaume et son instrument » (TAS, V, 3, p. 199).
Le cerveau est le siège de l'âme, qui agit par l'intermédiaire des nerfs ; la poitrine est le siège des parties vitales et le ventre celui des parties naturelles.
Tout le monde ne possède pas le même degré d'esprit, mais tout le monde a une âme.
Siège de l'activité psychique et des états de conscience de quelqu'un, ensemble des dispositions intellectuelles, morales, affectives qui forment son individualité, son moi profond ; esprit, intellect, cœur, conscience : Connaître l'âme humaine. Avoir l'âme d'un poète.
La conscience serait limitée au seul sous-ensemble des informations qui auraient été attendues, observées. Au mieux, les informations non attendues seraient des représentations fragmentaires des informations originales.
La conscience est un état de l'individu qui sait qui il est, où il est, ce qu'il peut ou ne peut pas faire dans le contexte où il se trouve. Plus généralement, c'est la faculté à « se voir » soi-même et à se reconnaître dans ses pensées et ses actions. L'inconscient est ce qui échappe à la conscience.
Le cerveau, « point d'insertion de l'esprit dans la matière », met l'esprit en contact avec la matière, lui donne de la pesanteur. Néanmoins, la conscience, la pensée, l'esprit sont irréductibles à la matière cérébrale: le mental ne se réduit pas au neuronal ; le cerveau ne détermine pas le contenu de nos pensées.
Des expériences récentes ont ainsi montré que la pensée pouvait exercer une action causale sur le cerveau. Ainsi en va-t-il du sujet qui, plongé dans le noir et protégé de toute sensation, doit détecter un attouchement à peine perceptible sur l'un de ses doigts.
La conscience morale est définie comme étant naturelle ou innée en l'être humain, elle serait comme un instinct pour Rousseau.