La scolarisation des jeunes filles est un élément essentiel de leur accès à l'autonomie économique et un enjeu majeur de développement. Par l'éducation, elles gagnent en connaissances, ce qui influe par exemple sur la mortalité infantile car une fois mères, elles auront les bons gestes pour leurs enfants.
Éduquer une fille c'est éduquer une nation, parce que la femme est le fondement de toute société. Nous savons que l'éducation est le plus puissant facteur de réduction de la pauvreté dans le monde, capable de mettre fin aux cycles intergénérationnels de désavantages et de booster des économies entières.
L'éducation est un puissant facteur de changement. Elle améliore la santé et les moyens de subsistance, contribue à la stabilité sociale et stimule la croissance économique à long terme. Elle est aussi essentielle à la réalisation de chacun des 17 objectifs de développement durable.
Pour les filles qui abandonnent prématurément l'école, les conséquences sont graves. Selon un rapport de la Banque mondiale, les pertes de productivité et de revenu tout au long de la vie pour les filles n'ayant pas effectué 12 ans d'études sont estimées entre 15 000 et 30 000 milliards de dollars à l'échelle mondiale.
L'instruction permet aux femmes de jouer un rôle économique accru au sein de leur famille et de leur communauté ; elles réinvestissent généralement 90 % de leurs revenus dans la famille. L'investissement dans l'éducation des filles contribue aussi à repousser l'âge auquel celles-ci se marient et procréent.
Les résultats obtenus démontrent à suffisance le rôle clé de la scolarisation des filles comme condition indispensable requise pour obtenir un changement à moyen et long terme du comportement des parents en vue de l'amélioration de la situation des enfants en matière de santé et d'éducation.
Elle est le premier facteur du développement économique et humain. Elle est plus large que l'instruction. Ainsi, une entreprise, une communauté et un pays progressent et se développent proportionnellement à l'effort durable qu'ils consentent en faveur de l'éducation et de la recherche.
Première étape : donner aux filles des bases solides, par le biais d'actions de développement de la petite enfance. Les handicaps accumulés tôt dans l'existence sont difficiles à lever mais on peut éviter qu'ils n'apparaissent grâce à des programmes d'éducation destinés au jeune enfant.
Pour éradiquer ce phénomène, les stratégies nécessaires seraient entre autre la mise en place d'une structure de récupération et d'accompagnement des jeunes filles déscolarisées ainsi que l'encouragement aux parents d'envoyer aussi leurs filles à l'école et en fin, valoriser les filles et les femmes qui ont étudié en ...
Eduquer, c'est offrir la chance à votre enfant d'être quelqu'un de bon, qui puisse faire bouger les choses une fois plus grand. Votre éducation reflète ainsi vos valeurs, à travers les transmissions que vous lui aurez faites, mais aussi votre envie de le voir devenir quelqu'un à part entière !
Résumé Apprendre c'est d'abord élever et s'élever, c'est ensuite enseigner et c'est aussi former. Tels sont les enjeux de cette réflexion sur les valeurs de l'éducation conçue comme apprentissage de l'humanité par un grand pédagogue.
L'éducation nous ouvre de nombreuse porte mais elle nous permet aussi d'apprendre de nos erreurs, et elle nous donne les armes nécessaires pour nous remettre en question lors des périodes difficiles.
1. Former quelqu'un en développant et en épanouissant sa personnalité. 2. Développer une aptitude par des exercices appropriés : Éduquer la volonté.
ÉDUCATION, subst. fém. 1. Art de former une personne, spécialement un enfant ou un adolescent, en développant ses qualités physiques, intellectuelles et morales, de façon à lui permettre d'affronter sa vie personnelle et sociale avec une personnalité suffisamment épanouie; p.
L'éducation des filles est un catalyseur majeur de développement à la fois humain, sanitaire, économique et social. Retour sur le rapport de l'UNESCO publié en 2013. Si toutes les femmes bénéficiaient d'une éducation de base, 1 million des 6,1 millions d'enfants qui meurent avant l'âge de 5 ans seraient sauvés.
Parmi les principales causes ayant retenu notre attention, constatons le problème familial, le statut socioéconomique, le milieu où vivent les enfants, les difficultés scolaires et le redoublement scolaire. Chacune de ces mauvaises situations peut devenir une cause majeure de l'abandon des études.
Coopérer avec les enseignants pour éviter que son enfant décroche. Pour lutter contre la déscolarisation et l'exclusion, il est important de favoriser une collaboration étroite école-famille. Un dialogue régulier entre les équipes éducatives et les parents d'élèves permet en effet d'éviter l'abandon scolaire précoce.
Cependant les causes majeures restent : le statut de la femme dans la société et la pauvreté. La scolarisation des filles a longtemps été considérée comme non prioritaire au Tchad. On considère généralement que le rôle assigné à la femme est au foyer et non à l'école.
Elever c'est prendre à un niveau bas et conduire ou mener à un niveau plus haut. Au sens premier ou figuré. Eduquer, ex-ducere, c'est conduire dehors. Apprendre à sortir, à quiter le nid.
Voici quelques avantages qu'une mère pourra ressentir au fait d'avoir une fille : Les intérêts communs : Vous avez des intérêts tels que la mode, les bijoux, la nourriture, les chaussures, votre corps, les voyages et bien plus encore.
Le plus grand défi pour les mères d'aujourd'hui est de parvenir à combiner travail et vie de famille. Elles n'ont pas toujours le temps de parler avec leurs filles. C'est pourtant à l'adolescence qu'on a le plus besoin d'avoir de longues conversations avec ses parents.
Les femmes sont rassembleuses et collaboratives. Elles soudent les équipes et favorisent l'entraide. Bonnes communicatrices, elles facilitent la résolution des conflits. Bref, elles améliorent le fonctionnement d'une l'entreprise au quotidien.
Une société dominée par les hommes. Le Code civil de 1804 place les femmes sous l'autorité de leur père, puis de leur mari. Considérées par la loi comme mineures, elles ne disposent pas des mêmes droits que les hommes, malgré l'égalité proclamée dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen en 1789.
Aujourd'hui, les femmes “modernes” qui travaillent sont donc toujours responsables de la charge domestique et cumulent une double journée de travail voire une triple : leur travail, les tâches domestiques et l'éducation des enfants.