Il faut écrire : La réunion s'est déroulée sans incident. Si « c' » est la bonne orthographe, on doit pouvoir le remplacer par « cela ». Or, « la réunion cela est déroulée sans incident » ne veut rien dire. On n'écrit donc pas « c'est », mais « s'est ».
C'est : Cette expression est formée de c' un pronom démonstratif et du verbe être à la troisième personne du singulier est. S'est : Cette expression se forme de s', la forme contractée de se, le pronom personnel réfléchi et de est, troisième personne du singulier du verbe être.
La réponse simple. Les deux formes sont admises, la plus recommandée est « ce qu'il s'est passé », la plus familière est « ce qui s'est passé » . Exemples : Renseigne-toi sur ce qu'il s'est passé.
Quand on écrit "s'est" devant un verbe, on conjugue un verbe pronominal à un temps composé. ➡️ On peut alors remplacer s' par me, te ou m', t'. Exemple : Je me suis cogné, tu t'es cogné, l'enfant s'est cogné. ➡️ On écrit "c'est", quand on peut le remplacer par "cela".
➡️ CES est un adjectif démonstratif (pluriel de : "ce", "cet", "cette"). ➡️ SES est un adjectif possessif (pluriel de "son", "sa"). On peut dire : les siens / les siennes. ➡️ C'EST (verbe être) contraction de "CELA EST".
On utilise la marque 's pour exprimer une relation de possession entre deux choses. Elle s'utilise majoritairement lorsque le possesseur est un être animé (personne, groupe de personnes, animaux) ou un pays.
Pourquoi n'écrit-on pas « ça c'est bien passé » ? Parce que « s'est passé» correspond au verbe passer, employé à la forme pronominale (se passer) et conjugué à la 3e personne du singulier du passé composé de l'indicatif. « ça » pronom démonstratif, est employé en langage familier à la place de ceci, cela.
Avec le pronom ce comme antécédent, les deux emplois sont fréquents : ce qui m'arrive ou ce qu'il m'arrive. Quant à la tournure à préférer avec ce verbe, c'est surtout une question de gout, de sensibilité.
* Qu'est-CE QU'IL se passe ? (Il se passe quelque chose.) * Qu'est-CE QUI se passe ? (Quelque chose se passe. Selon Grévisse, 1 On emploie QU'IL lorsque le verbe est ESSENTIELLEMENT impersonnel.
« C' » et « S' » sont des homophones : ils se prononcent de la même manière, mais s'écrivent différemment. « C' » peut toujours être remplacé par « cela ». « S' » est la forme contractée de « se ». Si on transforme la phrase avec le sujet « je » ou « tu », il devient « m' » ou « t' ».
Exemple : C'était aussi mon cahier de l'année dernière (mon = déterminant possessif, cahier = nom masculin). Tandis que, dans une phrase « s'était » est précédé d'un participe passé, ou d'un adjectif qualificatif. Cet homophone ne peut être utilisé qu'avec la troisième personne du singulier.
« C'est » + adjectif masculin ou c'est + adverbe.
Vous devez accorder c'est, quand il est suivi d'un nom ou d'un pronom au pluriel : Ce sont Paul et Marie. Ce sont eux. quand le verbe est suivi de nous ou vous : C'est nous qui avons raison.
INVARIABLE : "Je ne sais pas ce qui m'a pris de…" Le participe est invariable dans cette expression; le pronom réfléchi est complément d'objet indirect. On dira donc "Je ne sais pas ce qui LUI a pris" et non "ce qui l'a, les a pris ou prise(s)".
Avec les verbes susceptibles d'être construits soit personnellement, soit impersonnellement, on utilise ce qui ou ce qu'il : qui est le sujet du verbe construit personnellement, qu'il apparaît dans la tournure impersonnelle.
Lorsqu'il s'agit d'un verbe qui ne s'emploie qu'en tournure impersonnelle, on écrit toujours qu'il. C'est ce qu'il faut écrire (et non ce qui faut écrire). Lorsque le sujet logique du verbe est exprimé, c'est la forme qu'il que l'on utilise.
Sur le plan de l'orthographe, cette phrase comporte deux difficultés : la première lettre de s'est et l'accord de passée . On écrit elle s'est bien passée , avec un s au mot s'est et avec passée au féminin.
Quand la consonne S se trouve entre deux voyelles, la lettre S se prononce /z/ comme dans les mots : valise prononcé /valiz/ oiseau prononcé /wazo/
Règle : on écrit toujours « bon anniversaire » car « anniversaire » est un substantif masculin. Puisque « anniversaire » est au masculin, l'adjectif s'accordant en genre et en nombre, on écrira « bon ».
> s'est est formé de 's'' qui est un pronom personnel réfléchi et de 'est' qui est une forme conjuguée du verbe 'être'. Pour le distinguer : Si l'on change le sujet par 'je' ou 'tu', 's'est' devient ' me suis' ou 't'es'.
Dans « c'est » « C » est le pronom démonstratif « CE » suivi du verbe être (est). Pour cette raison, il est possible de substituer « C' par « Cela ». Le sens ne change pas. Dans « s'est » « S' est le pronom personnel « SE » suivi de l'auxiliaire dans une phrase au passé composé.
Au retour de l'école arrive invariablement la question : « Comment s'est passée ta journée ? ». La réponse qui en découle est le plus souvent sommaire. « Bien. » « J'ai travaillé. » « Rien de spécial. » Mais encore …
– Salut, ça va? – Ça va, et toi? – Ça va. Retiens bien cela: la façon la plus courante de répondre à la question “Comment ça va?”, c'est tout simplement de dire “Ça va.”