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Le principal problème est bien sûr la prise de poids. On retrouverait des problèmes d'hyperphagie dans 50 % des cas d'obésité ; Il peut y avoir d'autres problèmes : hypertension, cholestérol… ; Mais ces comportements peuvent aussi avoir des conséquences psychologiques : manque d'estime de soi, isolement social...
Ça arrive à tout le monde. Mais quand ce comportement se répète régulièrement et qu'on se sent impuissante devant la nourriture, on parle alors d'hyperphagie boulimique. Il s'agit d'un trouble alimentaire.
Celle-ci est conçue pour stimuler le sentiment de sécurité : il s'agit de faire en sorte que les personnes anxieuses se comportent comme si elles étaient dans la peau de personnes « sécurisées », capables de faire face aux événements négatifs de la vie.
L'envie irrépressible d'engouffrer toute nourriture à portée de main, jusqu'à en vomir, est suivie d'une honte envahissante d'avoir encore cédé à la tentation. Les thérapies cognitivo-comportementales réapprennent aux malades à contrôler leur prise alimentaire.
L'hyperthyroïdie
La polyphagie est alors due à la diminution de la production de leptine, une hormone fabriquée par les cellules graisseuses et qui envoie un signal de satiété à l'hypothalamus. La sensation de faim est alors accrue.
Selon une étude scientifique parue dans l'International Journal of Obesity, ces comportements boulimiques auraient une explication hormonale : le soir, les niveaux d'hormone de la faim augmenteraient et ceux de la satiété diminueraient, cette tendance étant en hausse si l'on ajoute du stress.
Le fait de se passer d'un repas dans la journée est un des principes du jeûne intermittent, qui consiste à laisser une période de minimum 11 heures entre deux prises alimentaires. Ainsi, on alterne une phase de jeûne et une phase d'alimentation normale. C'est souvent le petit-déjeuner ou le dîner qui passe à la trappe.
Le terme orthorexie est-il nouveau pour vous? L'Office québécois de la langue française le définit comme étant : « Un comportement névrotique caractérisé par l'obsession d'une alimentation saine. »
"Lorsque vous mangez sans avoir faim et que cette action est dictée par une émotion (consciente ou non), on parle de faim émotionnelle. Ce type de comportement alimentaire peut concerner autant une émotion positive qu'une émotion négative" indique le Dr Béatrice Millêtre, docteure en psychologie.
Le matin est idéal pour perdre du poids
C'est une hormone catabolique, c'est à dire qu'elle « casse » les tissus pour en tirer de l'énergie. A jeun, ces tissus sont principalement graisseux, c'est une des clés de réussite du Fasting.
Au déjeûner, mixez des fruits et des légumes en quantités égales : des pommes et des épinards, des carottes et des oranges, du kale et des fruits rouges, par exemple. Et le soir, concoctez vous un jus de légumes uniquement, pour assurer un effet drainant tout au long de la nuit.
Faire un seul repas par jour : quels bienfaits et quels risques ? Le corps étant privé de son apport calorique, il puise dans ses réserves de graisses. Cela entraîne une perte de poids certaine, si le seul repas consommé de la journée est équilibré.
La pomme. La pomme est l'aliment coupe-faim le plus répandu et le plus connu. Son action coupe-faim est due à sa richesse en fibres et en pectine. La pectine est une substance organique mucilagineuse qui, une fois consommée gonfle dans l'estomac.
Manger ses émotions n'est ni une pathologie, ni un TOC.
Consulter un nutritionniste spécialisé en comportement alimentaire ou un psycho nutritionniste peut alors être intéressant. Car ce type de comportements répétés, peut, à terme, conduire à différents troubles et/ou pathologies : perte des sensations de faim.
Manger la nuit fait grossir pour une raison simple : le corps est programmé pour fonctionner au ralenti pendant cette période, et cela implique le métabolisme et le système digestif. Au-delà de la simple prise de poids, ce syndrome a surtout des conséquences non négligeables sur la qualité du sommeil.
Mécanisme de l'hypoglycémie réactionnelle
Lors d'une hypoglycémie réactionnelle nous sommes attirées par les aliments sucrés car le corps sait très bien que ces aliments sont faciles et rapides à digérer et qu'ils contiennent tout le sucre lui permettant de régler rapidement ce problème de taux de sucre sanguin.
"Si l'on consomme des aliments avec un indice glycémique élevé, des glucides vite assimilés par l'organisme, on va rapidement avoir faim après le repas", continue la spécialiste. Plus précisément, en augmentant le taux de sucre dans le sang, ces aliments entraîneront ensuite rapidement une chute de ce taux.
Le fait d'avoir constamment faim n'est pas normal, et peut engendrer frustrations, compulsions alimentaires, et problèmes de santé. Identifier l'origine de cette envie de manger est un premier pas, pour retrouver une alimentation équilibrée et adaptée aux besoins de l'organisme.