Cette intervention est indiquée après qu'un traitement médicamenteux bien conduit a trouvé ses limites pour réduire les symptômes de l'adénome de la prostate (difficultés à uriner, envies fréquentes d'uriner…). Elle consiste à enlever ou vaporiser la partie de l'adénome qui entoure l'urètre.
Le principe de l'intervention qui vous est proposée est d'enlever la grosseur dans la prostate (adénome) en la grattant. Cette opération s'appelle une résection endoscopique de l'adénome de prostate. C'est une opération pratiquée très souvent. Elle présente peu de risques.
C'est la résection endoscopique de la prostate : l'urologue "rabote" la prostate avec une anse électrique en passant par les voies naturelles. La durée d'hospitalisation moyenne est de quatre jours, le temps de s'assurer que la zone opérée ne saigne plus (les urines sont initialement rouges).
Quand le patient est trop gêné ou qu'il existe des signes de retentissement trop avancés sur la vessie il faut alors opter pour une opération par les voies naturelles (résection de prostate) qui consiste à « raboter » la prostate par l'intérieur pour libérer le passage de l'urine.
L'hygiène de vie est primordiale : éviter tout ce qui congestionne le petit bassin : alcool, épices, vins blancs, sédentarité, longs voyages en voiture. Maintenir une bonne activité physique et fragmenter les longs trajets. Bien respectée, cette hygiène de vie dispense de traitement dans la plupart des cas.
L'hypertrophie bénigne de la prostate a un effet négatif sur la sexualité. Les médecins savent depuis longtemps qu'un cancer de la prostate peut entraîner des troubles sexuels chez l'homme, en particulier des problèmes d'érection et d'éjaculation. Ces troubles sont liés autant à la maladie qu'aux traitements.
Les hommes qui boivent six tasses de café par jour ou davantage voient diminuer de 60% leur risque de développer le type de cancer de la prostate le plus mortel et de 20% leur risque de contracter un cancer de la prostate, quel qu'il soit, selon cette étude de la Harvard School of Public Health.
Les effets secondaires principaux de la prostatectomie sont l'incontinence urinaire et la dysfonction érectile. "Après la prostatectomie, il n'y a plus d'éjaculation parce qu'il n'y a plus la prostate et les vésicules séminales qui constituent les principaux endroits où l'on fabrique le liquide séminal.
- La résection endo-urétrale de la prostate, est devenue la technique de référence (= celle qui est utilisée le plus souvent) pour les prostates de moins de 30-40 g.
"L'adénome peut repousser. Il peut aussi y avoir des séquelles de l'intervention sur la forme de rétrécissement du canal de l'urètre, lié au passage des instruments qui ont été nécessaires pour l'intervention.
la pratique de trois à six heures de vélo par semaine multiplie par trois le risque de développer un cancer de la prostate ; le risque est multiplié par huit lorsque les hommes passent plus de huit heures hebdomadaires à vélo.
L'espérance de vie du cancer de la prostate de stade avancé Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme. C'est une tumeur globalement de bon pronostic avec une survie de plus de 90% des patients atteints. Il reste rare avant 50 ans, et le nombre de cas augmente progressivement après 50 ans.
Si l'examen est effectué pour un dépistage, un résultat inférieur à 4 ng/ml est considéré comme une valeur normale. Si le taux est supérieur à 4 ng/ml, il existe un risque de cancer et d'autres examens sont nécessaires pour confirmer ou infirmer le diagnostic.
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
On trouve cette molécule dans plusieurs fruits et légumes : pastèque, pamplemousse rose, papaye… Principale source de lycopène, la tomate est un allié alimentaire de choix pour la prostate.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Elle est de l'ordre de 4 ng/mL de sang. Le taux normal de PSA varie en fonction de l'âge du patient: il est de 2,5 ng/mL pour les hommes de moins de 50 ans, de 3, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 50 à 60 ans et de 4, 5 ng/mL pour les hommes âgés de 60 à 70 ans.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
Quelle eau boire pour la prostate ? Les problèmes de prostate ou urinaires chez les hommes nécessitent de boire une eau peu minéralisée qui favorise le rejet des toxines. C'est notamment le cas de l'eau Volvic.
Un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme un taux de PSA normal pour la plupart des hommes, mais le taux de PSA dépend de nombreux facteurs, tels que l'âge du patient, la taille de la prostate et d'autres facteurs liés au mode de vie du patient.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
L'évolution du cancer de la prostate
Le cancer est une maladie qui évolue souvent sur plusieurs années. Contrairement à d'autres types de cancer, celui de la prostate a une croissance relativement lente. Son évolution peut se faire sur 10 ans et plus.
Autre conséquence négative de la prostatectomie, ce type d'opération semblait associé à une hausse des troubles de l'érection, avec un risque de dysfonction érectile presque multiplié par 3.