L'hiver, la canopée forestière agit comme une "couette" qui protège du froid. L'été, les arbres transpirent par les feuilles l'eau froide qu'ils ont aspiré du sol, ce qui refroidit l'atmosphère. Les forêts constituent un abri pour la faune et la flore en leur fournissant de la nourriture, des refuges...
Cela s'explique en partie grâce à la taille des arbres, dont la cime peut atteindre 80 mètres de haut contre 30 mètres dans nos forêts tempérées, voire moins pour les forêts boréales, mais aussi grâce à la largeur des feuilles : "C'est comme si on imaginait la forêt comme une couverture isolante, plus la couche est ...
Au niveau global, les forêts ont deux effets majeurs sur le climat à travers leur albédo et la fixation du CO2 par la photosynthèse. La couleur sombre du feuillage capte en effet plus de chaleur qu'une surface plus claire (neige, couche nuageuse) et contribue au réchauffement global.
Les forêts contribuent à remédier aux conséquences du changement climatique (a) : elles absorbent les GES, régulent les cours d'eau, protègent les communautés côtières contre les événements climatiques extrêmes et l'élévation du niveau de la mer.
C'est parce que les forêts jouent un rôle majeur dans la régulation du climat : Elles améliorent la quantité d'eau disponible et sa qualité. Elle permettent de réduire l'érosion des sols et de créer des microclimats qui préservent, et parfois optimisent la productivité agricole.
La forêt régénère des sols, les enrichit en carbone, provoque aussi des pluies. L'eau s'écoule facilement le long des racines vers les nappes phréatiques. En présence d'arbres, celles -ci se remplissent et les inondations sont imitées.
la préservation des sols forestiers et des cours d'eau grâce à un cahier des charges mis en œuvre par les intervenants en forêt ; Abandon de l'utilisation de produit phytopharmaceutique en forêt ; la restauration de l'équilibre forêt-gibier.
La forêt est le 2e puits de carbone après les océans. 80 % de la biodiversité terrestre est présente dans les forêts. Les animaux, plantes sont indispensables à la nature et à la survie de l'homme. Son couvert continu permet de jouer un rôle primordial dans le maintien des sols et la protection contre l'érosion.
Les arbres jouent un rôle majeur pour le climat puisqu'ils capturent le carbone et le stockent : ils contribuent donc à limiter les émissions de gaz à effet de serre. Mais ce milieu forestier abrite aussi une biodiversité particulièrement riche essentielle à la vie sur Terre, menacée par nos activités humaines.
En effet, dont la plus importante : la déforestation. Quand on enlève de la forêt, celle-ci se retrouve d'une manière ou d'une autre vaporisée dans l'atmosphère et produit du dioxyde de carbone. L'Amazonie stocke aujourd'hui près de 450 milliards de tonnes de CO2 dans ses arbres et ses sols.
En effet, les rayons du Soleil ne sont pas tous perpendiculaires à la Terre. Cela vous semble un peu abstrait ? Concrètement, entre les deux tropiques, les rayons solaires touchent perpendiculairement le sol terrestre, il fait donc chaud. Aux pôles, les rayons sont plus obliques, il fait donc plus froid.
Sous les tropiques, il pleut plus au nord qu'au sud. Les précipitations au niveau de l'équateur sont modulées par la zone de convergence intertropicale (ZCIT). Il s'agit d'une bande atmosphérique de quelques centaines de kilomètres, formée par la convergence des masses d'air chaud et humide, portées par les alizés.
A l'équateur, les rayons du soleil arrivent de façon verticales et sont donc très puissants. Plus on s'approche des pôles, plus les rayons du soleil sont obliques. Le chemin qu'ils doivent parcourir dans l'atmosphère sera donc plus grand (la ligne droite est toujours le chemin le plus court), ce qui les affaiblira.
Les plantes transpirent pour se rafraîchir : l'eau puisée par les racines est rejetée par les feuilles sous forme de vapeur d'eau, ce qui permet aux feuilles de maintenir une température acceptable.
Pour réparer les dommages causés durant la saison hivernale, la plante fait un appel d'eau et de sucres dans les vaisseaux, qui génère une pression : cette pression va alors chasser les bulles d'air qui s'étaient formées dans ces vaisseaux. Ainsi, la sève pourra circuler librement au printemps.
Dès le mois de janvier et jusqu'à fin février, parfois même jusqu'en mars, la croissance des arbres est relancée au niveau de leurs bourgeons. Elle est alors si lente qu'elle reste invisible. Paradoxalement, c'est le froid qui va lever cette phase de dormance.
Quels sont les arbres les plus grands du monde ? Les arbres les plus grands du monde sont donc les séquoias à feuilles d'if, que l'on nomme aussi Sequoia sempervirens ou « séquoias toujours verts ». Ce sont des conifères issus de la famille des taxodiacées.
Le Celtis occidentalis ou Micocoulier de Virginie est arbre résistant à la sécheresse ou chaleur, appartenant à la famille des Ulmacées. Il mesure 15 à 20 mètres de hauteur. Cet arbre a la particularité d'avoir une écorce rugueuse présentant des nodosités.
Pour des raisons sanitaires : Certaines maladies, ou insectes ravageurs, obligent le propriétaire à couper l'arbre atteint et à le brûler sur place. C'est le cas pour : les chancres, les fomes ….
L'exploitation forestière formelle offre plus de 13,2 millions d'emplois, génère plus de 5 000 produits différents et engendre une valeur ajoutée brute supérieure à 600 milliards de dollars par an. Mais sa contribution économique est en réalité encore plus importante.
- Meilleure utilisation des ressources disponibles (eau, énergie lumineuse, éléments minéraux, matières organiques, niches écologiques, etc). Le potentiel ligneux procure nourriture, fourrage, bois, protège les sols contre l'érosion et maintient, voire améliore leur fertilité.
Les menaces naturelles, comme le feu, les insectes et les maladies, font partie intégrante de la dynamique forestière. Cependant, elles peuvent perturber le flux des biens et services procurés par les forêts, en nuisant à la croissance et à la survie des arbres, à la qualité et au débit de l'eau et à la biodiversité.
D'après le rapport sur l'Etat Mondial des Forêts publié par la FAO en 2016, près de 80% de la déforestation mondiale est causée par l'agriculture, les 20% restants se répartissant entre la construction d'infrastructures (routes, barrages) d'abord, puis les activités minières et enfin l'urbanisation.